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Un western dans le monde de la magieeeeeeeeee


Alors, pour ceux qui ne connaissent pas, j'ai adoré la saga Fils des Brumes que j'ai lu avec mon acolyte de toujours : Ptitelfe. Et je n'en démords pas, si cette saga sort en Série télévisée, je serai la première à en dévorer chaque épisode tellement l'écriture de Brandon Sanderson est visuelle. Autant que celle d'Alain Damasio qui est musicale (je vous conseille de faire les comparaisons entre eux deux et vous verrez et vous m'en direz des nouvelles.). Forcément, quand l'Alliage de la Justice est sorti, on l'a mis de côté dans notre Pile à lire pour se lire un petit truc comme cela pour les vacances.

Fatiguées, envie de lire, on s'est dit que c'était le moment de le ressortir. Et hop hop hop. Nous voilà avec L'Alliage de la Justice qui se déroule 500 ans après notre saga initiale. Et il y a des mecs qui font les cowboys mais qui sont des gens qui maîtrisent la magie des métaux. Et je vous laisse imaginer ma bouille surexcitée qui avait un tit peu peur quand même. Parce qu'un bon de 500 ans, ce n'est pas facile à nous le faire entrer.


Brandon Sanderson se fait un petit plaisir à la Civilization.

Oui, c'est un peu en substance ce qu'il a dit lors d'une interview en parlant de l'Alliage de la Justice. En fait, il aimait tellement cet univers de Fils des brumes qu'il avait envie de voir comment cela pouvait évoluer à l'ère du Grand Ouest, des trains, des cambriolages, des armes à feu... Et il a réussi son pari, bien évidemment, parce qu'il nous pond un duo de personnages hors du commun : Wax et Wayne. Et c'est comme si quelqu'un te donnait les clés du steampunk, tu vois. Ce sont deux personnages qui sont liés d'une indescriptible filouterie et qui te font des enquêtes pour que tu comprennes bien comment fonctionne l'univers.

Alors oui, écouter parler de Kelsier, de Vin, d'Elend, ces personnages en qui je me suis profondément attachés comme d'une légende, en voyant bien qu'ils ne les connaissent pas beaucoup, eux, cela m'a fait mon petit pincement au coeur.Et Wax et Wayne ne sont pas là pour révolutionner le monde mais bel et bien pour vivre de formidables aventures, régler leurs comptes et si possible s'enrichir un chouilla.

En bref, si vous êtes nostalgiques de l'univers, foncez, il y a même un petit bonus nouvelle où on retrouve nos légendes favorites à la fin du livre. C'est cadeau :)
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Wax Ladrian était un Shérif dans les rocailles, une zone semi-désertique qui s'étend à l’extérieur du bassin d'Elendel, la capitale. Suite à un accident et un mort accidentel il se retrouve devoir prendre la tête de sa famille, une des plus anciennes et respectée de l'aristocratie d'Elendel, alors que celle ci cours à la ruine. Si il veut sauver les milliers d'ouvriers employés dans ses usines du chômage et de la misère il doit trouver un financement rapide.
Pour cela il se met en quête d'une fiancée parmi le gratin de la ville. Alors qu'il est en pour-parlés avec une famille de la petite noblesse mais très riches, sa futur fiancée est enlevée et prise comme otage par un groupe de hors-la-loi qui est venu dévaliser une soirée ou ils se sont rendus.
Bien entendu, Wax ne peux pas laisser cela passer, il va ressortir ses anciennes habitudes et enquêter sur cette affaire ...

Ce roman est très différent de la première trilogie des fils-des-brumes, et je comprend que certains aient moins accroché. Surtout que cette fois ci on a un héros mature, il a 42 ans et des cheveux blanc, ça n'a pas forcement le même attrait qu'un jeune couple qui se bat contre une dictature.Et en plus la situation est totalement inversée cette fois ci, vu que c'est l'histoire d'aristocrates pris à partis par des bandits qui veulent faire une révolution.
Mais moi au contraire j'ai adoré, je peux même dire que j'ai préféré ce tome ci, mais en même temps c'est pas très difficile parce je n'avais pas du tout aimé les tomes 2 et 3 de la première trilogie, je trouvais les personnages insipides et que l'intrigue allait à une vitesse d'escargot.
De même, je ne comprend pas les personnes qui disent qu'on ressent moins la magie dans ce tome, j'ai eu l'impression de l'inverse, il ne se passe pas une page sans qu'on y fasse référence, et tout y est lié ! Et pour cela j'ai trouvé que la combinaison de pouvoirs du héros était géniale, c'est un vrai acrobate qui saute et vol de partout, j'ai trouvé les combats hyper visuels et j'adorais me représenter dans ma tête la successions de mouvements mis en oeuvre.

