Sinners, tome 1 : Vicious

Bon, par où commencer. Cette lecture m'a laissé un goût un peu amer. Pourquoi ? Parce que je suis un peu "déçu" et en même temps j'ai passé un bon moment de lecture. Je m'explique. L'auteur a su mettre en avant deux personnages très intéressant, très bien travaillé, profond. Vicious, un jeune homme détruit par la vie qui c'est crée une carapace, la carapace que les gens attendent de lui, il semble cruel, sans émotion. Il vit dans un milieu extremement bourgeois où l'apparence est primordiale. Emilia, fille de domestique, simple, mais une femme déterminé qui a décidé que malgré ce monde de requin elle ne se laisserai pas faire. 10 ans après leur première rencontre et avoir brisé Emilia. Elle c'était promis de ne jamais retomber dans les griffes du loup, mais qu'est ce que l'avenir va leur reserver ?
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L'écriture simple et fluide de l'auteur donné envie d'en connaître toujours plus, nous permet également d'avoir un attachement pour ces deux personnages principaux. MAIS, et voilà où ça à cloché, c'est que pour moi l'histoire était beaucoup trop attendue. Je n'ai pas été surprise, je n'ai pas ressenti de grande émotions.

Je n'ai pas adoré ce livre et j'ai eu énormément de mal à le terminé. J'adore cette autrice pour autant je trouvais que sa plume n'était pas extraordinaire sur ce livre là. C'est une belle histoire quand même mais je n'en suis pas tombé raide dingue.

Une dark romance sympa, mais qui n'a pas relevé mes attentes…

La saga des « Sinners » est l'une des plus connues de l'auteure L.J Shen. Elle passe partout sur booksta et sur les applications de lecture. On me l'a beaucoup vendu en me disant qu'elle était géniale et qu'il fallait absolument que je la lise. Alors, comment ne pas être tenté ?

De manière générale, cette histoire était vraiment pas mal. Les tropes « ennemies to lovers » et « boss/employé » me semblaient très intéressantes. Malheureusement, cela n'a pas eu l'effet escompté.

Le concept de base était bien. Il y avait une alliance entre passé et présent, beaucoup de provocations et de tensions entre les personnages, etc. Tout était fait pour avoir une romance très intrigante et passionnante. Cependant, le gros point négatif et qui m'a freiné dans ma lecture a été le personnage masculin.

Emilia est douce, agréable et hyper courageuse. Tout ce qu'elle fait pour sa soeur et essayer de s'en sortir dans une ville aussi trépidante que New York, on ne peut que lui tirer notre chapeau. Malgré tout, les blessures du passé sont encore là et elle va devoir traiter avec le retour de Vicious.

Vicious est un personnage complexe, mais aussi toxique. Même si certaines de ses actions, notamment sur la fin, sont assez appréciables, son comportement reste tout de même invraisemblable. Je n'ai pas du tout accroché avec sa façon de faire et ses manigances.

Rosie est très touchante. Sa situation est difficile, mais elle reste toujours positive et garde espoir. Elle est littéralement une battante et une force de la nature. Son lien avec sa soeur était très beau à lire.

Les autres garçons de la bande des Sinners sont particuliers. Malgré des désaccords, ils restent fidèles et loyaux. Je suis sceptique sur Dean, il est assez drôle, mais en même temps, certaines de ses paroles ne m'ont pas plu. A voir dans son tome.

Pour conclure, « Vicious » est un tome plutôt pas mal avec un bon concept de base, mais qui est vite balayé par le comportement toxique du personnage masculin.

La lecture reste tout de même fluide et addictive puisqu'il y a énormément de tension entre Vicious et Emilia. Nous attendons avec impatience leur réconciliation. Cependant, Vicious a un comportement inacceptable avec Emilia, ce qui freine la lecture. Même à la fin, j'ai trouvé que le pardon lui a été trop facilement accordé et qu'il s'en est sorti sans pour autant y mettre beaucoup d'efforts.

C'est extrêmement dommage, car l'histoire partait bien et s'il n'y avait pas eu autant de toxicité, l'histoire aurait pu être nettement mieux. Il y avait beaucoup de potentiel.
J'envisage quand même de lire la suite, mais cela ne sera pas pour tout de suite.
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Salut tout le monde ! Aujourd'hui je vous parle de ce roman qui n'est pas du tout fait pour moi :(

🖌 Vicious et Émilia se rencontrent lorsqu'ils ont 18 ans, Émilia est la fille des employés de maison de la famille de Vicious et vit dans l'a rédigé d'à côté. Pour une raison obscure le garçon la déteste alors qu'ils ne se sont pratiquement jamais adressés la parole, il la harcèle et lui pourri la vie…pourtant Émilia l'aime… Vous voyez ce qui m'a posé problème non ? 🥲😅 Franchement c'est IRRÉALISTE !!! Qu'elle genre de femme tombe éperdument amoureuse de son détraqueur 😠

🖌Ils se retrouvent 10 ans plus tard et Vicious l'embauche comme assistante et là surprise : Émilia n'a jamais cessé de l'aimer ! (Oui oui on marche sur la tête). Ensuite leur relation évolue bien et devient même saine 🥹

�lors voilà, je n'ai pas pu m'attacher aux personnages…Néanmoins le roman de lit très vite et est bien écrit mais je pense simplement que ce n'est pas un roman fait pour moi !

🖌J'ai davantage aimé le personnage de Dean et si je dois lire un autre roman de cette saga sa sera celui là !

