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sur 495 notes
je ne vais pas vous raconter l'histoire.. car pour un livre comme celui-ci ce serait gâcher l'intrigue !! Par contre une petite anecdote fera l'affaire.

Il y a un siècle... (enfin une vingtaine d'années) je devais commencer mes études a la fac, j'ai donc décidé de prendre des vacances en Septembre et je suis allée a Nice. un bon vieux Monsieur vendait des livres sur le marché. A l'époque je ne jurais que par S. king . Ce Monsieur m'a conseillée Dan Simmons (que je ne connaissais ni d'Eve , ni d'Adam.. donc nuit d'été fut mon premier livre de cet auteur). Etant d'un naturel septique j'ai mis beaucoup de temps avant de le commencer. .. mais une fois dans mes mains j'ai eu du mal à le poser.

Je lisais dans le train qui m'emmenais a Lille le dimanche soir pour aller a la Fac le lundi. Bien sur ma chambre étudiante n'étant pas a côté de la gare.. je prenais ensuite le métro puis un bout de route a pied. Je crois bien que c'est le seul livre qui m'a autant fait flippée quand je passais à côté des bouches d'aération du métro (légèrement bruyantes !!)... En bref le trajet n'a jamais été aussi court pour moi.. et je n'ai jamais couru aussi vite !!

Comme je suis d'un naturel partageuse , j'ai filé le bouquin à ma mère (qui n'aime pas les livres de SF, d'horreurs etc...)... qui n'en a pas dormi pendant quelques nuits... et pour en remettre une couche il y a un passage du livre ou un camion d' équarrissage traverse la ville.. ma mère m'a certifiée avoir senti l'odeur du camion en lisant le bouquin !!

En bref, je ne remercierais jamais assez ce grand Monsieur de m'avoir fait découvrir un auteur aussi talentueux que Dan Simmons (cela dit avec l'âge il part un peut trop sur une optique politisée qui me déplaît un peu )
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Un roman sympathique qu nous plonge dans la vie d'une petite bourgade américaine où on peut suivre les aventures d'été de quelques jeunes enfants qui vont vivre la véritable peur de leur toute leur existence.
C'est un vrai pavé qui fait monter lentement la pression et le suspense. On passe régulièrement d'un protagoniste à un autre, chacun devant faire face à des événements paranormaux différents mais tous reliés les uns aux autres. On découvre progressivement la raison de tout cela et le fin mot de l'histoire.

Il n'y a pas un passage du bouquin qui se lit sans qu'on ne s'imagine pas être en train de mater un film américain d'horreur mais tout public. On a parfois l'impression de se trouver à la croisée de "ça", "Stand by me", "Les Goonies" et autre "Dragon flottant". L'aventure se laisse facilement suivre, malgré le volume total, il n'y a guère de longueurs dans le texte.
Toutefois, j'avoue n'avoir jamais été vraiment transporté dans l'univers décrit, je n'ai pas tremblé et je n'ai pas été ému, exception faite de l'événement qui survient au beau milieu du récit et que l'on n'attendait pas du tout.

