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4,42

sur 608 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'avais très envie de lire ce livre après avoir lu et adoré Ce qu'il n'ont pas pu nous prendre de la même auteure. Mais le sel de nos larmes n'aura pas réussi à détrôner ce dernier. D'ailleurs ce fut presque une déception.
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire car il y avait 4 points de vue qui changeaient beaucoup trop vite, seulement une ou deux pages pour chaque personnage. J'ai donc trouvé dur de m'attacher à un personnage en particulier et de suivre le rythme de l'auteure au début. Puis je m'y suis faite au fil de ma lecture.
Après ce premier (mais important obstacle pour moi) j'ai pu apprécier l'histoire qui est assurément bouleversante.
Pourtant je m'attendais vraiment à une histoire de nauvrage, c'était pour moi l'objectif premier du livre: raconter un épisode méconnu et au combien tragique de l'histoire. Bien sûr que le reste était tragique ! Même horrible à certains moments. Mais, mais... je n'ai pas eu l'impression de lire une histoire sur un naufrage. Cet épisode est bien trop court par rapport au périple des personnages pour arriver jusqu'au bateau. Il arrive très tardivement et ne fait que quelques pages. La fin est aussi trop brève à mon goût.
Donc voilà petite déception... Mais je trouve l'idée de l'auteure absolument géniale. Nous raconter des épisodes méconnus de l'histoire est une merveilleuse initiative. Grâce à cela j'apprends en lisant et c'est très gratifiant. Je pense que malgré les points négatifs que j'ai pu trouver, ce livre mérite tout de même d'être lu par un GRAND nombre de gens. Tout comme Ce qu'il n'ont pas pu nous prendre qui garde une place spéciale dans mon coeur.
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On m'avait dis beaucoup de bien de ce roman et je dois avouer que je suis un peu déçue.. C'est dommage parce que j'avais beaucoup aimé Big Easy et Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre.
J'aime beaucoup les livres sur la Seconde Guerre mondiale. Ici rien à dire, Sepetys nous fournit un vrai récit historique. Elle nous décrit la vérité en face dans toute sa brutalité. Toujours avec sa plume d'une franchise violente, elle nous décrit le dur voyage des populations de l'est, la famine, la mort, la solitude.
J'ai beaucoup aimé comment l'histoire s'organise autour du petit groupe de réfugiés, comment les secrets sont peu à peu développés.
Mais je reste sur ma faim, en fait. J'ai l'impression qu'il manque des trucs. Une horrible impression de pas assez. La psychologie des personnages est super il n'y a rien à dire là dessus, Emilia, Joana et Florian ont souffert et lutte chacun à leur manière. Alfred est un bon petit nazi issu du système, une victime du lavage de cerveau de la propagande. Tous les 4 souffrent et je partage leur souffrance.
Mais je trouve que c'est pas assez exploité jusqu'au bout. Déjà on apprend leur secrets super tard dans le roman et ensuite, les secrets n'ont pas le temps de se développer. Il n'y a que le secret d'Emilia qui en vaille la peine.. D'ailleurs c'est de loin mon personnage préféré, elle sonne plus juste que les autres.
J'ai aussi été hyper déçue par la fin. Déjà je m'attendais à un naufrage qui me prenne aux tripes.. Mais je n'ai rien ressenti de tel.. Il y a des descriptions qui incitent (lourdement) à la pitié (tous les bébés lancés à la mer, les enfants abandonnés, les gens piétinés). J'ai trouvé qu'on recherchait trop la pitié du spectateur avec des détails "gore" plutôt qu'une émotion plus saine et plus pudique.
Et puis la fin m'a paru trop facile..
Enfin, le sel de nos larmes est quand même un très bon roman, qui nous rappelle combien la guerre est une aberration et surtout, qui nous rappelle de ne pas oublier les atrocités commises pendant cette guerre mais aussi toute les guerres en général. C'est un roman témoignage qui nous oblige à ne pas oublier les souffrances et les victimes des horreurs de la guerre, un bel hommage à ces milliers de disparus.
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J'ai d'abord pris ce roman car j'aime beaucoup cette auteure et que le fait historique dont s'inspire le roman ne m'était pas connu et que j'ai voulu en savoir un peu plus.

