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sur 3264 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Richard Papen intègre à 19 ans l'université de Hampden en Nouvelle-Angleterre.

Après avoir essuyé un refus de la part du professeur de Grec, Julian Morrow, figure de l'Université, pour intégrer son cours, c'est en faisant la connaissance de quelques uns de ses élèves, qu'il finira par se faire accepter et par y participer.

C'est un groupe très réduit, de 6 élèves seulement. Pas vraiment des privilégiés, mais en tout cas considérés comme des étudiants à part par les autres... des étudiants "inapprochables" :
Camilla et Charles, deux jumeaux, Henry, Francis et Edmond, dit Bunny, et Richard dorénavant.

Il fera progressivement la connaissance de tous, d'abord de façon assez distanciée, presque ambiguë, puis finalement de mieux en mieux, jusqu'au jour où l'un d'entre eux finira par lui avouer un terrible accident.

Et cet accident aura des conséquences encore plus terribles.

À mon avis :
Plusieurs jours après la fin de ma lecture, je m'interroge encore sur la finalité de cette histoire... Aurais-je raté quelque chose ?

D'abord, sur la première moitié du récit, l'histoire est somme toute assez plate, sans véritable intérêt, même si on comprend dès les premières lignes qu'un drame s'est produit. Mais comme rien ou presque ne relie ce drame aux événements décrits, on s'ennuie quelque peu.
Pourtant, il y a un petit quelque chose qui nous maintient accroché, un infini espoir, très subtilement alimenté, de voir le récit décoller à la page suivante... sans doute cette idée que l'état d'esprit nécessaire au véritable apprentissage du Grec ancien, autorise des expériences d'un autre temps.

A partir de la deuxième partie, l'action s'étoffe un peu, et l'espoir est donc entretenu.
Les multiples toutes petites réactions énigmatiques des uns et des autres nous font espérer un twist, si ce n'est en cours de lecture, au moins à la fin du récit.

Et puis tout de même... le titre ! le maître des illusions quoi ! Il va bien y avoir quelque chose dans le récit qui va nous relier à ça ? Il doit bien y avoir quelqu'un qui tire les ficelles en arrière plan ? Et ça va nous exploser au visage avant la fin !?

Alors, le récit nous tient toujours, il y a encore une fois ce petit quelque chose d'indéfinissable qui nous attire vers la page suivante.

Mais au détour de la dernière, c'est la déception qui est au rendez-vous... une fin d'une banalité sans nom... pas de maître, encore moins d'illusions... flop !


Retrouvez d'autres avis sur d'autres lectures sur mon blog :
https://blogdeslivresalire.blogspot.com/
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Un bon pavé de 700 pages que j'ai trouvé assez long.
Le héros, de condition modeste se retrouve à l'université où il rejoint un groupe de cinq étudiants en grec issus de milieux aisés.
Alcool, drogue, pratiques étranges….et crime.
Oui, c'est long. Et tout en me disant que ça aurait gagné à être plus court, en même temps, je ne vois pas ce qu'il aurait fallu supprimer.
L'évolution des relations est fort bien décrite.
Et il faut reconnaître un certain talent à l'auteur qui a commencé ce livre lors de sa première année d'université, c'est à dire très jeune.
Mais, j'étais contente de l'avoir terminé pour passer à autre chose.
Ce genre de roman peut certainement séduire de plus jeunes lecteurs que moi.
J'ai dans ma PAL « le chardonneret », et je vais attendre un peu avant de m'y attaquer.
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Je me suis ennuyé ferme. Qu'est-ce que c'était long et laborieux, d'autant plus que je l'ai lu en VO. le roman est dense et pourtant vide, ou plutôt replet de futilités. Les protagonistes sont bien fouillés mais pas du tout attachants. L'action et le suspens sont inexistants. On sait déjà absolument tout dès le début. Très déçu, mais tout de même satisfait d'avoir été au bout.

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706 pages à tourner autour du pot. Trop étoffé sur certains points alors qu'à d'autres on aurait besoin d'avoir une description (exemples : comment l'amène-t-il au bord du gouffre ? Que devient l'enquête policière ?). Les personnages sans émotion, fils à papa, ne sont pas, je crois, mes romans de prédilection. Donna Tartt a dédicacé son roman à Bret Easton Ellis, son meilleur ami. American psycho, de cet auteur, est l'un des roman que j'ai le plus détesté.