Bref, un bon livre, divertissant et habilement conté. Dan Simmons connait son métier et il le fait bien. Je suis juste resté un peu sur ma faim en termes de frissons. Je pense que ça demeure trop littérature jeunesse à mon goût.
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Printemps 1960, dernière journée d'école dans une vieille école de l'Illinois pour des étudiants qui ne font que rêver à l'été prometteur qui s'en vient. En plus, c'est la dernière fois dans cette école haïe, qui va être mise au rancart, car trop grande et trop coûteuse à entretenir pour la petite municipalité d'Elm Haven.
Pour une petite bande d'amis, de la fin du primaire, ce ne seront pas les vacances qu'ils attendaient. Un étudiant commence par disparaître, ensuite c'est un des leurs qui se blesse gravement sans se rappeler quoi que ce soit. Puis, c'est un soldat décédé qui apparait à certains d'entre eux.
Ensuite les évènements se précipitent, des créatures apparaissent et il y a quelque chose de malsain dans la vielle école.
Les amis devront faire front et ne compter que sur eux-mêmes pour faire face.
Une intégration de plusieurs thèmes, le groupe d'amis de Ça (King), le camion des Camions maléfiques (King), un peu du film Tremors, un peu du film Aliens et une ambiance maléfique, surtout à la fin, à la Lovecraft.
Mais Simmons sait comment raconter une histoire et développer de très bons personnages. J'ai trouvé le roman un peu long, mais cela ne m'a pas empêché de beaucoup l'aimer.
Un écrivain de premier plan, et dans plusieurs genres : science-fiction (Hyperion), fantastique (L'échiquier du mal). Vraiment, il m'impressionne.
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AVERTISSEMENT : tous les propos relatifs à Ca contiennent une forte probabilité d'erreurs en tout genre. La lecture de cette duologie remonte à des siècles, tout commentaire sur l'oeuvre sera donc basé sur des souvenirs lointains, ne vous vexez donc pas s'il vous plaît si ces souvenirs sont inexacts ou imprécis.

« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd'hui, on va faire une petite incursion…

-Une petite de plus de 600 pages, quand même…

-… dans la littérature horrifique, avec Nuit d'été, de Dan Simmons, le grand.

Or donc, c'est le dernier jour d'école dans les sixties du siècle dernier et dans la ville d'Elm Haven. Les enfants attendent sagement l'heure de la sortie. Tous ? Non ! Tubby s'ennuie et décide d'explorer un peu. Hélas, il ne reviendra jamais des toilettes où s'est ouvert un trou mystérieux... Personne ne semble s'affoler plus que ça, mais Duane, Mike, Dale, Lawrence et Jim comprennent vite qu'il se passe des choses étranges dans leur petite ville… Etranges, disais-je ? Non : peut-être même qu'il y a « des choses étrangères » *ajouter ici un gros clin d'oeil dont la subtilité est vendue séparément*

-Oui, Déidamie, tout le monde a compris que tu faisais finement allusion à Stranger Things, la célèbre série de Netflix.

-Ah, ouf, j'avais peur que ça ne se voie pas…

-Ben de toute façon, quand tu vois comment la série plagie le roman…

-Quoi ?! Mais non ! Il y a juste… euh… beaucoup de points communs…

Bref, pour en revenir au texte : je ne suis pas une amatrice de Stephen King, loin de là, ses romans d'horreur me dégoûtent plus qu'autre chose, et quand je parle de dégoût, je ne pense pas à un dégoût plaisant.

-Ah, parce que le dégoût, c'est plaisant ?

-Mais non ! Enfin, si ! le dégoût que j'ai éprouvé en lisant Ca relève plutôt du malaise profond, un sentiment de gêne mêlée de répulsion, de répugnance, de colère, aussi. Je n'éprouvais que des émotions négatives, rien ne me rassurait, rien ne me consolait, tout me plongeait dans un monde privé d'espoir. Ce n'était pas agréable du tout.

Je précise pour les fans que je ne suis pas en train de dire que King c'est de la daube, j'ai très conscience que ma perception est personnelle et marginale, et je suppose que je suis trop une chochotte émotionnelle pour supporter les textes de Stephen King.

Bizarrement, j'ai apprécié le texte de Dan Simmons. Il présente énormément de similitude avec Ca, pourtant, là où ça ne marchait pas avec King, la même trame fonctionne avec Simmons.

J'ai donc pris grand plaisir à suivre les aventures de la Cyclo Patrouille. J'ai adoré le travail sur le contexte et les caractères des enfants : Dale, le grand frère attentionné, Duane, adulte trop tôt, qui garde cependant des émotions d'enfant, Mike, le tendre costaud… l'une des grandes réussites de ce roman se trouve dans les relations qu'ils entretiennent entre eux et les gens qu'ils aiment.