L'Allemagne nazie vit ses dernières heures et les Soviétiques victorieux sur le front de l'Est envahissent les terres jusque-là occupées par les Allemands. Devant eux fuient des milliers de civils dont Joanna, Emilia et Florian, les protagonistes du roman. Chacun protège un secret quand ils se retrouvent ensemble sur les routes en destination du littoral où les attendent des navires qui les évacueront vers les zones encore sous le contrôle allemand. le Willhem Gustloff est un de ses bateaux de l'opération Hannibal et Alfred, le dernier protagoniste, est marin à bord. Il a des rêves de grandeur malgré sa paresse et sa couardise.

L'histoire du Gustloff est moins célèbre que celle du Lusitania ou du Titanic. Elle n'en est pas moins tragique et meurtrière (elle a d'ailleurs fait plus de victimes que les deux autres naufrages).
Le suspense ne réside donc pas dans le devenir du bateau mais plutôt dans celui des protagonistes. S'en sortiront-ils et lesquels?

Les personnages sont attachants avec leurs fêlures, leur douleur d'avoir perdu leurs proches ou d'être dans l'incertitude de leur sort. A cela s'ajoute pour Joanna, l'infirmière, le sentiment d'impuissance devant tant de souffrance. Emilia, quant à elle, est l'image même de l'innocence brisée par la guerre. elle croit encore aux chevaliers (surnom dont elle affuble Florian) et aux contes de fées malgré les horreurs qu'elle a subi. Alfred, le moins sympathique du lot, rédige des lettres imaginaires à une jeune fille restée apparemment au pays. Ce n'est qu'au tout dernier instant qu'on découvre le sinistre secret derrière ces écrits.
Florian est prussien, Joanna lithuanienne, Emilia polonaise. Leurs origines sont différentes mais ils se retrouvent dans la même tourmente guerrière et tenus par la même peur.

Le roman se lit vite grâce aux très courts chapitres et au suspense qui tient en haleine jusqu'aux dernières pages.
Je l'ai trouvé aussi captivant grâce à la plume de Ruta Sepetys qui a su redonner vie à cette page sombre et dramatique de l'histoire maritime et donner des visages aux victimes de cette effroyable tragédie.

A partir de 13 - 14 ans
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CRITIQUE DE :  « LE SEL DE NOS LARMES »

Ce livre est trop long mais il est bien (même si j'ai pas fini) ça parle de 3 enfants qui s'enfuient de la guerre.Je m'attendais à des gens qui fuient des camps de concentration qui s'enfuient en prenant par la mer.Il m'a intéressé car le titre m'a plus, le résumé est sympa et l'histoire est construite. Les chapitres sont en 2 pages.Les personnages principaux sont:Joana,Florian, Emilia,Alfred.Ils doivent éviter les soldats quels qu'ils soient ami ou ennemi,les bombes,et survivre au froid.
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Entre le résumé alléchant et les critiques très élogieuses, je m'attendais à un superbe moment de lecture. Un coup de coeur en perspective. Forcément !

Et oui, il a absolument tout pour plaire celui-là : un contexte historique passionnant, des jeunes héros meurtris par la guerre, un compte à rebours pour la survie.

Seulement, avec moi, la mayonnaise n'a absolument pas pris ! Et je suis d'autant plus déçue que j'en attendais beaucoup.

La raison principale, c'est que je ne me suis tout simplement pas prise d'affection pour les héros, donc difficile de s'immerger dans un livre quand ils vous sont indifférents. Ils manquent beaucoup trop de profondeur pour que tout le côté dramatique de leurs histoires puisse s'exprimer.

Côté scénario : la première partie est vraiment longue et on ne ressent pas beaucoup le besoin urgent des personnages à rejoindre leur objectif, donc aucune tension et un léger ennui pour ma part. La seconde partie où l'intrigue se passe sur un navire m'a davantage intéressé, mais elle est beaucoup trop courte.

