Minute, papillon !

Rose est une jeune femme, mère célibataire très jeune. A à peine 40ans, enchaînant des jobs de nounous, son fils quitte la maison. Avec des soucis d'argent, elle finit par accepter un job un peu fou.

Un roman sans queue ni tête.... une histoire tirée par les cheveux. Je n'ai pas aimé

Rose se retrouve au chômage après avoir perdu son emploi, elle voit aussi son fils unique quitter la maison pour s'installer avec sa petite amie qui est enceinte.

Dans l'ensemble j'ai passé un bon moment, j'ai beaucoup aimé le personnage de Colette qui m'a fait rire. Les personnages secondaires sont peu présents et pas très intéressants, Rose m'a tapé sur le système à jouer les désespérées, je l'aurais bien volontiers secoués pour qu'elle prenne les bonnes décision, à 36ans je lui en aurais 20 de plus. A côté de ça, Baptiste est quand même hyper dur avec sa mère même si on peut le comprendre. Finalement c'est un roman qui se lit rapidement, sans prise de tête mais qui va rapidement se faire oublier. J'ai trouvé la fin hyper rapide ! Une histoire entre deux qui passe bien mais sans plus.

Ce roman feel good m'a laissé un gros sentiment de déjà lu... Ecrit dans la tradition de ce genre de livre, d'une plume vive et rapide, j'ai malgré ça eu du mal à rentrer dans l'histoire et la fin est sans surprise pour moi. Je suis pourtant plutôt fan de ce genre de lecture mais j'avoue être passée à côté de ce roman...

Début très leeeent et difficile de s'accrocher, puis un déclic se fait, et je l'ai lu d'une traite, en 40 minutes.
Un petit moment de bien être. Bon, la fin.... je suis mitigée. Mais bon moment quand même!

A 36 ans la vie de Rose bascule : elle perd son emploi de nourrice et son fils, Baptiste, qu'elle élève seule depuis sa naissance et à qui elle se consacre totalement, lui annonce qu'il quitte la maison pour s'installer avec sa copine. Totalement désemparée Rose accepte le premier emploi venu : s'occuper d'une dame âgée un peu perdue et bourrée de tocs, Colette. le poste est très bien payé et elle dispose d'un studio : c'est l'occasion pour elle de tourner la page et de reprendre sa vie en main. Sauf qu'elle s'aperçoit très rapidement qu'il y a eu un malentendu lors de son embauche : elle ne doit pas s'occuper de Colette comme elle le pensait mais du chien de sa fille ! Et c'est une occupation à plein temps car « Pépette » va plusieurs fois par semaine chez sa toiletteuse et chez son psychothérapeute…Valentine, la fille de Colette, ne jure que par son chien et est totalement odieuse avec sa mère et avec le reste de l'humanité. Rose hésite mais décide de rester malgré tout avec une idée en tête : s'occuper le moins possible de Pépette pour se consacrer à Colette. Mais les choses vont rapidement lui échapper et c'est finalement Colette qui peu à peu va la prendre sous son aile. Ce livre se lit très facilement : les chapitres sont courts et le rythme enlevé. C'est une lecture qui délasse mais qui ne va pas au-delà. Si j'ai apprécié les deux premiers romans de l'auteur : Mémé dans les orties et Nos adorables belles-filles (inexplicablement rebaptisé En voiture Simone dans la version poche…), j'ai lu avec moins de plaisir celui-ci car il ressemble beaucoup trop aux précédents, les personnages sont assez caricaturaux et le happy end beaucoup trop énorme. J'ai récemment écouté une interview d'Aurélie Valognes dans laquelle elle dit ne pas pouvoir imaginer un de ses romans sans une fin heureuse : d'accord, mais encore faut-il rester dans les limites du crédible et du raisonnable…
Lien : http://monpetitcarnetdelectu..

Je suis plutôt indulgente dans mes critiques alors forcément, avec mes 2 étoiles, j'ai l'impression d'être sévère avec ce roman qui semble pourtant avoir plu... Mais il est pour moi, une déception et un mystère.
Une déception car après avoir lu avec beaucoup de plaisir "Mémé dans les orties", j'étais impatiente de retrouver la plume, tendre et drôle, d'Aurélie VALOGNES. Mais aucune comparaison possible ! Pour moi, ce roman est resté terriblement plat et fade ; je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, à m'intéresser à l'histoire, que j'ai trouvés peu crédibles et sans relief. le style permet une lecture facile et rapide mais qui est restée pour moi, sans saveur ni plaisir !
Un mystère car je n'ai pas compris le sens de ce roman : pas de suspens ou d'intrigue, pas de véritable réflexion ou questionnement, pas de morale,... J'ai eu le sentiment d'être la spectatrice d'une tranche de vie sans profondeur, sans véritable immersion dans les sentiments, les émotions des personnages ; de parcourir une succession d'événements auxquels je n'ai pas réussi à croire. Même la note de l'auteure à la fin du livre, qui évoque l'origine de cette histoire, le décrivant comme une déclaration et un remerciement destinés à sa mère, ne m'a pas convaincue...
Bref, je suis complètement passée à côté de cette lecture, à laquelle je suis malheureusement restée insensible ! Dommage !

