Je ne saurais plus dire sous quelle impulsion j'ai acheté
La Femme de nos vies de Didier van Cauwelaert, le livre est depuis trop longtemps dans ma pile à lire. Sans doute à cause de l'auteur, dont j'avais beaucoup apprécié la plume dans
Les Témoins de la mariée et
le Journal intime d'un arbre. Jamais deux sans trois ? le dicton ne s'est pas vérifié : je n'ai pas aimé ce roman.
Au début, il avait pourtant tout pour me plaire, rien que par le fond historique dont
Didier van Cauwelaert se sert pour son histoire. Cerise sur le gâteau, ce ne semblait pas être un énième roman sur la Seconde guerre mondiale puisque l'auteur décide de s'intéresser à un pan de ce conflit peu évoqué en littérature. Ainsi, ce sont surtout la recherche nucléaire, la course à l'armement (surtout la bombe atomique) et l'utilisation des enfants malades et/ou juifs, mais surdoués, pour qu'ils participent à « l'effort de guerre », qui sont au coeur de ce récit.
La Femme de nos vies avait donc fait naître de grandes espérances en moi.
Et quoi de mieux, pour m'installer dans l'histoire, qu'un suspense fermement ancré dans le récit ? La situation périlleuse, dans laquelle le narrateur, alors jeune garçon sous le règne d'Hitler, est embourbé, est naturellement teintée d'une tension qui nous tient en haleine. Par ailleurs,
Didier van Cauwelaert joue un peu avec son lecteur en lui tendant des perches sur la suite de l'histoire, sans pour autant trop en dévoiler, nous laissant avides de découvrir ce qu'il en est. Jusqu'ici, donc, tout va bien…
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