Enfin, je n'ai pas vu l'intérêt d'insérer une romance et ça m'a plus énervé qu'autre chose, vu ça n'apporte rien.

Bref une lecture sans ennui, avec une jolie écriture, qui se lit rapidement, mais elle ne m'a absolument pas entraîné. Je l'ai refermé pour passer à autre chose aussitôt et sans regret.
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La grande force du roman de Ruta Sepetys est de traiter un sujet qui ne l'est quasiment jamais. Il est rare de lire des romans sur l'exode des Allemands face à l'avancée des Russes, et encore moins sur le naufrage du Wilhelm Gustloff, qui pour ma part, m'était totalement inconnu.
Les personnages sont attachants, Joanna, Emilia et Florian bien sûr, mais les personnages secondaires sont tout aussi intéressants. Mention spéciale au Poète de la chaussure, un vieux cordonnier qui découvre les gens en regardant leurs chaussures.
Le roman est vraiment plaisant, j'ai trouvé malgré tout qu'il y avait quelques longueurs du fait de la succession de voix, et donc quelques répétitions. Mais l'alternance de chapitres courts facilitent la lecture, et je veux bien croire que pour intéresser un public ado au roman historique, il faut proposer ce type de structuration.
J'ai refermé le livre en ayant la satisfaction d'avoir appris de nombreuses choses et c'est bien là l'essentiel !
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En décembre, j'avais emprunté un livre à la bibliothèque de mon école à l'aveugle. le principe : il était emballé dans du papier cadeau et je n'avais aucune idée de ce dont il pouvait parler, à part qu'il s'agirait d'un roman historique avec une romance. J'ai à ma grande surprise découvert une fois chez moi que j'avais emprunté Salt to the Sea, traduit en français sous le titre de le Sel de nos larmes. Or ce livre, je voulais le lire pour deux raisons : la première est que ce livre était absolument partout à sa sortie en France. Partout. Tout le monde était en train de le lire/l'avait lu et surtout : tout le monde le trouvait fantastique. La deuxième : ce roman parle d'un épisode dramatique de l'histoire totalement méconnu et je me demandais vraiment comment un truc aussi gros avait pu arriver et être oublié quelques décennies plus tard.

En ce qui concerne l'histoire : l'auteur a écrit un roman où ses quatre personnages principaux deviennent tour à tour narrateurs dans des chapitres très courts, et nous racontent ce qui leur arrive en janvier 1945, alors qu'ils veulent échapper à l'armée russe et qu'ils vont embarquer sur un navire énorme, le Wilhelm Gustloff. Quatre adolescents et quatre personnalités différentes : Joana est une infirmière polonaise qui n'a pas la langue dans sa poche, Emilia une jeune fille Lituanienne qui a fui son pays et souffre en silence, Florian un Allemand un peu louche mais bienveillant, et Alfred, Allemand nazi qui veut remplir sa mission jusqu'au bout et (légèrement) prétentieux mais qui n'est qu'un dégonflé de première.

Ces quatre jeunes vont tous se rencontrer à un moment ou à un autre au cours de leur périple afin d'embarquer sur le paquebot qui les conduira en sécurité à Kiev. L'Allemagne et la Prusse ayant été envahies par l'Armée Rouge, elles ne sont plus sûres et les peuples allemands, polonais ou lituaniens se retrouvent condamnés à l'exil. Tous voient dans ces bateaux une promesse de paix – ou au moins de sécurité d'ici à ce que les affrontements s'arrêtent. Problème – et ce n'est pas vraiment un spoil puisque que c'est le truc qui a été le plus répété sur ce roman – le bateau contenant plus de dix mille passagers fait naufrage peu après son départ, faisant des milliers de morts, bien plus que le Titanic par exemple.