Vite lu, vite oublié !
Un roman feel-good conseillé par plusieurs amies, j'ai donc voulu tester ce titre trouvé dans une boîte à livres.
Il fait passer un bon moment mais sans plus. Dans ce style de lecture, je préfère nettement Virginie Grimaldi.
Une jeune femme de 36 ans, a eu un enfant à 18 ans. Elle a consacré sa vie à ce garçon et se trouve désemparée lorsqu'il quitte le domicile pour voler de ses propres ailes. Heureusement, elle fait la connaissance d'un femme d'un certain âge qui la bouscule un peu afin qu'elle prenne sa vie en main.

La 4ème de couverture annonce :
« une cure de bonne humeur et d'optimisme »

Rose 36 ans, mère célibataire est nounou à domicile.
Son fils Baptiste 18 ans quitte le domicile pour vivre avec Jessica et lance un ultimatum à sa mère, il veut connaitre son père.
En même Rose perd son emploi de nounou et doit retrouver un travail rapidement et refaire sa vie sans son fils.
Rose a vite trouver un travail chez une bourgeoise vivant dans un luxurieux appartement à Paris avec sa mère Colette mais l'emploi initial n'est pas celui qu'elle croyait.

Une histoire qui partira en roman à l'eau de rose.
De l'optimisme, il y en a un peu par contre la cure d'humeur je l'ai ratée mais le mot "dog sitter" m'a bien fait sourire.

ose, maman célibataire voit son fils de 18 ans quitter brutalement le nid douillet qu'elle s'est évertuée à construire quitte à mettre sa vie de côté et, est dans le même temps licenciée de son emploi de garde d'enfants. Sa soeur voit la l'opportunité pour Rose de rebondir.
En effet, Véronique Lupin propose à Rose un poste payé 3500€ la semaine avec studio de fonction, son boulot? Être dame de compagnie mais attention pour n'importe qui, alors que Rose s'attend à s'occuper de Colette, la Maman de Véronique, elle se retrouve à gérer l'emploi de ministre de Pépette le chien!
Et pourtant Colette aurait tant besoin d'aide mais sa fille est rancunière et ne veut pas en entendre parler.

J'ai apprécié ce livre qui traite de plusieurs sujets qui auraient certainement mérités d'être plus approfondis.
Les caractères des personnages sont parfaitement décrit et emprunt de justesse.
La fin est très peu réaliste mais après tout, c'est une fiction

Mon premier Valognes, suite à de nombreux commentaires élogieux de la part d'une de mes collègue.

Rose est nounou mais le jour où la famille qui l'emploie déménage, elle se retrouve au chômage jusqu'à ce qu'une dame extravagante et désagréable se présente et lui demande de venir s'occuper de son chien, moyennant un bon salaire et un logement. de fil en aiguille, Rose se lie à la mère de Véronique, Colette, et s'intègre dans le riche quartier parisien auprès des commerçants. En plus de son travail, Rose a des difficultés relationnelles avec son fils, qui est parti de la maison pour partager sa vie avec Jessica.

C'est un livre sans prétention mais quand même ! On retrouve les énormes clichés : tous les gens qui vivent dans les beaux quartiers de Paris sont pédants, désagréables, hautains etc... Rose joue le rôle parfait de la belle-mère qui déteste sa belle-fille sans même la connaître. Et d'ailleurs, belle-fille qui est magnifique et riche et pour la touche romantique, étrangère bien sûr !

Mention spéciale pour l'ancien compagnon de Rose, père de son fils, qu'elle retrouve, 18 ans après, alors qu'elle ne lui avait pas avoué être enceinte. D'ailleurs cet homme est médecin (encore une fois, une bonne situation ! ), est toujours aussi beau, n'est pas rancunier, évidemment pas marié etc...

Franchement, c'est tellement grotesque que ça en devient risible. Rose est juste insupportable à vouloir étouffer son fils constamment, à croire encore au "prince charmant" (franchement à 36 ans, croire encore à ça, y a pas un soucis d'immaturité ? ) et à se faire marcher dessus par une Véronique ignoble. D'ailleurs j'ai oublié de préciser que Rose avait une soeur, avocate, qui a fini par tout laisser tomber.

Heureusement le livre est court et se lit assez bien, ça doit être là son unique (et pas des moindres ! ) qualité. Un mauvais feel good, pour moi, j'ai eu hâte de le terminer. J'en lirai quand même un autre, pour me faire une idée plus précise de ce qu'écrit l'auteur, peut-être que celui-là n'était pas son meilleur ...