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3,91

sur 3276 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Le récit est trop plat, indigne d'intérêt. Je suis ici la preuve vivante qu'un bon début de roman est nécessaire pour accrocher même les lecteurs les plus assidus. J'ai dépassé les cent premières pages qu'il ne se passait toujours rien.
Pas de temps à perdre, des livres plus captivants attendent !
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Bon OK j'ai abandonné le livre, donc je ne peux pas faire une critique totalement objective.
Au début la lecture était plaisante, la construction originale.
Mais ensuite la lassitude s'installe et l'intérêt devient très faible.
Je me suis forcé en me disant que l'ensemble redeviendrait plus captivant par la suite.
Mais en tous cas pas jusqu'à la page 500 .
Et sacrilège, j'ai fait l'abomination de lire la fin en zappant de nombreuses pages.
Aucun regret de mon abandon .
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Déception. Je suis moi-même surprise de ne pas avoir apprécié cette lecture. Je ne comprends pas: je suis restée en attente durant ces plus de 700 pages à ce qu'il arrive quelque chose...pourtant il y a de l'action, mais à l'intérieur d'un cadre statique, mais quand même je ne peux pas dire qu'il n'arrive rien! Et pourtant je me suis ennuyée et c'est toujours en espérant que quelque chose se produise que j'ai terminé ma lecture...
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J'ai eu du mal à aller au bout de ce pavé ; je n'ai pas vraiment réussi à accrocher au destin de ces étudiants américains qui passent beaucoup de temps à boire et se droguer ... Certes , c'est bien écrit mais cela ne m'a pas passionné et ne m'a pas donné envie de poursuivre avec Donna Tartt .
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À mi-chemin entre Bret Easton Ellis (à qui le roman est dédicacé) et le Cercle des Poètes disparus, le Maître des illusions nous plonge dans les turpitudes d'un petit groupe d'hellénistes aussi arrogants que mystérieux, placés sous la houlette du capricieux professeur Morrow. Perdue au coeur du Vermont, la médiocre université de Hampden abrite un cénacle d'étudiants férus de culture antique, capables de citer Homère dans le texte et passionnés de rituels mystiques.

Sur le papier, l'intrigue a l'air alléchante : grec ancien, campus américain, personnages énigmatiques, crimes sanglants liés aux rites dionysiaques... Et pourtant, à la lecture, on déchante très vite : longueurs, références à la culture grecque réduites à de vagues citations éparses, ambiance étouffante, personnages antipathiques...

Première source d'exaspération : l'aspect répétitif de l'intrigue. En 700 pages, les étudiants n'assistent qu'à deux ou trois cours de grec (c'était bien la peine de faire autant de foin autour de la personnalité hors norme de leur professeur...) mais passent leur temps à faire la fête, à boire (de à avoir la gueule de bois le lendemain) et à se bourrer d'anxiolytiques et autres somnifères. Au moins, Bret Easton Ellis, lui, a le bon goût de faire court, lorsqu'il traite de ces thèmes ad nauseam. Mais Donna Tartt ne semble pas se lasser de nous décrire encore et encore cette jeunesse dorée qui s'étourdit dans l'ivresse et les plaisirs faciles, et à vrai dire, cela devient vite lassant.

De plus, les personnages sont extrêmement déplaisants : on essaie désespérément de s'identifier au narrateur, mais il est tellement creux, lisse et surtout passif, à tel point qu'on se demande parfois s'il se sent vraiment concerné par sa propre histoire, tant il se montre indifférent aux autres, préférant s'apitoyer sur son sort et noyer sa déprime dans le whisky. Quant aux autres, ils sont au mieux transparents (Charles et Francis manquent tout de même sacrément d'épaisseur, au point qu'il est difficile de les différencier pendant la 1re moitié du roman), au pire méprisants (comme Henry), exaspérants (comme Bunny), ou malsains (comme Camilla, dont le côté pervers et manipulateur pointe discrètement sous ses airs angéliques et éthérés).

