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3,94

sur 378 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un polar pour les amoureux de Barcelone…

La Rambla, la Barceloneta, les oeuvres de Gaudi, ça vous dit quelque chose ? Si cela n'évoque rien, ce roman sera sans doute décevant tant la place que prennent la ville et ses monuments y est importante.

Il s'agit quand même d'une histoire particulièrement macabre, avec des personnes brûlées vives, des enfants maltraités, des scandales et de la corruption.

C'est aussi un commentaire social, avec des expropriations sauvages, des petites gens sacrifiés pour l'image de la ville, des injustices et de grandes familles catalanes toutes puissantes.

Quant au héros, c'est un inspecteur mal aimé, déchu de son poste, mais aux intuitions tellement habiles qu'une juge a obtenu sa réintégration provisoire. C'est aussi un divorcé, un homme perturbé, qui dort dans sa chaise longue plutôt que son lit, qui conduit un vieux tacot, mais, original, il ne consomme pas d'alcool...

Une intrigue qui s'étire en longueur (+ de 650 pages), mais c'est tellement agréable de se promener dans Barcelone…
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Envie d'un petit Da Vinci Code à la sauce barcelonaise ? Alors plongez sans hésiter vers ce Bourreau de Gaudi ! Il ne manque ni d'ésotérisme ni de suspense et m'a plutôt séduite avec sa description de la ville de Gaudi et ses personnages rocambolesques.

A commencer par l'inspecteur Milo Malfrat, hanté par ses démons et allergique au rasoir autant qu'aux règles, mais doté d'une intuition hors norme. Alors qu'il était mis à pied, le commissaire-chef et une juge de ses amies le rappellent pour qu'il démêle l'enquête sur un meurtre barbare commis en façade de la Casa Mila.

De chefs d'oeuvres de Gaudi en temples du pouvoir, il va parcourir la ville en tous sens pour retrouver l'assassin, avec l'aide d'une profileuse un peu potiche et d'un magicien des recherches qui se tape objectivement tout le boulot... Bien entendu, il va se faisant froisser pas mal de monde (et de chemises) et mettre au jour de terribles secrets...

Rien d'extraordinaire à mon sens, mais c'est très bien réalisé et on dévore le roman, a fortiori si on le lit comme moi en se promenant à Barcelone.
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Milo Malart est au bord du précipice au début de ce roman. Il envisage sérieusement de se lancer du haut d'une falaise, il croit avoir tout perdu : Marc, son neveu, a subtilisé son arme de service pour se suicider. Ce drame a entraîné le départ de sa femme Irène, et il n'a plus le droit d'exercer son travail d'enquêteur au sein des Mossos d'Esquadra dans l'attente de son jugement.

Plus encore, Milo Malart croit être atteint de schizophrénie, maladie qui a frappé son père.

C'est le début d'une série de meurtres atroces – un cadavre est retrouvé pendu et carbonisé au balcon de la Pedrera, bâtiment construit par Gaudi en plein Milla de Oro de Barcelone – qui va remettre en selle Milo ; il doit accepter d'être accompagné par une coéquipière Rebecca Mercader, qui va se révéler être une véritable chica dura, et de voir le psy régulièrement, afin de pouvoir participer à l'enquête, qui va le mener sur les traces d'un tueur qui paraît obsédé par Gaudi et les symboles maçonniques.

Bien sûr, ce roman utilise certains codes du genre : le flic borderline en conflit avec sa hiérarchie, la chica dura qui va se révéler douce avec lui…Mais l'essentiel n'est pas là dans ce roman.

Le bourreau de Gaudi s'attache d'abord à la psychologie de son personnage Milo Malart, en proie à une névrose dépressive et qui peut plonger dans des affres extrêmement profondes en cas d'échec. Avant tout, nous suivons Milo dans sa bagarre contre la vie.

En parlant de personnages, et de psychologie, Aro Sáinz de la Maza nous délivre à l'égal de Francisco Gonzalez Ledesma les multiples images de Barcelone, parc d'attractions touristique, mais aussi cité ancienne et secrète rénovée à grands coups de bulldozers assassins.

Et surtout, Barcelone, au-delà des apparences démocratiques, est gouvernée par une poignée de familles puissantes qui agite l'indépendance catalane comme un hochet censé satisfaire la population ; c'est ce gouvernement occulte, corrompu jusqu'à la moelle, que l'auteur dénonce avec une grande virulence, comme un écho à la lecture lassante de la presse espagnole qui dénonce tous les jours de nouveaux scandales : Fèlix Millet i Tusell, qui a reconnu avoir détourné plus de 3 millions d'euros de la Fondation Orfeon Catalan, Iñaki Urdangarin, accusé de fraude fiscale, de corruption et de détournement de fonds…

Ce roman mêle enquête policière, noirceur des personnages, scandales político-financiers, plongée dans les mille facettes de la ville avec un grand talent.

