Je l'avais fait. J'étais entrée dans cette zone que l'on atteint lorsque, transcendé par la musique, on danse. Nos pieds court-circuitent notre cerveau et portent notre corps comme en apesanteur. On cesse alors de réfléchir t on commence à sentir les choses. Ça n'arrive pas tous les jours; en réalité, c'est assez rare. Je suppose que chaque danseur appelle cela différemment. Pour Tito et moi, c'est "Aller LA-BAS."