Van Eyck, le célèbre peintre moyen-âgeux flamand connu surtout pour sa toile "le couple Arnolfini", se retrouve ici mêlé à des meurtres qui le mettent lui et son fils adoptif, Jan, en danger. Plusieurs peintres, qui ont été autrefois ses apprentis, sont assassinés. Lui-même a reçu une menace de mort qu'il cachera aux enquêteurs. Pourquoi? Quel rôle joue-t-il dans tout ça, lui qui côtoie les plus grands?
L'intrigue commence en juin 1441 et van Eyck est mort en… juillet 1441... suspens. Pour le reste, tout ce que je viens de vous dire n'est que pure élucubration de l'auteur.
Je suis toujours partagée quand je lis ce genre de roman semi-historique. d'un côté, il y a tout l'aspect descriptif d'une certaine époque qui est intéressant, de l'autre il y a cette transformation à outrance d'évènements et personnages historiques où l'on ne sait plus démêler le vrai du faux que je trouve non seulement très dérangeant mais aussi néfaste.
En général, ces romans pseudo-historiques sont très mauvais, d'abord pour leur pauvre qualité littéraire et ensuite pour leur aspect pédagogique à peine caché qui nous fait nous demander si c'est un cours d'histoire déguisé que l'on voulait nous donner ou une démonstration d'érudition.
Ce roman m'aura au moins donné envie d'en savoir davantage sur van Eyck (mais Wikipédia est peu fourni à ce sujet) mais la lecture a été, passé les premières pages sur l'exotisme d'une autre époque, fastidieuse et ennuyante.
Commenter  J’apprécie         200
Une intrigue " médiévale", un personnage central proche de l'enfance, le peintre van Eyck et beaucoup de personnages gravitant à travers la Flandre et ses brumes. C'est un joli roman, avec des intrigues un peu "grosses" quand même et au final une certaine lourdeur. je l'ai terminé avec peine.
Commenter  J’apprécie         144
Malgré un début trés prometteur, je me suis vite essouflée dans cette aventure parsemée d'invraisemblances. Je ne suis pas allée jusqu'au bout tant j'avais l'impression de perdre mon temps. Dommage car le sujet était interessant et la plume bien trempée. Celà n'a pas empêché l'histoire de s'enliser.
Commenter  J’apprécie         102