J'étais impatiente de lire ce tome tellement que le mystère était épais dans le tome 19. Comment est-ce possible que Sébastian ne détecte pas une présence maléfique. Je me posais la question et la réponse est d'une évidence surprenante. L'horreur n'est pas une chose propre au monde du surnaturel. La résolution de l'énigme m'a prise au dépourvue. Que c'était malin de la part de la dessinatrice. C'est à ce genre d'énigmes et de suspens que l'on découvre le véritable talent des artistes.
Du départ, de la scène du réveil entre le majordome et Ciel à la scène final sur l'identité des loups-garous, tout est bien raconté. le jeu avec le noir et blanc est d'autant plus saisissant avec la lutte du bien contre le mal. Et quelle fin pour ce tome où le véritable visage du chien de la Reine se montre. J'ai adoré le cadrage choisi qui fait penser à des films de gangster. J'ai hâte de lire la suite pour savoir ce que va devenir cette petite sorcière verte.
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