L'histoire :
Richard, californien de 19 ans, débarque dans une petite université du Vermont, où, non sans peine, il parvient à être accepté dans la classe du professeur de grec ancien Julian Morrow, qui fait une exception en prenant un sixième élève. Il s'intègre doucement avec les cinq autres étudiants, des enfants de riches, alors il ment, faisant croire que ses parents sont riches aussi, alors qu'il est boursier. Il y a Henry : génie rêveur, fasciné par les bacchanales. Les jumeaux Charles et Camilla : beaux, complicité fusionnelle. Francis : gay. Bunny : qui les mène tous à la baguette, qui profite de leur argent.
Le clan des six passe les week-ends dans une maison de campagne, profitant de la beauté des paysages, de l'alcool, des drogues, des virées nocturnes en forêt d'où Richard et Bunny sont mis à l'écart. Des conversations s'arrêtent quand il approche, des draps plein de sang, un homme a été tué une nuit, le despotisme de Bunny devient insupportable, Richard découvrira des billets d'avion sans retour pour l'Argentine, puis découvrira la vérité….

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J'ai lu plus de 300 pages du livre, puis je me suis arrêtée.
300 pages quand même! La moitié du livre! D'habitude je quitte le livre avant mais là, l'histoire me captivait, mais en même temps elle m'ennuyait....
Drôle d'impression, je crois que c'est la première fois que je découvre ça. Je voulais connaître la suite de l'histoire (et je ne me suis pas privée de finalement lire les dernières pages) mais même si l'histoire avait quelque chose de captivant, je n'arrivais plus à supporter les longueurs, les passages que je jugeais inutile, ce rythme lent, très lent...où je sentais bien qu'à un moment il allait se passait quelque chose, mais tant pis, il y a tellement de livres à lire que me forcer pour un livre, je ne veux plus. Même si c'est un classique ou même si il a une super note sur Babelio! :)
Déception donc, mais je ne peux pas nier que l'auteur écrit quand même très bien! J'hésite à en découvrir un autre pour oublier celui-ci..
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Je préfère vous prévenir : je vais être très méchante. Mais on ne m'assène pas près de 600 pages (sur 700) sans que je réagisse. Mon sang de lectrice me monte à la tête et je me mets à aboyer comme le plus ignoble clébard. Eh oui!

Suspense : maigre. On dira que ce n'est pas le souci de l'auteur. Mais si justement. Ce n'est pas un traité philosophique que je sache. On nous annonce dès le début la mort de l'un des protagonistes. Après tout pourquoi pas. On nous mène donc vers les causes, les faits, les conséquences de cette mort. Dans ce cas, n'aurait-il pas mieux valu faire court au lieu de taper à coups de gourdins répétitifs sur la tête du lecteur?

Nous trouvons en exergue une "Considération Inactuelle" de Nietzsche : 1) Un jeune homme ne peut pas savoir ce que sont les Grecs ou les Romains  2) Il ignore s'il va les connaître (nous savons où nous allons. Direction la Grèce ancienne et les romains). Deuxième citation : Platon, La République, Livre II : Viens donc, passons une heure de loisir à nous dire des contes et notre récit sera l'éducation de nos héros (Comptez plutôt 10.) Tout cela est clair comme de l'eau de roche. Ce roman de 700 pages sera donc dévolu aux grecs, encore les grecs et toujours les grecs. de simples formules en fait. Bonjour, vous allez bien? Moi-même je me sens capable d'écrire une page à l'aide de wifi. Sans compter la phrase que tout le monde connait.

Le narrateur, Richard Papen, américain type, sain de corps et d'esprit, débarque de Californie, affectivement orphelin. Il se retrouve projeté sur une scène devant six personnages en quête d'auteur. Et c'est bien l'impression que nous donne ce roman : la mise en scène laborieuse et compassée d'un meurtre annoncé. La comparaison avec le génial Pirandello s'arrête là. On aurait pu espérer trouver quelque chose ayant trait à l"'imitation de la réalité" Point. D'emblée le narrateur nous parle d'une "fêlure fatale, cette faille sombre et révélatrice qui traverse le milieu d'une vie" et se demande si elle "existe hors de la littérature...Je croyais que non. Maintenant je pense que oui". Lourd incipit. Craignez le pire.

Le premier paragraphe du prologue nous dit tout : mort de Bunny, immense chasse à l'homme (n'exagérons rien), la police fédérale, le FBI (ce n'est pas pareil?), à en croire l'auteur, tout s'est arrêté dans le Vermont.. Caméras, uniformes, foules noires grouillant comme des fourmis sur un bol de sucre... Hum. Et, pour ceux qui ne comprendraient pas à quel point c'est grave, un coup de cymbale : "Qu'est-ce que vous faites ici?" a dit Bunny quand il nous a trouvé tous les cinq en train de l'attendre".


