Cette petite pièce m'a laissé un peu sur ma fin...
Heureusement d'un format court.
On y parle d'amour et de malaise, pour sa contrebasse et pour Sarah, cette soprano dont il est obsédé autant que par son instrument, si gros et pourtant si discret mais indispensable dans l'orchestre...
Un monologue aux questions existentielles du temps qui passe, du travail, de la célébrité, de la place que nous occupons, des défis à relever ou pas...
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J'ai dû passer à côté de quelque chose. Déjà le solfège et la musicologie ce n'est pas mon truc, mais là vraiment je n'ai pas accroché. J'ai trouvé ce type là poltron à ne rien faire de sa vie, malheureux d'être fonctionnaire, et embourbé dans des fantasmes lui provoquant une jalousie excessive par procuration! Les rancoeurs et la jalousie c'est déjà de bas étage, mais les cultiver à s'en monter le bourrichon avant même d'avoir dit "Hey mademoiselle, c'est quoi ton phonetel?" j'ai pas capté en quoi c'était fantastique en terme littéraire. Un bon exemple sur la colère comme péché capital, mais ça s'arrête là pour moi.
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