Sur la quatrième de couverture, Agnès Brabo dit de la photographe qu'elle « n'a jamais cru aux " voleurs de poules " ni aux " voleurs d'enfants ".
Son oeil de photographe a vu autrement les Roms, les Manouches ou les Gitans. Elle a aimé accompagner les Voyageurs. Acceptée par les familles, elle nous découvre leur intimité.
Cet album de photographies est en effet le fruit de trente ans d'amitié avec les Tsiganes. Il est présenté par la linguiste
Marie Treps, spécialiste des Manouches, qui retrace, dans une remarquable harmonie entre documents et texte, l'histoire de ce peuple nomade pour lequel nous sommes des gadjé ou payos.