Une histoire bien joyeuse donc ! Je m'attendais évidemment à un roman émouvant, prenant et bouleversant, d'autant plus qu'il est inspiré d'une histoire vraie. Et comme beaucoup de lecteurs, en refermant ce livre, je suis toujours choquée qu'une telle catastrophe ait pu passer « inaperçue », ou du moins que je n'en ai jamais entendu parler avant. Encore une chose qui nous rappelle que l'histoire est bel et bien une construction humaine où l'on nous raconte seulement ce que l'on veut bien nous raconter.

Là où le bât blesse, c'est finalement le reste de l'histoire. Je ne me suis pas attachée aux personnages, à part peut-être à Joana, et peut-être un peu à Florian, et encore. J'avais conscience qu'ils étaient en train de souffrir, que l'histoire était horrible… Mais voilà, ça ne l'a pas fait. Je suis restée assez insensible à leur aventure et j'ai tourné les pages sans réel entrain. Quitte à laisser le livre posé sur ma table de chevet un peu trop longtemps sans y retoucher. Côté pathétique, il y a ce qu'il faut. Et c'est finalement ça qui m'a posé problème. Malgré l'aspect horrible de cette histoire – inspirée du réel qui plus est – j'ai trouvé que ce roman était affreusement tire-larmes et virait au pathos toutes les deux pages.

C'est sûr, faire des blagues de toto dans un roman sur l'exil de civils pendant la Seconde Guerre Mondiale qui en plus se tapent un naufrage, c'est pas trop de circonstance. Mais je ne sais pas… J'ai eu le sentiment que c'était too much. Même si ça avait pu être vrai. Je trouve qu'actuellement, dans beaucoup de romans historiques, on essaie toujours de trouver des situations absolument horribles, les pires qui soient pour « faire pleurer dans les chaumières » (dixit maman). du genre, dans un roman qui aborde la déportation, on va forcément prendre le point de vue d'une femme juive enceinte, qui a perdu toute sa famille, aveugle, et si elle a la gale c'est encore mieux – c'est plus romanesque.

Attention, – avant que vous me taxiez tous de grosse insensible / saloperie sans coeur ou que sais-je : je ne dis pas que ça n'a pas existé. Je ne dis pas que ça n'a rien d'horrible – c'est horrible, c'est inhumain, etc. Simplement : pourquoi forcément dans les romans prendre toujours le pire du pire pour émouvoir tout le monde ? (et étiqueter ça comme de la littérature féminine par-dessus le marché, c'est tellement mieux). Au passage on rajoute une romance désespérée à la Titanic qui achève bien tout le monde, et c'est parfait.

Personnellement, ça ne m'émeut pas. Ou du moins, ça ne m'émeut plus, parce que j'ai le sentiment que l'auteur en fait des caisses et des caisses. A croire que certains ont des actions chez Kleenex.

Pour autant, je pense et je maintiens qu'il existe des romans historiques formidables, qui m'ont beaucoup émue et que je n'ai pas pu lâcher avant de connaître la fin (avec forcément du pathétique, un minimum, mais abordé de façon différente). Je pense notamment à La Faim Blanche d'Aki Ollikainen, une pépite finlandaise écrite d'une main de maître, et qui aborde l'exil de nombreux Finlandais au XIXème siècle alors qu'ils étaient victimes d'une famine sans précédent. Il y a des morts aussi, il y a des détails affreux, mais ça vire pas au tire-larmes avec une romance qui sort de tu sais pas trop où…

Tout ça pour dire que finalement, en refermant ce roman, je n'étais pas bien convaincue. Et je me sentais presque coupable de ne pas aimer – parce que c'est historique, et c'est un peu la réalité. Je suis quand même contente de l'avoir lu, tout simplement pour avoir pris connaissance de ce naufrage monstrueux, et parce que ce n'était pas hyper désagréable à lire quand même, mais je reste quand même sur une grosse note d'amertume, en me disant que certains détails étaient tous simplement de trop.

