J'en ai lu beaucoup, beaucoup, des Arthur Tenor, je les ai pour la plupart trouvés "pas terribles" et pire que ça encore pour tous ceux qui n'ont pas été publiés et qui sont en accès libre sur son site. Je vois bien qu'il fait plein de choses, cet homme-là, qu'il est reconnu dans le milieu du livre et de l'édition mais rien à faire, je n'aime pas le style, que je trouve à la fois gentillet, trop "mou", trop facile, peut être que ça convient bien à des enfants qui lisent peu ou qui n'ont pas beaucoup de vocabulaire mais par rapport à l'incroyable qualité des ouvrages qui paraissent en jeunesse, les Tenor me semblent vraiment fades.
Celui-ci, j'ai tenu jusqu'à la page 46 et quand j'ai vu que ça partait en sucette, j'ai laissé tomber. Pourtant l'idée de base est vraiment sympa (une ado fliquée par sa mère grâce à son portable) et très "d'actualité". Oui mais voilà, même si l'auteur a l'air de beaucoup s'amuser, les incohérences s'accumulent. Bon courage aux prochains lecteurs ;-)
08/02/20, je recommence une nouvelle critique de cet ouvrage car, suite aux échanges intéressants avec son auteur (cf les commentaires), j’ai eu envie de le lire en entier, en changeant mon angle de vision ;-)
En littérature jeunesse, je lis 3 types de choses : les bouquins 6-10 ans, avec le regard de l’instit qui cherche pour sa classe, pédagogiquement, ce qui va être intéressant et exploitable, et comment. Etant donné la profusion de mes lectures, je n’en mets quasi aucune sur babelio.
Je lis des romans ado/jeunes adultes pour mon plaisir personnel, car c’est une littérature que j’aime vraiment beaucoup, que je trouve riche, sensible, émouvante, porteuse, et le plus souvent extrêmement bien écrite ; j’ai fait de sacrés belles rencontres avec ces ouvrages-là, en témoignent le nombre de 5 étoiles accordées, « le dragon de glace », « les grandes jambes », « les petites reines », et il y en a eu tellement d’autres !
Et puis il y a la tranche 10-14 que je lis (souvent) parce que ma fille me dit « Tiens maman, il va te plaire celui-ci » (elle a 11 ans), et c’est ainsi que nous nous enfilons toutes les deux les « séries » à la mode, le journal d’Aurélie Laflamme, les David Walliams, les « sans étiquette » dans l’air du temps comme « textos et cie » ou « smileys », etc.
Donc Smartphone Panique, je l’ai pris pour ma fille, elle qui est comme tous les gamins de son âge très attirée par le numérique… pas encore de téléphone, mais une tablette… et comme elle était occupée avec « Mathilda » c’est donc moi qui ai commencé la lecture ;-)
Donc mon regard était quand même très « orienté » quand j’ai pris le bouquin : je voulais quelque chose pour ma fille qui l’informe et l’interpelle sur les dangers du net (et en vérité, qui soit redondant avec tout ce que je lui dis déjà) et qui, en même temps, soit rigolo et sans prise de tête. (je sais, je suis un peu exigeante oui…) Alors maintenant que je l’ai lu en entier, ce livre, je peux dire : oui, il est rigolo et sans prise de tête. Ca se lit facilement, sans heurts, quelques boutades de l’auteur qui m’ont fait sourire (du genre, astérisque sur un mot compliqué qui renvoie sur un « à vos dictionnaires ! »), mais quand même, je n’arrive pas à trouver l’histoire crédible… C’est très sûrement fait exprès, que ce soit un peu tiré par les cheveux comme on dit : ce logiciel espion sorti du dark web (tiens, du coup je me suis renseigné, sur ce fameux darkweb !!!!), ce père très haut placé dans la pyramide des secrets défense… Mais la vérité, c’est sûrement que je suis un peu trop vieille, et mon ado un peu trop jeune…En tout cas je reviens sur ce que j’ai dit dans ma première critique, et je lirai d’autres Tenor…
PS : du coup, ma fille, elle l’avait déjà lu !!!
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Cléa installe une application dénichée sur le dark web pour échapper à la surveillance permanente de sa mère. Cette application lui permet également d'espionner les conversations de ses camarades. le piège se referme bientôt sur elle, un engrenage se mat en place. Ce logiciel espion, le Mirage-sorry, a bien vite de graves conséquences familiales, financières que Cléa ne peut plus maîtriser.
Les dangers d'internet et des logiciels espions.
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Cléa n'en peut plus de ses parents qui l'espionnent par le biais de son téléphone. Un de ses amis trouve la solution en lui installant un logiciel qui brouilles les pistes. Mais Cléa et son ami ne se doutent pas qu'ils viennent de tomber dans un piège!
J'ai apprécié cette histoire car il y a du suspense et cela parle d'un sujet qui est très courant chez les adolescents : le téléphone portable, les inquiétudes des parents...
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Mlle Tiguida:
Faites attention à où vous traînez dans ce bouquin, vous pourriez attraper un virus.
Ce faire traquer par sa mère très protectrice ce n'est pas agréable demander à Cléa, mais elle a quelques tuyaux...Son meilleur ami, Ravi à trouvé une application sur le Dark Web qui va résoudre tous les problèmes de Cléa, mais à ses risques et périls...
C'est un roman est intéressant, mais quelques fosi je m'y perdait un peu, par rapport au mode d'écriture.
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La mère de Cléa, très protectrice, a installé un logiciel de localisation sur le portable de sa fille pour surveiller ses déplacements. Mais c'est insupportable pour une adolescente de quinze ans. Un des amis de Cléa, Ravi, a une solution à son problème : Mirage Sorry, un logiciel trouvé sur le Dark Web qui peut pendre possession de la fonction géolocalisation d'un smartphone pour masquer et inventer un lieu qui convient à l'utilisateur, espionner les conversations des autres… mais c'est payant. Coup de bol, Cléa a un compte en banque et télécharge Mirage Sorry. Mais l'application commence à devenir louche et Cléa demande de l'aide à Valentin, un garçon qu'elle aime secrètement. Une histoire inspirée de faits réels que j'ai bien aimé car elle nous fait explorer les différentes facettes d'Internet. Mathilde, 4ème
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