Je crois d'ailleurs que c'est là où le roman réussit chez moi là où Ca échouait : dans mon souvenir, l'horreur ne cesse jamais. Lorsque les enfants ont fini de jouer, d'enquêter, d'affronter Grippe-Sou, ils vivent d'autres souffrances : les familles violentes, maltraitantes à divers degrés, le harcèlement...

Dans Nuit d'été, la violence reste présente, bien sûr, mais elle connaît des instants de pause pendant lesquels tu vois que des personnages s'aiment. Mike et Memo, Dale et Lawrence, Duane, son pater et Wit… Ces pauses dans la tension représentent à la fois de véritables bouffées d'oxygène (tout n'est pas si dégueu), ainsi que des ressorts dramatiques intenses : bien évidemment, les êtres chers… on va vouloir les protéger du mal.

J'ai beaucoup aimé aussi l'exploitation des peurs ordinaires des enfants : le placard, la cave, le dessous du lit, le cimetière… ces endroits qui servent de planque aux monstres ou d'ouverture entre les dimensions.

Et en dernier lieu, j'ai adoré l'aspect organique de l'horreur. L'horreur possède une chair (moche), une consistance (gluante), une odeur (puante), un son (effrayant). Et, vu l'abondance de puanteur, ce roman occupe désormais une place dans ma toutoute première liste, les livres mentionnant des odeurs !

-Mais vas-y, comment elle se la joue Youtubeuse, maintenant… « Lâchez un pouce, ça va aider la chaîne ! » En plus, une liste à quatre bouquins, ça ressemble à rien, c'est n'importe quoi.

-Bref, les images de Dan Simmons fonctionnent et lorsqu'il décrit les monstruosités, il est facile de se les représenter.

-Ben moi, je suis pas si enthousiaste que toi, Déidamie. Je vais passer sur les clichés « gamins en vélo auxquels il arrive des trucs de fou » dont on est gavés depuis ET l'extraterrestre, on va dire que c'est devenu un genre… mais l'arme qu'ils trouvent, sérieusement ? Ca m'a énervée ! C'est comme si le mal rongeant Elm Haven était l'ennemi de Dieu ! Que c'est banal ! Mes dieux, mais que c'est banal !

Ensuite, j'ai pas aimé qu'on ne connaisse pas la nature du mal. Tu vois, c'est un peu comme dans les séries policières : un des meilleurs moments, ce sont les résultats de l'autopsie. Si tu n'as pas les résultats, aaaah, la frustration ! En fantastique, j'adore les explications sur la définition des choses, pour moi, c'est l'équivalent de l'analyse du médecin légiste en termes de « passage obligé délectable ». Et là, on n'en aura pas. Même pas un petit monologue de méchant. Dan Simmons m'a obligée à me construire ma propre théorie sur le mal. Super, merci mec. Chuis même pas sûre d'avoir raison. Ca me gonfle !

Et en dernier lieu… aaarh, je ne Supporte pas les scènes d'amour enfantines. Ca me crispe, mais ça meuh crispe ! Aaarh, j'étais super mal à l'aise.

-Ben quoi ? Il ne se passe rien de foufou, le regard n'est pas malsain sur la fille… pourquoi tu te sens mal ?

-Je n'en sais rien ! On n'a qu'à dire que je suis une vieille bique coincée du uc, et ça m'ira très bien, j'assume.

-Chais pas si les vieilles biques parlent verlan, mais si tu veux, d'accord.
Pour conclure : j'ai passé un fort bon moment avec Nuit d'été, qui m'a réconciliée un peu avec le genre horrifique. Je précise pour les plus sensibles que, aussi paradoxal que cela puisse paraître, c'est une horreur « tout public », les moments affreux sont nombreux, certes, mais ne durent pas indéfiniment ni ne deviennent insoutenables. »
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Merci à tous les chroniqueurs de Babelio pour me mettre sur la piste de ce livre. Et merci aussi à mon mari pour me faire connaître les écrits de Dan Simmons avec "Collines Noires". Sinon, je serais passée à côté d'un bon roman...