Conclusion : les romans historiques oui, le pathético-niaiseux racoleur : non.
Lien : http://laroussebouquine.fr/i..
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Ce n'est pas que je n'ai pas été émue par le destin tragique des personnages mais je pense être tout simplement passée à côté de ce roman.
Malgré l'attachement que j'ai eu pour Joana, Florian, Emilia et peut-être Alfred, je n'ai pas réussi à identifier ces derniers aux vraies victimes du naufrage ou même à tous ces exilés fuyant cette terrible guerre. Ce n'est pas que je suis insensible, bien du contraire. Je suis facilement impressionnable sur ce genre de sujet. Malheureusement d'autres romans ont su me transmettre plus d'émotions que celui-ci.

Je pense que le problème vient du fait que j'attendais un récit bouleversant sur cette catastrophe maritime que je ne connaissais pas mais qu'à la place, j'ai suivi la lente avancée des personnages vers une issue pas si incertaine.

Non seulement, il n'est question du naufrage que dans les dernières pages mais en plus, je trouve cette partie très bâclée par rapport aux détails apportés durant le reste du livre. du coup, il est difficile d'avoir le coeur serré ou de ressentir de la compassion pour un fait si vite relégué au passé.
En gros, je n'ai pas arrêté d'attendre quelque chose qui n'est jamais venu et c'est pourquoi je ressors si déçue de ma lecture.

Au final, le sel de nos relate le parcours de 4 vies brisées par la guerre. Tous d'origines différentes, tous gardent un secret bien enfoui - mais peu subtile à mon sens.
Bien sûr, il est difficile de ne pas s'attacher à eux étant donné leur situation plus qu'inconfortable. La guerre traîne en longueur et l'hiver est rude pour tout le monde.

Finalement, s'il n'était pas question du naufrage, cela aurait été un roman émouvant pas certains aspects où j'ai apprécié la prise d'initiative de faire rencontrer des gens qui n'auraient jamais dû se côtoyer dans d'autres circonstances. J'espère à penser que l'amitié et l'entraide qui transparaît dans ce récit a pu se produire réellement.

Je suis désolée pour ceux qui ont eu un coup de coeur pour ce roman mais pour ma part, au-delà du sujet qu'il traite, je n'ai pas senti un grand investissement à maintenir une tension dans l'historique des personnages où dans le naufrage en lui-même. de plus, je ne m'attendais pas du tout à cette fin-là et c'est un point de plus qui me fait refermer le livre si peu satisfaite.

Je reconnais que ce livre à des qualités mais Ruta Sepetys n'a pas su m'émouvoir autant que je l'aurai voulu.

Lien : http://melimelobooks.blogspo..
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J'aime beaucoup la façon dont ce livre est écrit, l'histoire est magnifique même s un pu trop sombre pour moi en ce moment. A lire!
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Voilà un livre que je n'aurais pas choisi en librairie pour pas mal de raison (le sujet, la couverture oui oui faut pas juger un livre à sa couverture mais tout de même, le titre français...) mais j'ai eu l'occasion de le lire grâce à l'opération masse critique (Merci Babelio ;) .
Je suis "monostyle" mais j'essaye de m'ouvrir à d'autres genres que le policier, thriller, fantasy, etc.

Je partais avec un gros a priori "encore un livre sur la seconde guerre mondiale!" Alors oui...Mais non. Ce sont d'autres "victimes" qui parlent. Ici 4 personnages nous racontent à tour de rôle leur lutte durant une exode pour fuir la guerre, les russes d'un côté, les nazis de l'autre, leur voyage vers l'espoir...

L'écriture est simple (je pense d'ailleurs que c'est ce qui explique en partie, pourquoi c'est édité en jeunesse, le style est clair, bien que l'histoire soit aussi adapté aux adultes), se lit vite et agréablement. le changement de personnage toutes les deux pages demande un petit effort de concentration dans les premières pages, mais on prend vite le pli et les évènements s'enchainent sans temps mort.

Je n'ai malheureusement pas été tout à fait séduite par ce livre sans trop savoir pourquoi, bien que la rencontre avec l'auteure m'ait permis de comprendre sa démarche et ses motivations...
Ce n'est peut-être tout simplement pas mon genre?...
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