J'ai trouvé que ce livre avait un ton totalement steampunk voir presque urban fantasy, c'est vraiment une enquête tout du long, et on est loin d'avoir tout résolu à la fin, ce qui amène a attendre une suite, ce n'est pas un OneShot contrairement à ce que je pensais.
Les personnages sont très sympathiques, très vrai aussi, engoncés dans leurs habitudes et leur langage. J'ai adoré Wayne, son franc parlé, ses blagues au dépend de Wax sont très rafraîchissantes. Marasi est aussi un personnage intéressant, elle est très typique mais en même temps elle fait de son mieux pour changer, et tout se fini de façon très classique, non ce n'est pas une romance, le héros ne va pas renoncer à sa famille pour épouser la jeune fille pauvre et sans famille.
[Spoiler]Après oui on aurait sans doute préféré que cette histoire prenne une autre tournure, pour les deux, et c'est un point que j'ai vu énerver pas mal de monde, mais en même temps ce n'est que le premier tome ! Je ne perd pas espoir, je ne pense pas que ça se finira comme ça de façon si abrupte, laissez leur du temps ! [/Spoiler]
Si je devais trouver un seul défaut, je dirais qu'a la fin attitude presque "gentleman anglais" passe moins quand on sais qu'il y à la clé des jeunes filles enlevée, mais bon, ça ne dénote pas dans l'ensemble donc ce n'est pas si grave :P .

Donc en gros, pour moi c'est une bonne réussite, mais il ne faut pas vraiment le prendre comme une "suite" de Fils-des-brumes, c'est une nouvelle histoire, dans un contexte très différent, avec un ton très différent mais qui m'a bien plu et que je ne regrette pas d'avoir lu !
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En bref: Pas le coup de coeur de la première trilogie, mais un tome avec lequel je me suis beaucoup amusée. Il faut dire que l'allomancie se prête aussi bien aux pirouettes médiévales de Vin et les autres qu'aux duels à pistolet de Wax. Au confluent du western et de la fantasy, l'univers de Fils-des-Brumes a connu un beau dépoussierage. L'intrigue, quant à elle, n'est pas aussi épique que la précédente (en même temps, on est dans un format plus réduit), mais elle a ce qu'il faut pour emporter son lecteur. de toute façon, on suit le trio d'héros avec beaucoup de plaisir. Entre Wayne et Wax, un duo aussi fin que charismatique, et Marasi, une intellectuelle futée comme je les aime, j'ai trouvé mon compte. Il faudrait juste que j'arrête de toujours tout comparer aux précédents opus ^^
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Quelques jours à peine après avoir terminé la saga Fils-des-Brumes, de Brandon Sanderson, voilà que je me lance dans cette nouvelle histoire qui se déroule plusieurs siècles plus tard, alors que nos héros font désormais partie de l'Histoire avec un grand H, et que leurs aventures et leurs actions ont façonné un tout autre monde. L'allomancie et la ferrochimie sont toujours parties intégrantes de cet univers, malgré l'absence de vrais Fils-des-Brumes. Les personnages sont ici capables de manier les deux formes de magie, on les appelle des Double-Fils.

Très sincèrement, si j'ai aimé certaines choses dans ce roman, je crois juste que c'était le tome de trop, même s'il ne s'agit pas à proprement parler d'une suite. Sanderson avait achevé sa saga en beauté, par quelque chose de cohérent, nous prouvant si besoin était toute l'étendue de son talent. Selon moi, il n'était nul besoin d'en rajouter, même si, dans les remerciements, l'auteur explique qu'il avait envisagé trois trilogies se déroulant dans cet univers, à des époques différentes, mais reliées entre elles par les trois formes de magie : l'allomancie, la ferrichimie et l'hémalurgie.

Nous évoluons ici dans une sorte de western steampunk assez intéressant, mais qui n'a rien à voir, ou presque, avec le monde que nous avions laissé. Les personnages que nous appréciions ne sont plus que des souvenirs, la magie telle qu'on la connaissait a tellement changé qu'elle en devient presque méconnaissable… Je n'ai pas retrouvé grand-chose de l'univers d'origine, et ça m'a dérangée.

Malgré tout, j'ai quand même beaucoup aimé les échanges piquants entre le héros, au nom à coucher dehors, et son meilleur ami. Tous deux sont dotés d'un grand sens de l'humour, ils manient l'ironie et l'autodérision sans modération, et l'héroïne de l'histoire, la jeune Marasi, est très attachante. Malheureusement, l'intrigue elle-même paraît terriblement simpliste à côté de son illustre aînée. C'est « juste » une intrigue policière dans une ambiance western, ambiance que, par ailleurs, je n'apprécie pas particulièrement.

