J'ai aimé qu'on parle des violences verbales et physiques qui sont importantes. J'aime aussi qu'on montre le courage car il s'exprime devant tous le monde et c'est bien ! J'aime bien que Mila se met en couple avec lui car les deux personnages sont vraiment sympathiques et le courage de Mila quand elle l'a défendu face aux critiques , aux violences qu'il a subit par les autres camarades de sa classe c'est génial ! Ce livre est très court mais il exprime beaucoup . Si vous chercher un livre prenez lui je vous le recommande à 100% :)
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Le récit d'un ado à une fête de fin d'année qui part sur des banalités, puis, se met à parler petit à petit de son harcèlement au quotidien. Il reste à ce jour, mon préféré de la série et est exceptionnel par sa justesse et son acidité. Un roman que je relirai avec grand plaisir et qui est un énorme coup de coeur et coup de poing dans la littérature.
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Encore un roman de la collection "court toujours" qui se veut pour petit lecteur.
Imaginez la fête de fin de lycée un peu comme une scène ouverte où les élèves volontaires viennent présenter sur scène un projet ou un talent. Alors voilà ce petit gringalet pas très populaire qui arrive sur scène pour un stand up qu'il a appelé "Miette (humour décalé)".
Nous allons donc écouter son récit d'abord léger (comme je suis maigrichon c'est moi qu'on choisit en dernier en sport) puis de plus en plus grave et sarcastique pour finir sur une scène d'humiliation à caractère sexuel qui peut être choquante. Il y est question de masculinité, de sexisme, de harcèlement.
Lecture coup de poing qui donne à réfléchir et peu sensibiliser des ados.
je dirais pas avant 14-15 ans et difficile à conseiller au vu du contenu.
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En cette fin d'année scolaire, un adolescent prend la parole sur scène et s'adresse à un auditoire intrigué. Il dénonce clairement certaines dérives comportementales des jeunes et des moins jeunes du lycée. Sont abordées ici les notions de virilité, de sexualité, de popularité... Au lycée se dessinent déjà les contours d'une société très normative dont on ne peut s'écarter qu'au risque d'être critiqué, rejeté voire humilié. L'assistance qui s'attendait à un discours convenu est médusée, la communauté éducative mal à l'aise: "M. le proviseur est en PLS au premier rang. M. Almendra est tout blanc." Eh oui, pour organiser des campagnes de prévention en tous genres l'institution est forte mais lorsqu'il s'agit de passer à l'acte et de prendre de véritables mesures, la plupart manque à l'appel. Nous avons eu encore récemment des exemples de suicides d'élèves harcelés. Tout le monde savait et personne n'a rien fait... Et comme le dit ce jeune avec fatalité, absolument rien ne sera fait! C'est vrai! L'institution a failli! Un livre très noir!
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Miettes (humour décalé) ne fait que 48 pages. Mais, croyez-nous, ces 48 pages sont amplement suffisantes, le message n'en est que plus puissant.
C'est une histoire courte, racontée au travers du discours d'un adolescent. Si au départ son récit semble être presque celui d'un jeune enfant, il gagne en maturité au fur et à mesure, non pas par son niveau de langue, mais par son analyse de la situation. Bien que l'histoire soit fictive, elle nous paraît de plus en plus réelle et, surtout, très actuelle. En effet, la situation décrite est assez extrême mais représente pourtant, le possible aboutissement de moqueries auquel nous assistons quotidiennement. C'est pourquoi ce roman nous a particulièrement touchées puis poussées à la réflexion.
Ainsi, Miettes est la preuve qu'il n'y a pas besoin d'une histoire compliquée, où s'entremêlent de nombreuses intrigues, pour former un bon récit. le récit, compréhensible et simple d'accès est mêlé à des émotions brutes, sincères et sans hypocrisie. Attention toutefois, il ne faudra pas se fier à la première impression. le style est assez inhabituel, surprenant, mais la détermination du protagoniste suscite notre intérêt.
Enfin, nous trouvons que la lueur d'espoir apportée par le récit est excellente. Elle nous rappelle que, même au plus bas, il y a des moyens pour remonter. Miettes (humour décalé) est donc un énorme coup de coeur que nous vous conseillons de le lire sans plus attendre.
>>> Marianne et Lucie
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miettes:( humour décalé)
Ce livre écrit par Stéphan Servant nous présente un garçon différent des autres et n'étant pas dans les critères de beauté. Il a donc décidé de prendre la parole devant l'ensemble du lycée afin de dénoncer le harcèlement et les moqueries qu'il a subi. On voit que même les personnes les plus proches de lui n'apprécient pas le fait qu'il soit différent des garçons de son âge et ne l'apprécient pas à sa juste valeur. J'ai beaucoup aimé ce livre et la manière dont il est écrit rend la lecture facile. Ce livre est assez court mais nous fait pourtant beaucoup réfléchir : Pourquoi être différent est un problème dans notre société ?
On voit qu'en réalité, le personnage principal rêve d'être comme les autres, mais qu'il se rend compte que le pouvoir qui est donné aux gens n'est défini que par leur physique, leurs passe- temps ou leur argent. ( ‘'Depuis toujours on répète aux garçons : "Le monde est à toi, il t'appartient." et ça justifie tout. Les guerres, les viols, les mains au cul et les humiliations.
Non mais, sérieusement, qui a décidé, un jour, que les dix centimètres entre nos jambes nous donnaient droit au pouvoir ? Au respect ? A l'amour ? Que les plus forts d'entre nous pourraient écraser les autres ?''). Notre société nous oblige à penser que tout ce que nous pouvons avoir provient de notre statut social alors que nous pouvons faire en sorte d'être beaucoup plus qu'un statut social et de dépasser les barrières imposées par la société . Ce livre va à l'essentiel et est pour moi un très bon moyen de dénonciation de la société d'aujourd'hui.
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Les romans de cette collection sont toujours percutants. J'ai particulièrement apprécié ce titre qui traite des relations entre les sexes. le narrateur se sert d'un "seul en scène" pour dénoncer à la fois les relations entre garçons et leur "virilité" exacerbée à l'adolescence et les relations toxiques garçon-fille où la domination sexuelle et l'absence totale de respect sont "presque" la norme.
Les adultes ne sont pas épargnés, spectateurs statufiés de ces comportements destructeurs.
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