"Nuit d'été" ressemble effectivement beaucoup à "Ca" de Stephen King. C'est précisément pour cela que j'avais envie de le lire. Une bande de copains qui combattent le mal dans une petite bourgade , tout y est jusqu'à le "boss ultime" à terrasser. Avec, cependant, la différence non négligeable que le livre de Dan Simmons est beaucoup plus sombre. "Ca", c'est aussi une ode à l'amitié, un hommage nostalgique aux années de la jeunesse de l'écrivain. "Nuit d'été" est plus glauque, plus épuré, et il y a nettement moins d'humour.

Une petite ville d'Illinois en 1960. le maïs arrive aux genoux; c'est le dernier jour de l'école. Et un petit garçon disparaît. Entre les deux parties de base-ball une bande de copains décide par jeu d'élucider cette disparition. Mais au mesure que le maïs pousse, un petit jeu innocent se transforme peu à peu en très sérieux problèmes. Et, finalement, en lutte pour la vie. J'en dirai pas plus, lisez-le, c'est un livre sympa. Et sachez, en cas de problème, que l'hostie et l'eau bénite marchent - mais attention, pas toujours !
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Dan Simmons, autre très grand auteur et bien entendu, mon chouchou aussi (vous savez, coeur d'artichaut), a frappé très fort avec son Nuit d'été, qui n'est pas sans nous rappeler le monumental Ça de Stephen King.
L'auteur s'est écarté de ses domaines de prédilection, fantastique ou SF pour nous offrir un roman horrifique, cette fois. Bien lui en a pris.
Tout comme dans Ça, il y est question des peurs, terreurs, phobies de l'enfance, en l'occurrence celle de cinq gamins en pleine pré-adolescence, qui vont croiser le Mal avec un grand M. .
Vous l'aurez compris, un grand coup de coeur, ce roman malgré sa longueur, se lit à une vitesse stupéfiante, et il fait partie des incontournables.
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Avant de commencer, il y a une rectification à faire, ce n'est pas dans un internat qu'il se produit des choses étranges mais dans une école élémentaire. L'histoire se déroule en 1960, durant un été qui sonne comme une fin pour le groupe de jeunes enfants qui vont affronter l'innommable. Fin de l'innocence, fin de l'enfance entre autres choses. L'école dans laquelle ils ont étudié, est devenue trop vieille pour accueillir des enfants, aussi doit-elle être fermée. Mais le dernier jour d'école, un enfant disparaît et malgré les protestations de la famille, tout le monde pense à une fugue. Seuls Mike, Harlen, Dale, Lawrence, Kevin et Duane pensent que Tubbie a sans doute été tué. Et ils vont se lancer dans une enquête qui va faire apparaître des faits terrifiants : Mike est pourchassé un jour par un soldat de 14/18 qui rôde un peu trop près de chez lui ; Harlen aperçoit derrière une fenêtre son ancienne institutrice, le problème c'est qu'elle est morte d'un cancer des mois auparavant ; Duane manque d'être écrasé par un camion conduit par un dénommé van Syke. Bien évidemment, les adultes ne croient pas à ces événements. Qui croit à des fantômes ? le groupe de garçons rejoint par Cordie, la soeur de Tubbie, va devoir affronter seuls ce qui se cache dans l'école.
Un groupe de très jeunes adolescents, une chose monstrueuse qui tue, un été chaud en 1960 ? Cela ne vous rappelle rien ? Si vous avez lu « Ça », on retrouve des points communs : la même atmosphère d'angoisse, le même aveuglement des adultes qui ne voient rien, la même amitié qui lie ces enfants, la mort qui rôde et qui frappe. Pour autant, « Nuit d'été » n'est pas une simple copie du roman de Stephen King. L'intrigue se met en place lentement, on a l'impression au départ de lire les aventures de quelques garçons qui cherchent à se distraire. Puis l'auteur nous plonge brutalement dans la tragédie et à partir de là, joue avec nos nerfs. le rythme s'accélère jusqu'à un final qui vous laisse le coeur palpitant. Laissez-vous tenter par ce roman !
Je mets 4 chats et demi.
Lien : https://labibdeneko.blogspot..
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Cela met du temps à se mettre en route... mais après tout, les vacances viennent seulement de commencer et la pré-adolescence reste encore le temps de l'insouciance. Et puis la tension finit clairement par monter et la mort accélère le mouvement, en nous laissant sortir de ce livre, un peu sonnés.
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C'est l'été, c'est la fin de l'école, la dernière journée est plus que pénible : Duane et ses copains s'ennuient, la journée s'étire et rien ne se passe....Pourtant l'un de leur camarade va disparaître dans d'étranges circonstances.