Aro Sáinz de la Maza fait par ailleurs oeuvre utile et pédagogique en décryptant –très simplement -l'oeuvre de Gaudi et permet d'approcher la culture maçonnique en laissant de côté l'aspect sulfureux et mystérieux de la chose, trop souvent utilisé par ses confrères.

Certes, ce roman est à la fois dense puisque de multiples sujets sont évoqués et long (664 pages), et pourrait décourager certains (nous ne sommes pas dans un roman de Camilla Lackberg où la même trame est utilisée jusqu'à la corde).

La qualité de l'écriture, précise, vive, et de l'intrigue, les arrière-plans nombreux, font espérer une belle suite.
Lien : http://occasionlivres.canalb..
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Ouah quelle polar, j'ai adoré un sacré coup de coeur. du début à la fin ce roman vous tient en haleine. Milo Malard inspecteur mis à pied et rappeler d'urgence lui l'électron libre de la police est charger par ses pairs de rechercher l'assassin d'un homme retrouvé pendu est bruler vif au balcon d'un monument de Barcelone. Un prédateur sadique ne s'en tiendras pas à ce seul meurtre, d'autres suivront, Milo va devoir entre les touristes est ses équipier qui n'ont pas appréciés son retour. Il va devoir enquêter dans ce milieu hostile avec la jeune sous-inspectrice qui est aussi chargée de le surveillé.
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Camilo « Milo » Malart, policier mis à pied suite au suicide de son neveu avec son arme de service, est rappelé à Barcelone par la juge Cabot afin d'aider le GEHME, groupe d'investigation spécialisé dans les homicides, à résoudre une enquête s'avérant particulièrement délicate. Un notable de la ville, Eduard Pinto, vient d'être retrouvé, après cinq jours de captivité, pendu et brûlé vif au balcon de la Pedrera, un des monuments emblématiques de Barcelone, réalisé par Antoni Gaudí.
Les anciens équipiers de Milo ne l'apprécient guère et vivent sa réintégration forcée comme une insulte à peine voilée. On lui impose une thérapie et un chaperon, la sous-inspectrice Rebeca Mercader, conditions indispensables à son retour dans le GEHME. Milo tolère difficilement la situation et n'en fait qu'à sa tête mais la situation ne tarde pas à se compliquer quand un deuxième notable est lui aussi enlevé puis assassiné. Qui peut donc en vouloir autant aux notables de la ville… et à Gaudí ? Car l'histoire et les oeuvres de l'architecte sont toujours liées avec les crimes que commet le mystérieux assassin…

Ce polar long et complexe nous fait découvrir une Barcelone qu'on imagine rarement : une ville qui chasse ses habitants pour accueillir toujours plus de touristes, où la corruption est monnaie courante, où une minorité de notables contrôle tout dans l'ombre, une véritable Sin City espagnole où les vices sont toujours plus pervers qu'on ne l'imagine. Bref, ce n'est pas la Barcelone chaude et lumineuse, ville de culture et d'histoire, que l'on aime.
Les personnages sont à l'image de leur ville, plus sombres qu'on ne le penserait au premier abord. Milo, surtout, est instable émotionnellement, toujours perturbé par le suicide de son neveu ; il se fie plus à son instinct qu'aux preuves et semble tirer des conclusions – justes par ailleurs – de nulle part.

Le personnage de Rebeca, sa coéquipière, m'a un peu déçue. Elle ne participe pas vraiment à l'enquête, en ce sens qu'elle se laisse guider par lui au lieu de collaborer avec lui et de proposes ses hypothèses. Peut-être est-ce dû au fait qu'elle ne connaisse pas vraiment Milo et sa méthode de travail, mais c'est un peu décevant pour une enquêtrice intelligente qui semblait sortir de l'image de la jolie fille sans cervelle. (Entre nous, le surnom de « vilaine fille » que lui donne Milo tout au long de l'enquête me turlupine toujours. Une fois ça va, mais tout le temps ça devient lourd et difficile à comprendre.)

