Un barbecue. Des adultes. Des enfants. Une gifle. Et les relations de chacun sont mises à nu. Portrait d'une jeunesse gâtée en Australie. Qui se drogue, picole, se vautre dans le confort, la facilité et perd le sens des réalités. Je n'ai pas aimé ce livre. Tous les personnages sont antipathiques (à baffer ?!!!), sauf peut-être Manolis et j'ai envie de les secouer, de leur dire "atterris, ouvres les yeux". L'égoïsme roi est peut-être le sujet du livre avec celui des illusions auxquelles on s'accroche.
Les critiques de ce livre ont été élogieuses. Moi, je n'ai absolument pas trouvé où était la fameuse poésie du style, on reste sur sa faim concernant certains personnages et je suis restée "au bord de la route" pendant les 700 pages du bouquin. Tant pis pour moi.
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J'avoue être franchement déçue par ce roman. L'idée de départ était bonne pourtant. tout d'abord je n'aime pas trop la construction du roman : chaque chapitre est consacré a un personnage. de plus, je trouve ce livre vulgaire, il est s'en cesse question de sexe, de drogue et d'alcool. Et enfin, je trouve qu'il y a trop de longueur, l'auteur dérive souvent sur des sujets qui ne sont pas utiles pour l'histoire.
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À sa sortie, en 2011, ce roman m'avait fait de l'oeil. Avais-je vu un engouement du lectorat cybernétique ? Entendu une recommandation d'un ami ? Repéré le titre à la radio ? dans une revue ? Aucun souvenir.
Mais j'avais très envie de découvrir ce texte, présenté comme "Provocant, urgent, impitoyable, un roman coup de poing...", selon la 4e de couverture (que je ne lis jamais avant de lire un bouquin... mais parfois après).
J'étais motivé également par mon envie de découvrir de plus en plus d'auteurs et d'autrices hors de France. C'était l'occasion de lire un livre australien.
Eh bien...
Déjà la mise en place est longuette et confuse : il y a un BBQ chez Hector et Aisha, les (nombreux) invités arrivent et il faut essayer de retenir qui est le père, la mère, la fille, le cousin, le pote de lycée, la collègue, le mari, la stagiaire de qui. Et qui est grec, indien, malaisien ou australien bon teint (c'est-à-dire blond et rougeaud). Ce que l'auteur ne facilite pas, en décidant de donner à 3 invités les prénoms de Harry, Ari et Gary.
Hélas la fête capote quand l'un de ces 3 flanque une gifle au mioche insupportable d'un autre.
"Un incident qui va créer une onde de choc parmí les invités et provoquer une série d'événements explosifs", dixit la 4e de couv.
Ben... pas trop, en fait
Arrivé à la page 212 sur 467, j'ai assisté à 4 ou 5 BBQ, 6 ou 7 copulations légitimes ou non, suivi une journée complète dans une clinique vétérinaire (les chiens se remettent bien, soyez rassurés), vu passer 892 bières (et un nombre plus restreint de lignes de coke, de comprimés d'ecstasy et autres substances psychotropes), lu 328 insultes racistes, misogynes ou homophobes échangées par les personnages (mais, c'est pour rire, hein... ou pas) et avalé des kilomètres de dialogues dépassant de très loin les frontières de la vacuité sidérale établies par les Feux de l'Amour en 1973.
Mais ni scène marquante, ni style, ni humour, ni idée intéressante et des personnages qui sont des caricatures de clichés.
J'ai reposé le livre et pris un Toni Morrisson.
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Décevant,car confus avec personnages stéréotypés ,caricaturaux,avac abondance de trivialités et sexes cracra ,crues crues.
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