L'anniversaire

Cette dernière est plus suggestive certes, mais plus proche du texte. Malheureusement les mauvaises langues ont fait que l'auteur a dû changer de couverture.

Elle c'est une jeune femme qui veut sortir de la routine après dix ans de mariage. Elle va jouer sur son physique, robe provocante, hauts talons, maquillage qui va avec et sort pour se trouver un bar où un homme saura satisfaire ses attentes.

L'écriture est fluide, beaucoup de descriptions qui donne des détails intéressants sur l'état mental de cette jeune femme. La recherche du plaisir est bien décrite. Et une question se pose à moitié : va-t-elle se laisser aller à assouvir ce besoin ?

Pour ma part, j'aime l'écriture de l'auteur, les pages défilent très vite – il n'y en a que 17, c'est vrai, mais tous pourront dire que 17 mal écrites semblent interminables, ce qui n'est pas le cas ici.

Par contre l'histoire ressemble à une que j'ai déjà lu auparavant. Une jeune femme qui veut changer de routine, va aller contre ce que je pourrais appeler de 'morale' pour atteindre un but. Sans compter que la fin n'a pas été une surprise pour moi, du déjà vu malheureusement sur d'autres, d'où le fait que mon avis soit mitigé. Une bonne écriture, mais pas de nouveauté en somme.

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Je remercie G. K. Torrence pour m'avoir permis de lire cette nouvelle.



Tout d'abord je voulais vous dire que j'appréhendais ma lecture car ma première lecture de G. K. Torrence était dans un univers noir que je n'ai pas trop apprécier.

Et bien je suis agréablement surprise, cette lecture érotique est fluide, une belle plume dans ce domaine.

Cette histoire raconte un anniversaire de mariage hors du commun...

Je trouve que l'auteur a su nous relaté cette histoire afin de nous donner envie d'être à la place de l'héroïne.

Une très belle nouvelle érotique à lire.

Ah cette nouvelle quand j'ai vu l'auteur j'ai eu de suite envie de la lire parce que j'ai adoré Voraces et la sulfureuse Aïcha Bellik. La difficulté de ce format est qu'il faut saisir le lecteur en peu de pages et pour le coup c'est réussi.

Une jeune femme profitant que son mari travaille tard et que sa fille est avec ses grands-parents laisse libre cours à ses fantasmes le temps d'une nuit.

L'exercice du genre érotique n'est pas simple non plus car il faut pouvoir utiliser de nombreux synonymes pour ne pas lasser (comme la déesse intérieure d'Anastasia par exemple quoique Christian Grey avec sa "queue" manque cruellement d'originalité) et G.K. Torrence encore une fois s'en sort merveilleusement bien.

Que dire si en plus il arrive à nous surprendre sur la chute finale, ah oui je l'avais pas du tout vu venir celle-là !

Pour public averti !

Je remercie Jeanne Desaubry et les Editions sKa pour cette excellente découverte !
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