Il puisait son inspiration dans les défauts et les travers de ses contemporains. La connerie et l'injustice le révoltaient. Il les fustigeait et le dénonçait sans cesse, en usant de ses armes favorites : la provocation, l'humour et la dérision. Il semblait ne rien prendre au sérieux, ne rien respecter. Mais il y avait l'autre facette : celle du Coluche généreux, tendre et pudique. Il s'en est allé il nous manque.