~Vous l'avez lu ? Aimé ?

Je m'attendais à tellement plus pour ce premier tome, j'avoue que pour moi la saga a très mal commencé (mais j'ai adoré les autres tomes donc au final c'est une saga coup de coeur). J'ai trouvé Vicious imbuvable et Emilia se laisse marcher sur les pieds. À part les 100 dernières pages j'ai trouvé l'histoire trop longue à lire et j'avoue qu'elle ne m'a pas marqué. Je le répète, même si ce tome n'était pas pour moi, j'ai adoré le reste de la saga et Vicous est un personnage génial dans angry god.

Vicious, parle de deux personnes : Millie & Baron Spencer – qui aime à se faire appeler Vicious (no comment). le roman nous plonge directement 10 ans en arrière en nous présentant Vicious & Millie, ados. Elle vient de s'installer chez lui car ses parents viennent d'être engagés au service des Spencers et elle entend une conversation qu'elle n'aurait jamais du entendre. de là, Spencer va lui faire vivre un enfer. Vraiment. Jusqu'à … la faire partir. Loin. Longtemps.

Et 10 ans plus tard, à New-York, ils se retrouvent dans le restaurant où travaille Millie qui galère quelque peu dans la vie alors que Baron, lui, est toujours aussi riche, toujours aussi beau, toujours aussi tropcequevousvoulez.

Je découperai ce livre en deux parties (inégales) : la première partie new adult, la seconde plus thriller (j'exagère un peu mais pas tant).

Alors qu'ai-je pensé ?

Il y a du bon. Il y a du moins bon. Cette romance/ dark romance, appelez-là comme vous voulez est clichée. Nous avons le bad-boy violent, magnifique, riche, mais qui cache un lourd passé et une jeune fille gentille, pauvre et qui s'occupe de sa soeur malade. Plus cliché ne serait possible. Et c'est d'ailleurs bien dommage.

L'histoire est intéressante, il faut l'avouer, car tout du long on veut savoir ce qu'a été le passé de Vicious, comment sa belle-mère est entrée dans sa vie, comment a-t-il perdu sa mère, qui est donc ce père absent, et cet oncle (par alliance) bien chelou ?
J'ai aimé suivre la vie de Vicious et suivre le dénouement de tout cela car on est vite touché par ce personnage et ses excès. Oui, Baron est un excellent personnage : il est complexe, il est sombre (et même si c'est cliché, c'est rigolo), il est manipulateur et ne s'en cache pas et il possède ce côté terriblement fragile qu'on ne fait qu'entrapercevoir tout au long du livre.

J'ai aussi adoré suivre la petite vie dramatique en cinq acte de Millie. J'ai aimé voir son évolution sur dix ans, découvrir sa personnalité atypique, sa gentillesse. Elle est vraiment intéressante à suivre car elle ne ressemble finalement pas tant au cliché de la gentille fille de new romance une fois les premiers chapitres passés. le fait qu'elle soit artiste apporte vraiment beaucoup à son personnage et je l'ai apprécié, tout simplement.

Mais voilà. J'ai certes aimé le livre – je l'ai dévoré même – mais il n'empêche que j'ai beaucoup à redire.

Premièrement, je ne comprends pas les relations entre ces deux personnages. On a affaire une romance amour/haine mais où la haine n'a aucun vrai motif et où l'amour en a encore moins. J'ai trouvé leur relation vraiment incompréhensible de A à Z et je m'en sentais vraiment exclu émotionnellement. Pourtant, oui, j'ai dévoré le bouquin. Et ce n'est pas tant antinomique que cela.

Deuxièmement, j'ai trouvé dommage que l'auteure n'aille pas au bout de sa démarche avec Vicious. Au départ on vraiment affaire à un parfait connard et cela même quand les chapitres sont de son point de vue ! Alors je me disais que peut-être le livre ne suivrait pas les clichés du genre en nous offrant une fin douce amère mais non.

Troisièmement, je n'en peux plus des personnages masculins tarés, riches, magnifiques, violents MAIS finalement pas tant que ça OU en fait c'est à cause de leurs traumatismes d'enfances.
C'est mon avis très personnel, mais les Christians Grays, les Barons Spencers et tous les autres, qu'ils aillent tous se réunir sur l'île clichéland et qu'ils ne reviennent plus ! Sans rire, c'est vraiment chiant d'avoir ce schéma récurrent. Après oui (soyons honnête) parfois de belles surprises peuvent surgir de ces lectures mais c'est vraiment pas/plus ce que je veux lire moi. Je ne veux pas lire des romances où les seules qualités d'un homme soit sa beauté et son porte-feuille.
Mais vous avez raison, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même ; c'était écrit noir sur blanc sur le résumé. Mais c'est que j'avais de l'espoir, moi x)

Bref, l'histoire de Baron en elle même m'a plus, j'ai aimé voir comment il allait se venger des horreurs que la vie lui avait fait vivre. J'ai aimé son personnage sombre (moins le coté riche/beau gosse/violent), j'ai adoré celui de Millie, seulement, ensemble, ils ne m'ont pas convaincu !

Cependant, je dois bien avouer que l'auteure à très bien gérer son histoire entre le passé, le présent et cette super dernière partie. La traduction faite est excellente, on est pris par les mots, les chapitres … Vraiment c'est très addictif et cela se lit à la vitesse de l'éclair : pour ma part, en trois heures s'était plié !
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