On nous l'a promis, on parle grec et latin, on ne parle que de ça, au cours de "Julian" ce mystérieux professeur si courtois. Je ne peux pas vous dire si le mystère est levé, n'ayant pas lu les 135 dernières pages. C'est toujours un peu désagréable de ne pas finir un roman, mais c'était inévitable.

En gros, donc, on a l'annonce de la mort de Bun, qui s'avère une tête à claques, et entame un début de chantage. Et on attend, on attend qu'il passe de vie à trépas. On finit par arriver au corpus delicti (c'est contagieux :), mais ça reste très bon chic bon genre, pas d'affreux détails. Seuls ceux qui continueront leur lecture y auront droit.

Dans ce roman, on boit beaucoup, Dionysos , le Maître des Illusions oblige. Grâce à l'alcool, on voit "le monde tel qu'il n'est pas" (exergue livre II "Les Grecs et l'Irrationnel.) on y tue des porcelets pour purifier le sang par le sang, on a le visage qui devient tout blanc, genre 50 fois, et on s'écrie "Bun, oh Bun, je regrette"!  Trop tard... Tout cela est grand guignolesque, compassé et ennuyeux. Comme il reste encore 300 pages, on espère que quelque chose viendra, qui les fera héros...Rien, si ce n'est un enterrement (100 pages), tous livides. Bun, oh Bun!"

Dès le début, alors que j'avais un peu de mal à accrocher (mauvais signe), je pensais à "La Corde", ce film extraordinaire de Hitchcock dans lequel deux étudiants en supprime un troisième avant de recevoir les parents de la victime et leur professeur. le corps de leur camarade est dans une malle qui sert de table. le Maître du suspense (et de l'Illusion cinématographique) n'a besoin ni de 700 pages ni de Dionysos, pour nous distraire sur une "scène".

Et puis n'y-a-t-il pas de la prétention à écrire un roman aussi volumineux..? L'auteure entend-t-elle rivaliser avec de grands auteurs tels que Thomas Mann, Dostoïevski, Tolstoï et bien d'autres? Si je devais emmener sur une île déserte ce laborieux pavé j'aurais le moral au plus bas.

Entendons-nous bien, je ne suis pas bégueule. Je lis soit pour me distraire, soit pour m'élever l'esprit, les deux n'étant pas incompatibles. Ici, rien de tel. Une fausse culture de bric et de broc, une farce qui s'ignore.