Pour conclure, L'alliage de la justice est un roman très différent des autres tomes de la saga. Plus léger sans doute, mais moins abouti, moins travaillé de toute évidence. Une lecture sympathique mais qui manque un peu d'ambition, et ça se voit. Brandon Sanderson est capable de tellement mieux ! Un pari certainement audacieux mais qui n'a malheureusement pas su trouver grand écho en moi.
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Enquête, action et mystère sont au rendez-vous et le lecteur passe un très agréable moment avec cet "alliage". Bien sûr, on ne peut s'empêcher de comparer à la trilogie mère et cette comparaison est forcément un peu au détriment de cette nouvelle série (oui il devrait y avoir une suite, vu la fin). Mais, après avoir ronchonné sur les premiers chapitres comme je l'ai fait, râlant de ne pas y trouver Vin, Elend ou Sazed, j'ai fini par me retrouver piégée par l'histoire et je me suis laissée embarquée avec plaisir dans cette aventure. Il me tarde à présent d'en savoir un peu plus.

C'est évidemment toujours un plaisir de retrouver Brandon Sanderson et cette fois-ci ne fait pas exception à la règle, même si les fans de Fils des brumes, dont je fais partie, ne pourront s'empêcher d'avoir de petits regrets parfois. Ces regrets se transforment en impatience de lire la suite une fois qu'on a lu l'épilogue, mais je n'en dirai pas plus ... C'est du Sanderson, c'est du bon. Vivement la suite en tout cas !!
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Ce quatrième tome da la saga 'Fils de brumes' est en rupture totale avec l'épisode précédent; alors que des questions éthiques de pouvoir et de gouvernance étaient en toile de fond d'une épopée grandiose, on se retrouve ici avec un quasi western où d'interminables batailles prennent presque toute la place au détriment d'un propos un peu plus signifiant. La fin annonce possiblement qu'on en revienne par la suite à ce qui était plaisant dans la première trilogie; il faudrait vraiment que ce soit le cas car dans le cet épisode, seuls la difficile acclimatation de Wax au contexte urbain et le beau mystère entourant un fascinant personnage féminin sauvent la mise. Les répartis caustiques entre Wax et Wayne sont tellement répétitives qu'elles en deviennent lassantes à la longue et l'incursion de l'auteur dans l'univers steampunk me semble plus ou moins ratée. Bref une déception, ce qui m'a grandement surpris compte tenu de la qualité du début de cette saga.
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On parle de 4ème tome, mais l'histoire de Wax se déroule 500 ans après celle de Vin, et elle marque le début d'une nouvelle trilogie. Les siècles ont passé, la société a évolué, s'est modernisée, a vu naître les armes à feu, les chemins de fer, l'électricité et les premiers gratte-ciel. On suit Wax et Wayne, deux partenaires et amis, deux gardes-loi. Exilés dans les Rocailles, un coin misérable et oublié, loin de la Capitale, ils luttent pour maintenir l'ordre jusqu'à ce que Wax soit rappelé à Elendel suite au décès de son oncle. Obligé de gérer les affaires familiales, il renonce à son ancienne vie de justicier, mais des événements inquiétants vont perturber tous ses projets...

On retrouve ici l'allomancie et la ferrochimie que l'on avait découvertes dans les premiers volumes de la saga. La magie singulière créée par Sanderson fait le lien entre les anciens et les nouveaux tomes, mais j'ai eu un peu de mal à accrocher à ces nouveaux personnages. Certains de leurs échanges sont pourtant savoureux et drôles, mais il m'a manqué quelque chose. Peut-être parce que je m'attendais à retrouver davantage d'éléments de Fils-des-Brumes, et que je suis du coup restée sur ma faim. Je pense que je lirai la suite un jour, pour clore la saga, mais cette lecture a été un poil laborieuse et je n'ai pas envie de m'y plonger maintenant.

