Exploration de la langue, ses obsessions, délires et dédoublements, de cette folie qu'on enferme. À la frontière du récit et de la fiction, du témoignage cru de l'enfermement dans un asile psychiatrique et l'espoir de guérison par une prose qui en sonde les abîmes et secours,
Tous les chiens sont bleus approche l'inscription collective d'une déraison, son immense besoin de tendresse et les substitutions, une peluche ou des doubles de Rimbaud et de
Baudelaire, que sa prose, et ses réminiscences poétiques, parviennent à évoquer comme autant de présence auxquelles Rodrigo de Souza Leão parvient à donner corps.
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