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3,93

sur 986 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Autant j'avais beaucoup aimé le livre de Elif Shafak, Soufi, mon amour ; autant celui-ci m'a laissé complètement indifférente.
Histoires de familles, histoires passées et d'aujourd'hui, relations familiales compliquées, Histoire tout court.
Livre vite lu, que j'oublierai sans doute très vite aussi.
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Rarement avis m'aura été aussi difficile ! Je suis entrée dans ce roman, conseillé par ma collègue, en salivant. Chaque chapitre est une denrée décrivant des plats turcs où je me suis délectée des couleurs et des odeurs. Puis j'ai une indigestion. Deux jeunes filles vont cohabiter, pour quelques jours, dans cette maison où ne vivent que des femmes parce que les hommes meurent. Malédiction ? L'une est turque, l'autre arménienne-américaine. Ressurgit du passé les conflits entre ces deux peuples. Une prose à deux temps. Certains passages bien écrits, d'autres limite niais qui remplissent des pages. Et on devine très vite qui est le père de Asya. Je me suis demandée si ce bouquin n'était pas sponsorisé par des marques publicitaires, surtout de voitures où à un enterrement, elles sont décrites avec leurs couleurs et même le nombre de cylindres. On peut lire dans un article de Courrier International : « La romancière turque Elif Shafak a surpris ses compatriotes en s'affichant dans une publicité pour une carte de crédit. L'art et l'argent ne font pas bon ménage, estime le quotidien Taraf. » J'essaye, en général, de compartimenter l'oeuvre et l'auteur mais, là, je ne peux pas au vu de ce qu'on raconte de son passé à une certaine époque à Istanbul et qu'elle aurait fuit en Angleterre après le 15 juillet 2016...
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A une centaine de page de "La bâtarde d'Istanbul" d'Elif Shafak, et la déception m'envahit. J'ai la sensation que c'est un ensemble de prétexte sur la condition féminine en Turquie, dans les familles Arméniennes également et de tristes faits sociétaux qui construisent un semblant d'histoire. Le sentiment que l'auteur a voulu en placer de trop. Ce n'est donc pas une histoire fluide et émouvante, ni écrite d'une manière qui suscite l'attention. Cela ressemble plus à un triste constat. Un sujet délicat qui manque de travail littéraire, de partage, de désir de raconter une histoire. Il y a une multitude de passage du coq à l'âne. Le côté culinaire y a une place étouffante. Je pense en rester là avec ce livre. Ce n'est pas l'introduction d'Amin Maalouf qui me poussera à aller plus loin. De ce côté j'y ai ressenti une accroche, du copinage pour soutenir un nouveau livre à vendre.
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Soufi, mon amour a été un vrai coup de coeur pour moi que j'ai voulu retenter l'expérience avec La bâtarde d'Istanbul et ce fut une vraie déception. Je n'ai po pu accrocher et dire que je l'ai choisi pour compagnon de voyage.. Ah le bol ! -_-

C'est tellement ennuyeux et lourd vers le début qu'on a envie de l'abandonner, l'auteure ne va vers l'essentiel (la rencontre entre Amy et Asya) qu'après avoir bien avancé dans son roman, et comment !
Trop de buzz fait autour comme quoi c' LA révélation du passé entre Turcs et Arméniens, une préface d'Amin Maalouf,.. mais po du tout, que quelques petites bribes d'histoire ! Pour moi, il n'a rien d'un succès.
Il n'y a que vers les 3 derniers chapitres que l'on accroche un peu vu qu'on découvre les destins croisés des deux familles, les relations entre nos différents personnages (certaines plutôt choquantes).. assez complexes..

Je lui donne une note de 2,5/5.
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Un roman agréable à lire mais sans plus. Un peu cliché
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Quelle déception.... j'ai récupéré ce livre par hasard, ai lu les critiques avant de me décider à le lire. Critiques unanimes sur Babelio et ailleurs. Alors pardon mais je vais dénoter. La citation est pour moi représentative de la facilité et de la pauvreté du style, inexistant voire boursouflé. Une histoire improbable, des personnages caricaturaux, une histoire tissée à gros traits, des dialogues pleins de poncifs, une vision idyllique de la maladie d'Alzheimer, le poids de la batarde dans nauseum... bref j'ai souffert mais suis allée au bout. Seul interêt le génocide arménien et les relations avec les turcs ainsi que le devoir de mémoire à effectuer pour le peuple turc, douloureux.
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Je l'ai acheté les yeux fermés. Ayant lu Soufi mon amour, l'architecte du sultan, femmes d'honneur, je m'attendais à un autre excellent voyage, surtout préfacé par Amin Maalouf ! Et ben non. Voyage annulé et non remboursé.
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J'avais beaucoup aimé de la même auteure Crime d'honneur et Soufi mon amour. Je n'ai pas beaucoup aimé ce livre-ci. Je suis restée en dehors de l'histoire et des personnages. Ce qui m'a intéressée le plus c'est l'histoire de la grand-mère Shushan et de celle de Petite-Ma. Malheureusement, cela prend assez peu de place dans le roman.
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J'ai eu un peu de mal à accrocher au début à ce que j'ai qualifié de roman de plage de meuf, mais finalement on peut se prendre à l'histoire (ça a été mieux quand j'ai effectivement été sur la plage. Et quand j'ai lu que l'autrice avait été condamnée pour ce livre en Turquie) ce qui est vraiment bien réussit c'est la description de la bouffe machallah ça donne envie de partir direct. Pour le reste, bon, pourquoi pas, ça se lit quoi.
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