Une lecture mitigée donc...
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C'est une suite très intéressante à la première trilogie !
On retrouve avec plaisir l'univers de Fils-des-brumes, notamment les magies. J'adore le concept de l'allomancie et de la ferrochimie et j'ai pris plaisir à suivre des personnages qui peuvent les utiliser.
L'époque du livre, qui se rapproche des XIX/XXè siècles, offre une dimension différente à la magie, et je l'ai trouvée très bien mise en scène, avec des combats intenses, des retournements de situation, avec des stratégies basées sur les pouvoirs de chacun.
D'ailleurs, c'est intéressant de suivre des personnages qui ne sont pas aussi "puissants" que Vin ou Kelsier pouvaient l'être, et voir comment ils se débrouillent avec leur allomancie et/ou ferrochimie pour s'en sortir ou accomplir certaines choses.
Le personnage principal, Wax, s'éloigne grandement de Vin, mais je le trouve tout aussi sympathique à suivre, attachant et bien travaillé. Les autres personnages importants - Wayne, Marasi, Miles - sont tout aussi bien développés. On a même le coeur qui se serre pour l'antagoniste.
D'autres personnages comme Steris ou Ranette ne demandent qu'à être mieux connus dans les tomes suivants, mais offrent déjà une belle palette de personnages charismatiques et bien différents.
Pour ce qui est du scénario, c'est une histoire haletante, où les retournements de situation arrivent au bon moment pour relancer le rythme, où quelques moments de pause offrent le temps de mieux découvrir les personnages, où les progrès technologiques sont utilisés de diverses manières, mais toujours bien expliqués.
On pourrait s'arrêter ici, mais l'épilogue donne terriblement envie de lire la suite et, puisque le tome 2 est sorti…
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Brandon Sanderson étant l'un de mes auteurs préférés, je m'attendais à adorer ce tome autant que la sage initiale. Cependant, je dois dire que j'ai eu du mal à terminer ce livre.
Les personnages sont pourtant intéressant et l'univers légèrement steampunk est agréable. Seulement, j'ai trouvé que le récit présentait quelques lenteurs avec une trame principale peu aguicheuse finalement. Je pense que l'auteur nous réserve encore des surprises avec l'allomancie mais pour ma part je vais attendre un peu avant de me lancer dans la suite.
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Pour cette critique je précise un fait inhabituel et dont certains crieront au scandale ( mais c'est pas grave j'assume), qui est que je rédige celle ci dans l'ordre chronologique de mes lectures. C'est à dire que j'ai lu Jeux de Masques avant celui ci.
Et même constat que le second tome, cela n'a gêné en rien ma lecture. je ne saurai dire si c'est là une qualité ou un défaut de l'auteur, ou si je suis passé complètement à côté de la plaque. Bon en même temps lorsqu'on vous offre un bouquin de Brandon Sanderson et que vous ne poosédez pas le premier tome, il est difficile de résister à la tentation. Et c'est ce qui s'est passé me concernant puisqu'ayant acquis l'alliage de la justice en cours de lecture de sa suite.
Pour ce livre, je n'ai pas retrouvé le même entrain et la même fougue de lecture que pour Jeux de masques. En effet si Sanderson renoue ici avec l'univers des Fils de Brumes, en apportant des éclaircissements et des développements faisant honneur à son imagination débordante, et en débordant très largement du cadre de la fantasy ou de la sf, les premières aventures de Wax ne m'ont guère convaincu. je dois tout de même avouer que l'ordre peu conventionnel de lecture m'a permis d'écclaircir certains points du roman suivant et celui ci vaut quand même le détour pour ces qualités propres. la caractérisation des personnages pincipaux en est déjà un, ainsi que les relations qu'ils entretiennent. le lien qui unit Wax et son acolyte Wayne est d'autant mieux exloité et mis en valeur qu'il constitue un élément essentiel au récit. L'un ne fait pas d'ombre à l'autre dans la mesure où chacun porte sa propre histoire, même si l'intrigue principal est centrée sur Wax. L'autre point fort de ce roman réside dans l'utilisation de la "magie" créée par Sanderson. Inutile d'en rappeler son originalité. Mais celle ci constitue à elle seule un pan entier de l'histoire puisqu'elle s'inscrit entièrement dans le scénario et constitue en même temps sans doute le pilier principal de l'univers de Sanderson. Il l'exploite au meilleur de son imagination à travers les différents combats qui jalonnent le récit, avec force description et précision.
Ce tome ressemble plus pour moi, à une passerelle, assurant le lien entre la trilogie des Fils de brumes, et une nouvelle à venir et qui débuterait avec Jeux de Masques. Je crois me souvenir avoir lu quelque part un commentaire dans ce sens de la part de l'auteur, mais je n'en mettrai pas ma main au feu. Mon impression demeure tout de même et c'est sans doute ce qui explique mon manque d'intérêt pour ce tome. C'est sans doute également lié à mon choix de lecture, mais je m'efforce de croire que Brandon Sanderson fait preuve dune telle cohérence dans ces récits et dans la construction de son "Cosmère" que chaque livre, même inscrit dans un cycle, se suffit à lui même.
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