.« Portant le fardeau d’un homme adulte, j’arpentais, pour la deuxième fois, le chemin de mes 14 ans. Et ce chemin prenait, au fil des jours, de plus en plus de virages. » (p. 132)
Toute la tristesse… toute la solitude du monde étaient dans son étreinte.
Qui suis-je, au juste, dans ce monde ? Le Hiroshi, qui n'a pas pu retenir son père...n'était pas le collégien...mais bien l'homme de 48 ans. Qui d'autre pouvait comprendre l'urgence qui tenaillait mon père, celle d'un homme entre deux âges prêt à tout pour recommencer sa vie ?
page 12-13 trois ans... Voilà pourquoi je ne reconnaissais pas le paysage... Ainsi le train me conduisait vers ma ville natale.. Mais pourquoi l'avais-je pris ? Une autre chose était curieuse à aucun moment ne m'est parvenue l'idée de faire demi-tour.
Page 316 Cette journée je l'ai vécu à fond. Je jouissais pleinement de la joie de revivre l'époque de mes 14 ans. J'étais si heureux le bonheur m'aveuglait.
page 388 Moi...a partir d'aujourd'hui à la place de papa je veillerais sur toi. à ce moment, j'ai été prise d'une envie soudaine, irrésistible de dormir... POF
Trois ans... Voilà pourquoi je ne connaissait pas le paysage... Ainsi le train me conduisait vers ma ville natale...Mais pourquoi l'avais-je pris ? une autre chose était curieuse à aucun moment ne m'est parvenue l'idée de faire demi-tour. page 12-13.
Cette journée je l'ai vécue à fond je jouissais pleinement de la joie de revivre l'époque de mes 14 ans. J'étais si heureux le bonheur m'aveuglait. page 316
moi... a partir d'aujourd'hui à la place de papa je veillerais sur toi. A ce moment, j'ai été saisi d'une envie soudaine, irrésistible de dormir... POF.
Arthur M.
Maman ... avait-elle vécu heureuse ?
et si ce n’était déjà plus le passé si c’était finalement le présent ?
Toute la tristesse... toute la solitude du monde étaient dans son étreinte. Une femme en larmes.. Sa poitrine amaigrie pressée contre la mienne... Dieu que c'était douloureux!
Le... cimetière semblait vaguement différent... Je sentais que même l'odeur de l'air avait changé...
La guerre... ce n'est vraiment pas fait pour les gens qui s'aiment... Elle est trop cruelle... pour ceux qui partent comme pour ceux qui restent.
Le ciel est si haut et pourtant on à l’impression qu’il suffirait de tendre la main pour toucher les nuages. Le ciel est mystérieux, c’est comme s’il était immuable, au-delà des hommes, au-delà du temps. Et si c’était ça, l’éternité, un simple ciel…