Tout le monde n'aimera pas ce roman, c'est une certitude. Il y a des longueurs, surtout dans la première moitié, le personnage de Milo peut déconcerter beaucoup et en choquer d'autres, les victimes ne sont pas attachantes, au contraire on ne peut parfois qu'applaudir des deux mains le meurtrier, et on ressent toujours un pincement au coeur quand on voit un mythe prendre fin.
Je n'ai pas aimé découvrir le versant sombre de Barcelone mais j'ai trouvé cette lecture passionnante, enrichissante et extrêmement bien documentée. le duo Milo-Rebeca est intéressant, ne serait-ce que par le contraste entre leurs deux personnalités. Si la jeune femme prend un peu plus d'initiatives, je ne dis pas non à une deuxième enquête menée par ce duo.
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Lors d'un récent festival consacré au roman policier, un auteur corse (*) a opposé au polar scandinave, qu'il trouve, lourd, sinistre étouffant, peut-être dit-il à cause du climat, au polar méditerranéen qui baigne dans la belle lumière du Sud et y gagne une ambiance plus tonique
Dans l'ensemble je partage son opinion.
Mais voici une belle exception (qui ne confirme pas la règle, cette phrase est idiote, une exception ne confirme pas une règle, elle l'infirme au moins partiellement) avec la trilogie de l'auteur catalan Aro Sainz de la Maria qui commence avec le bourreau de Gaudi, et pourrait laisser penser que la Catalogne a dérivé récemment vers le cercle polaire artique.
Comme souvent dans les séries de romans animées par un personnage récurrent, en l'espère l'Inspecteur Milo Malart, on a intérêt à lire les romans dans leur ordre de parution, en commençant donc par le bourreua de Gaudi et en poursuivant avec Les Muselés et Docile..
Au demeurant, les présentes réflexions valent pour les trois tomes de la série.
Le personnage récurent, d'abord: l'Inspecteur Milo Malart trouve bien sa place dans la lignée des héros torturés qui hantent les policiers contemporains. Porteur d'une histoire familiale très lourde et redoutant de tomber dans la folie, il rejette toute relation un peu poussée, alors pourtant que, malgré ses abords rugueux, ses qualités humaines lui attirent beaucoup de sympathies, qu'il décourage en général.
La Barcelon où il vit est une ville désespérée et déses pérante où se cotoient la richesse des privilégies, qu'on appelle locale mes les Quatre cents Familles et la misère effroyable où se débat la majorité de la population.
C'est de ceux-là que l'Inspecteur Malart se sent proche, il essaie de els défendre du mieux qu(il peut, et ne peut pas grand chose contre l'influence des riches, qu'il déteste profondément.
Il réussit ependant dans chaque roman à faire trimpher une certaine justice, une justice minimaliste dirons-nous, la seule possible dans ce contexte
Ce contexte social et économique compte beaucoup mais il n'éclipse pas pour autant les énigmes policières, originales et bien menées, et qui restent dans les limites du vraisemblable, ce qui est une qualité précieuse et pas si répandue dans les romans policiers.
On souhaite une longue et fructueuse carrière à l'Inspecteur Milo, et, si possible, Monsieur Sainz de la Maria, une vie un peu plus heureuse; il le mérite

(Une parenthèse en défense du livre ; certains reprochent au Bourreau de Gaudi d'être une banale histoire du tueur en série; et d'ailleurs justement non, ce n'est pas une histoire de tueur en série , on le croit au départ, mais en fait les ressorts sont tout différents, parce que...mais je ne vous en dis pas plus, dans ce genre de livres, qui reposeen grande partie sur le suspense (mais pas seulement, car il me parait parfaitement possible de relire ce livre pour ses autres qualités) il n'est pas pardonnable de spiler
(*) je ne retrouve pas les références; ce que c'est que de s'informer avec les pages proposées par Google..
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Le bourreau de Gaudi

Barcelone au vingt et unième siècle n'est plus celle qu'on a connue dans les années soixante-dix, Franco toujours vivant, ville remuante et révolutionnaire, en ébullition et prête à tout. Ville jeune éprise de liberté et d'émancipation. Barcelone s'est déguisée en musée pour accueillir les JO rejoignant par-là les autres capitales victimes (comme après Athènes, en Europe et ailleurs) de la formalisation du comité et de ses dictats.

C'est ainsi que tout naturel a disparu au profit de l'image urbaine et pas n'importe laquelle, celle, éphémère, que les visiteurs éventuellement aficionados d'une quinzaine, découvrent depuis l'aéroport tout neuf et les autostrades lavées des banlieues inesthétiques jusqu'aux innombrables hôtels bookingisés.

Barcelone, comme beaucoup de villes piégées a vendu son âme aux imbéciles repus et pervers du comité olympique.

A partir de là, les oeuvres architecturales et élitistes de Gaudi qui étaient les fiers jalons touristiques de la capitale catalane ne servent plus que de prétextes à des tour-operators en recherche de rentabilité. Les moutons avec leurs gros Nikon sur le ventre se succèdent à la mangeoire pseudo culturelle.Un grand Luna parc auquel la France fait révérence.

Il y a de quoi s'énerver et de fait, certains s'énervent et foutent le feu aux icônes pourries de la bourgeoisie triomphante. Ce n'est pas bien d'immoler des vieux pervers ! Et pourtant ils le valent bien…

Tel est le contexte très politisé de ce roman par ailleurs très convenu sur la forme : Milo, un inspecteur catalan irascible, en bisbille avec ses collègues et sa hiérarchie mène une enquête atypique, alors qu'il doit résoudre des conflits conjugaux. Rien de neuf en fait.