Bref, le lecteur ne peut s'attacher à aucun d'eux, et dès lors a bien du mal à s'intéresser à leurs déboires, surtout délayés sur près de 700 pages. Sans parler de leur propension invraisemblable à s'exprimer spontanément en grec ancien, et de leur supériorité affichée envers le commun des mortels, particulièrement agaçante.

À tout cela s'ajoute une déception de taille : alors qu'on aurait pu s'attendre à un thriller, rythmé par les rebondissements, les premières lignes anéantissent tout suspense en nous révélant l'un des passages-clés du roman, ce qui là encore conduit fatalement l'intrigue à s'embourber et les longueurs à s'accumuler, d'autant que l'écriture, qui se veut percutante et distanciée, n'est finalement ni originale, ni convaincante.


Retrouvez cette critique plus détaillée à l'adresse ci-dessous !
Lien : http://ars-legendi.over-blog..
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J'avais mis ce livre en haut de ma liste pour cet été suite à la lecture des différentes critiques sur Babelio, notamment.
Mais c'est une déception, peut être n'était-ce pas le bon moment pour le lire, je ne sais pas...
J'ai l'impression qu'il ne se passe rien dans ce livre, ce qui n'est pas le cas, mais je n'ai trouvé ni rebondissement, ni retournement de situation, ni suspens, mais une histoire plate de jeunes étudiants qui passent leur temps à boire et à dormir.
Beaucoup de lenteur, des passages qui ne semblent pas finir (l'enterrement)...
J'ai eu du mal à le finir.
Mais à chacun de se faire son avis
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Soit...
Soit, il s'agit bien d'un suspens.
Soit, on a bien un groupe d'étudiants, à la psychologie assez développée, qui forment une petite communauté (à peine) particulière.
Soit, je ne me suis pas ennuyé à la lecture de ce roman.
Mais ce livre a été pour moi une vraie déception. Et pourtant il figure parmi les "1001 livres qu'il faut avoir lus dans sa vie" (preuve supplémentaire que cet ouvrage n'est pas, loin s'en faut, une référence sûre) et les critiques en général étaient bonnes à sa sortie !
Non, décidément, on attends je ne sais quelle révélation, chute, intrigue... mais rien ne décolle et très vite on tourne en rond. Très, très plat...
Des rebondissements, une "plume précieuse", une exploration psychologique poussée des personnages, laissez-moi rire !
Je me suis dit que finalement "Le Maître des illusions" en question n'était pas Dionysos mais Donna Tartt elle-même.
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Abandon à la page 270..... trop c'est trop, trop lent, trop insipide, trop pénible à lire….je préfère arrêter la souffrance et passer à autre chose….voila une décision qui m'est apparu comme évidente dans une phase de réveil la nuit dernière…
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Je m'attendais à ce que l'intrigue démarre et j'ai attendu longtemps, je n'ai pas aimé ce livre qui est somme toute insipide
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Soit...
Soit, il s'agit bien d'un suspens.
Soit, on a bien un groupe d'étudiants, à la psychologie assez développée, qui forment une petite communauté (à peine) particulière.
Soit, je ne me suis pas ennuyé à la lecture de ce roman.
Mais ce livre a été pour moi une vraie déception. Et pourtant il figure parmi les "1001 livres qu'il faut avoir lus dans sa vie" (preuve supplémentaire que cet ouvrage n'est pas, loin s'en faut, une référence sûre) et les critiques en général étaient bonnes à sa sortie !
Non, décidément, on attends je ne sais quelle révélation, chute, intrigue... mais rien ne décolle et très vite on tourne en rond. Très, très plat...
Des rebondissements, une "plume précieuse", une exploration psychologique poussée des personnages, laissez-moi rire !
Je me suis dit que finalement le maître des illusions en question n'était pas Dionysos mais Donna Tartt elle-même.
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