Duane et ses copains vont vivre un été terrible : des personnes reviennent d'entre les morts, une mystérieuse cloche refait surface mais que se passe t il dans ce village qui est d'habitude si tranquille?

Tout tourne autour des enfants qui décident sans l'avis des adultes de se lancer à la recherche de l'un des leurs. Ils vont faire des découvertes déconcertantes, avoir peur.

J'ai bien aimé mais sous certains aspects cela m'a rappelé (de trop) le style de Stephen King, du coup cela m'a déconcerté ce qui ne m'a pas empêchée d'avancer assez vite. Jusqu'au moment où l'un des mes personnages préférées disparaît et là j'avoue j'ai traîné comme si le livre s'était arrête pour moi (comme si je ne voulais plus avancer de peur de perdre les autres personnages). C'est bien la preuve que j'ai été captivée.

Je recommande ce livre à toutes les fan de SF, attention pour ceux qui sont (un peu comme moi) fan de Stephen King (il faudra lire le bouquin sans penser à ce célèbre auteur).
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Bienvenu à Elm Haven.
Une petite ville où il fait bon vivre.

Le camion d'équarrissage traine dans le bourg, faisant profiter la population des remarquables effluves qui s'échappent de sa benne, des ombres menaçantes effraient les enfants, les habitants sont victimes d'accidents parfois dramatiques.
Il se passe des évènements inquiétants dans le coin et personne ne semble s'en apercevoir.

C'est la fin de l'école, les enfants attendent les vacances avec impatiences.
Dale, Mike, Duane, Jim, Kevin et Lawrence vont des passer un été inoubliable. La petite troupe va être confrontée à des phénomènes inexpliqués. Montés sur leurs vélos, ils vont arpenter Elm Haven afin de découvrir ce qui se trame et essayer de sauver les habitants d'une fin tragique.

C'est avec délectation que l'on suit les aventures de la bande. Les suivre dans leurs jeux d'enfants, leurs rêves, leurs désillusions nous ramène à nos jeunes années perdues ...
L'ambiance joue une part très importante dans le récit. On ressent vraiment le poids qui pèse sur l'avenir de la petite ville. On se sent oppressé parfois, on redoute la tombée de la nuit et on espère de tout coeur que les valeureux gamins ne vont pas se jeter dans un guet apens. C'est sans compter sur Dan Simmons qui ne ménage absolument pas ses personnages (et ses lecteurs). On perçoit l'incompréhension des enfants mais aussi leur peur, leur courage et leur bêtise.

L'auteur se permet certaines facilités qui m'ont laissés dubitatives. Il ne faut pas oublier que les héros sont des gosses d'à peine 11 ans et qu'ils n'ont pas forcement les mêmes aptitudes que les adultes.
Cela n'a cependant pas gâché ma lecture. J'ai bien aimé les filer ses petits qui se prenaient pour des grands.

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