Minute, papillon !

Ce roman aurait pu être publié chez Arlequin. Que de niaiseries ! Fille mère de 36 ans trouve un boulot de garde-toutou à mémère. Sa propriétaire est riche et se déplace fréquemment (on ne saurait jamais sa profession). Dans l'appartement bourgeois vit également sa mère avec qui elle va sympathiser tandis que son fils a quitté le domicile en faisant du chantage à sa mère pour avoir le nom de son père. A la moitié du bouquin on devine déjà la fin. Aucun cliché n'a été oublié. Je me suis traînée dessus 5 jours. On peu le lâcher et le reprendre parce que ça ne manque pas de répétitions. Un papillon qui ne vole pas très haut.

Je lis de ces choses parfois... je m'en étonne.
Je ne connaissais pas cette auteure, je souhaitais découvrir... voilà, c'est fait, et je n'y reviendrai pas.
Ce type de roman n'est absolument pas mon truc.
Ce n'est qu'une succession de situation plus extravagantes les unes que les autres. Et dans la mesure, où cette histoire n'est pas de la SF, j'aurais bien eu besoin d'un peu de réalité.

En fait, je n'ai pas lu, j'ai écouté le livre audio en voiture. Et je me suis monstrueusement ennuyée parfois. Il me tardais la fin

Si je n'avais pas participé à la rencontre de l'auteur à l'occasion de la parution de Au petit bonheur la chance, je n'aurais pas lu Minute, papillon et très honnêtement, cela ne m'aurait pas du tout manqué.
Vous l'aurez compris, je n'ai pas accroché. Je n'ai pas été touchée par ce livre. J'ai trouvé qu'il y avait trop de bons ou de mauvais sentiments. J'aurais apprécié plus de profondeur. Mon chemin avec Aurélie Valognes s'arrête là.

L'écriture est agréable mais franchement..... bof! L'histoire est niannian, les personnages fades, on comprend vite la fin mais ça se lit vite! (un point positif) Et un peu abracabrantesque l'histoire... A ne pas retenir dans ma mémoire: même pas une citation à vous donner :(

Je ne sais pas abandonner un livre, même s'il ne me plait pas. J'ai donc été jusqu'au bout de cette histoire abracadabrantesque de nounou pour chien qui se lie d'amitié avec une vieille TOCée, se prend la tete avec son fils et retrouve son amour de jeunesse. Je résume, c'est beaucoup plus long. Je n'ai pas été sensible à l'humour, en fait je ne l'ai pas trouvé.

Oh la la... La cata... Pas de style, histoire nulle, personnages caricaturaux, dialogues à se demander s'il faut en rire ou en pleurer... Quelle perte de temps....

Je viens de finir ce livre... rédigé comme une composition de sixième, des bons sentiments sirupeux et un style un peu "neuneu".
Elle est où la littérature ?

Que dire si ce n'est que je n'ai pas aimé, trop de poncifs: le sommet est atteint quand les végans sont faibles et fatigués parce qu'ils ne mangent pas de viande!!! Pour moi tout est invraisemblable.
Ou alors je suis passée à côté?

Cucuche au possible !

Merci à Babelio de m'avoir permis de rencontrer Aurélie Valognes, et de m'avoir offert « Minute, papillon ! » et « En voiture Simone ! ».
Ne connaissant pas Aurélie Valognes, j'ai commencé par « En voiture Simone ! », que j'avais bien aimé. Puis j'ai lu « Minute papillon ! ». Et là j'ai trouvé l'histoire décevante. Trop mielleuse, pleine de bons sentiments. Et la fin ultra attendue (car oui bien sûr, elle va trouver l'amour).
Mais plus encore que l'histoire, c'est le style qui ne m'a pas rendu la lecture agréable. Et plus encore un détail, que certains trouveront peut-être insignifiant, mais qui m'a horripilée. le qualificatif « jeune », utilisé à tout bout de champ. Tout le monde est jeune chez Aurélie Valognes. Ca passe pour « la jeune femme », mais on a aussi « la jeune mère », la « jeune grand-mère »… Et j'avais déjà repéré ça dans le premier roman. Comme si le lecteur ne pouvait s'attacher qu'à des personnages « jeunes », comme s'il y avait besoin d'accentuer sur la jeunesse pour justifier l'intrigue. Et à force de répéter ce mot, on se demande pourquoi l'auteur ne varie pas plus son vocabulaire. Il existe tellement de manières de qualifier et décrire un personnage, pourquoi se limiter à son âge ? Les personnages manquaient donc d'épaisseur, et c'est peut-être ce qui m'a le plus gênée.
Et enfin, autre chose dont je me suis aperçu à l'instant… quel est le rapport des titres avec les oeuvres ?? Certes, les personnages, à un moment donné, prononcent ces expressions populaires. Mais moi ça me perturbe que le titre ne renvoie à rien de plus concret. du coup, ça crée pour moi un effet de porosité, l'histoire n'arrive pas à être cohérente à mes yeux, comme si aucun titre n'aurait pu coller à l'intrigue, trop vague…
Je loue donc le style général de l'auteur, l'idée d'histoire légère qui détend, ainsi que les couvertures et l'effort marketing fourni pour s'autoéditer avec le succès qu'on connaît. Mais un peu plus de vocabulaire, des personnages plus précis, seraient les bienvenus. J'ai hâte de lire « Mémé dans les orties » pour voir si ces impressions se confirment.