Je suis un peu dure néanmoins car ce roman a eu un mérite : il m'a musclé avantageusement les bras..
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Richard, californien pauvre, part faire ses études dans le Vermont. Il se lie d'amitié avec un groupe d'étudiants riches. Il va découvrir leur secret.
Un livre que j'ai trouvé extrêmement long. L'étudiant pauvre qui se retrouve avec des étudiants qui peuvent se payer tout ce qu'ils veulent (drogue, alcool), qui n'ont pas besoin de travailler, forcément ça finit mal. Il n'y a pas d'action, tout est décrit ; alors, sur un roman de plus de 700 pages, avec des chapitres particulièrement longs, je me suis beaucoup ennuyée. En revanche, il y avait un « je n'sais quoi » qui me faisait tourner les pages : je me disais que ce n'était pas possible que ce soit comme ça jusqu'à la fin… Et bien non ! Même la fin m'a extrêmement déçue.
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pffff! 706 pages et j'ai vraiment peiné!!!!! C'est long, très long, avec des tas de passages, que dis-je, des pages entières qui ne servent pas à grand chose. D'un point de vue stylistique, je comprends qu'on puisse être fan ;-) mais pour moi c'est un style un peu trop désuet, avec des tournures trop impersonnelles, même si c'est parfaitement équilibré, descriptions, dialogues, actions, etc ; l'histoire en elle-même est plutôt intéressante mais je n'ai "aimé" aucun des personnages, je suis restée en-dehors, simple spectatrice. Et puis je n'ai pas réussi à trouver tout cela crédible, sans doute parce que pour me contenter il aurait fallu étayer davantage la psychologie des 5 étudiants "héros" du drame. Mais le fait est là, malgré l'ennui, je suis allée au bout, car il fallait absolument que je sache comment tout ça allait s'achever (sans surprise!).
Et puis je n'ai toujours pas compris le rapport entre le titre et le contenu du bouquin :-(
par contre, il y a une sacrée dose d'érudition dans les propos de l'auteur, qui a l'air de maîtriser son grec!!!! les auteurs classiques et les langues anciennes en général.
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Voici un gros livre sur la... désillusion.
-Désillusion visible dans la structure du roman qui passe du monde d'avant (le meurtre, dévoilé dès la 1ère page sans suspense), avec une 1ère partie joyeuse et pleine d'espérances, de confiance, d'amitiés, au monde d'après dans une 2ème partie qui est une lente descente aux enfers des personnages, après un épisode proleptique mortifère dans le froid et la neige. Les citations de Rimbaud tirés de "La saison en enfer" et "Le Bateau ivre" accompagnent cette dégringolade. Et les descriptions du campus, notamment de la chambre du narrateur (un refuge confortable et studieux qui fait envie avec sa simplicité monacale et son vieux parquet et qui se meut en chambre désordonnée, sale et malodorante) illustrent cette évolution.
-Désillusion sur les personnages que croise le narrateur : comme le narrateur de "La recherche du temps perdu", il est d'abord fasciné par un groupe d'étudiants regroupés autour d'un enseignant charismatique, très genre "cercle des poètes disparus" (sorti quelques années avant) avant d'inverser peu à peu son regard sur eux et de les présenter comme des êtres pathétiques, déchus, stupides (on se demande comment l'un d'entre eux a pu attirer l'attention du prof), violents, jaloux, alcooliques, drogués, égoïstes, arrogants, lâches... des gosses de riches oisifs et frivoles et des enseignants creux. le mystère, l'inconnu créait l'illusion, alimentait le fantasme ; la familiarité fabrique des baudruches emplis d'air.
-Désillusion sur le monde universitaire : aux réunions studieuses initiales, aux échanges érudits, succèdent beuveries, soirées orgiaques, prépas de cours bâclées. Aucune des brillants étudiants présentés ne fera de brillante carrière.
-Désillusion sur le monde : cruel et brutal dépucelage, ce roman d'éducation ne débouche cependant sur aucun acquis, aucun enrichissement. Toutes les expériences menées par les étudiants, loin d'être une libération philosophique, s'avéreront simplement, tristement, seulement, destructrices, que ce soit par des morts réelles ou symboliques. L'ivresse bacchique n'apprend rien, n'inspire rien, ne conduit à rien, à part à des énumérations de drogues et d'alcools divers ("Nous bûmes de tout..." comme l'écrivait Verlaine !). L'initiation tourne à vide. Après le trip vient le retour sans fard à la réalité.
-Désillusion du lecteur qui attend tout au long de ce (très) long récit une révélation, laquelle se dérobe sans cesse. ce qui à mon avis est aussi une solution de facilité (au lecteur de se débrouiller avec le peu qu'on lui donne)... On tourne en rond. L'énigme contenue dans le titre très accrocheur, la piste de la possession dionysiaque présentée dès la 1ère partie, l'énigme du professeur charismatique... Tout se révèle un peu décevant et le roman s'achève sur un dénouement froidement réaliste, sans salut, dépourvu de toute l'érudition séduisante et prometteuse du début.
-Désillusion de lecture : je me souvenais avoir adoré ce roman lu à sa sortie française en 1993, mais j'avais à peu près tout oublié... Grosse déception : la 2ème partie en particulier se noie dans une relation fastidieuse des événements où rien ne nous est épargné de ce que font, boivent, absorbent, disent... les personnages, à la minute près parfois, sans éviter de lourdes répétitions (les joues rouges de l'un, la pâleur d'un plus blanc que blanc, les hallucinations du troisième etc). On sent bien que cette lourdeur pénible est délibérée pour faire ressentir au lecteur le naufrage des personnages mais cette lente, longue, interminable déliquescence est aussi une rude épreuve imposée au lecteur. 300 pages de moins et cela aurait gagné en efficacité dramatique. La boutade de Flaubert : "Livre : toujours trop long" est particulièrement pertinente ici.
Long récit d'une inéluctable déperdition de soi. Ce n'est pas inintéressant, même fascinant parfois, très attractif dans la 1ère partie, mais cela devient très pesant dans la 2ème partie qui par ailleurs ne comporte pas vraiment de révélation inattendue et surprenante, même pas de trame policière basique.
Dans le genre très en vogue alors du récit universitaire, je choisis plutôt David Lodge et son "Tout petit monde" ! Et plus récemment "Les Fantômes du vieux passé" de Nathan Hill, remarquable premier roman aussi.
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J'ai envie de dire "ouf fini". Et pourtant ça commençait bien entre lui et moi : les contours d'un mystère, une classe d'étudiants qui tient de la guilde érudite, une écriture fine et élégante. Et pourtant, parfois des boursouflures inutiles qui déforme cette grâces et une intrigue étirée, étirée, alors même que le fil narratif se suffisait. Je n'arrive pas à comprendre ce choix de Donna Tartt, qui finalement gâte un livre très prometteur. C'est l'écriture qui m.a poussé à le lire jusqu'au bout mais au prix, de passages délaissés sur la fin.
Lien : HTTP://lire-ecouter-voir.com
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