Le contexte vaut plus que l'intrigue qui se déroule sur plus de six cent pages et dont on connait forcément l'issue, forcement haletante.
Très bien traduit (passage du prétérit au passé composé très fluide) ce polar se laisse lire malgré son poids qui donne des crampes stomacales au milieu de la nuit.

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Ce polar noir se déroule dans une Barcelone en pleine canicule.
Une immolation par le feu.
Gaudi est rapidement impliqué ainsi que l'équipe policiere et l'inspecteur Milo, pourtant suspendu pour raison disciplinaire.
Encore un héros policier caractériel , non conformiste, peu soucieux de sa hierarchie, solitaire, à la psychologie relationnelle limitée,
se négligeant, à l'alimentation aléatoire mais sobre, insomniaque,...
et pourtant entouré de femmes, compétantes , aux caracteres affirmés , en tout cas dévouées, qu'il manipule, sans jamais atteindre le point de rupture.
Etonnant, non? L'auteur serait il macho et complice? Et nous?

En tous cas, c'est un policier calculateur, un ordinateur cérébral lui permet des déductions fulgurantes et hasardeuses, mais rapidement confirmées . Bravo l'artiste !
Un soutien psychologique lui est imposé... Pauvre psychologue ! Mais elle disparait rapidement du paysage.

J'ai ressenti une impression comparable à la lecture de Lucia de Bernard Minier : un psychopathe, donc (?) des crimes abominables et peu crédibles , en serie... Là s'arrête la comparaison.
Une émission télévisée "d'informations" avec présentatrice à talons et journaliste reporter caricature le voyeurisme des spectateurs _ ici catalans _
L'auteur émet une critique politique et sociale virulente : les déshérités subissent les decisions sociétales des 400 familles de la province... sans espoir. Milo essaie mais ne peut pas faire autre chose que de constater dans la douleur, et de nous prendre a témoin.
Gaudi catholique intégriste aurait imprégné son oeuvre architecturale de symbolisme maconniques(?).
Les visites des differents quartiers du Barcelone Art Nouveau, a bord d'une wv poubelle ambulante.
Ainsi que Les allégations _ de collusion entre hommes d'affaires sans scrupules et la classe politique locale,
Ces trois éléments constituent une toile de fond à ce polar.
Mais, que les policiers conduisent mal, forcant les priorités au nom de leur mission, redevient réjouissant et comparable a une dehambulation facon Chester Himes(*) !
L'épluchage des dossiers d'enquête dans l'appartement de Milo (si vous l'adoptez, c'est son diminutif) m'a rappelé le bureau d'un responsable, chef de service, capable d'extraire la bonne feuille d'un tuilage de paperasses !
Bon, c'est un polar, avec ses bons, son héros extrait de BD, son psychopathe tueur insaisissable... et sa psychologue.
Je n'y ai pas cru un instant, mais me suis laissé porter par ce flot captivant (650pages).
Donc 4/5. (bien mieux que lucia)

(*) "La reine des pommes"
"Dare dare".
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J'ai choisis ce roman pour son titre et pour Barcelone. Je l'ai lu début janvier alors que le pays était sous la torpeur due aux attentats … cependant, ce polar m'a bien plu malgré son extrême cruauté. On y découvre la ville et les métamorphoses qu'elle a subies pour accueillir les jeux olympiques qui ont, comme pour Pékin, laissé la part belle aux promoteurs, au détriment des habitants spoliés. L'évocation de Gaudi y est très documentée et force le respect. Ca c'est pour le contexte. L'intrigue quant à elle est intéressante, très prenante au début, qui traîne en longueur ensuite, avec une fin un peu précipitée. Les conflits interpersonnels dans la police locale pimentent l'action tout comme les exactions d'un journaliste sans éthique. Pas nécessaire de connaître la ville pour y prendre goût encore que ça rajoute au plaisir.
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Je viens juste de terminer le Bourreau de Gaudi que j'ai beaucoup aimé. le fait d'être allée à Barcelone il y a un mois et d'avoir pu déambuler dans les rues et admirer l'oeuvre de Gaudi est inévitablement un plus pour apprécier ce livre. Les descriptions sont telles qu'on arrive à suivre Milo dans Barcelone. Mis à part la visite guidée dans Barcelone, les personnages sont attachants et on ressent une vive pression au fur et à mesure des pages. La course folle jusqu'à la dernière page nous tient évidemment en haleine . le seul bémol c'est que c'est un pavé et que j'ai eu du mal à le tenir dans mes petites mains !!!
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