Lady S, Tome 7 : Une seconde d'éternité

Dans ce septième tome, les aventures de Lady S prennent une tournure plus sombre jusqu'à la tragédie finale.
Piégée par la police française et par un mystérieux nouveau personnage appelé "le colonel", Shania est obligée de prendre la place de la tueuse Liouba Dobrovna et se retrouve ainsi coincée entre les mafias russes et corses. Et même si cela lui permet de retrouver Nicolas, il va lui être difficile de s'en sortir indemne, d'autant plus que son père est en danger.
Dans cet album aux nombreux rebondissements rythmé par des scènes d'action très réussies, il y a plus de violence et moins de géopolitique que dans les précédents ce que j'ai légèrement regretté, il y a plus d'émotion aussi ce que j'ai par contre apprécié.
La série maintient son niveau de qualité au fil des tomes ce qui est remarquable.

Retour à la violence où cette fois-ci les mafias corses et russes sont de la partie et où les morts sont nombreux et les services secrets encore plus secrets... toujours aussi bien écrit et dessiné on dévore l'album en quelques dizaines de minutes. Mais ça devient un peu répétitif quand même.

C'est avec beaucoup de plaisir, que, en l'attente du huitième tome, imminent, j'ai relu l'ensemble de la série. Une héroine sympathique, un scénario efficace, bon cocktail pour une série. On y retrouve le rythme de la série XIII, en moins original c'est vrai, mais en moins compliqué aussi. Par ailleurs, l'auteur a laissé suffisament de zones d'ombre, offrant matière pour les tomes suivants : le CIRCAT a sûrement encore de nombreuses missions pour Lady S !

Une fois de plus Lady S. a joué les filles de l'air, au sens propre, pour aller dérober, en compagnie de son complice Anton, un dossier chez un scientifique (?) russe. Une fois de trop. Prise par la police française qui commence à s'énerver de croiser trop souvent au choix : la Souris, Shania, Suzan ou Lady S., la chance semble avoir tourné du mauvais côté pour elle.
Sauf, qu'un mystérieux “Colonel”, chauve, portant monocle et amputé d'un bras, d'une organisation secrète, proche de l'Élysée (dit-il), lui propose un marché qu'ils ne peuvent refuser, elle et Anton. Ils devront prendre l'identité et la place d'un couple de la mafia russe, chargé de porter une valise de diamants à un parrain de la mafia corse, lui-même chargé d'une mission qu'ignore le colonel. le choix étant limité nos deux complices vont accepter le marché mais sans s'imaginer dans quelle aventure ils s'embarquent.
Toujours en France, le tandem Shania/Anton est entraîné dans un maelström de coups de feu, de coups tordus, de coups du sort, et de coups de poing… À croire que l'autre tandem, Jean van Hamme - Philippe Aymond, leur en veut, et pour le simple plaisir du lecteur, leur infligent les pires avanies. Un album à cent à l'heure, en deltaplane, en train, en voiture de luxe, à moto, en 4x4 et même en hélicoptère. À cent à l'heure je vous dis !

On reste dans le même registre de qualités que pour les précédents tomes. le dessin et la mise en couleur sont toujours aussi somptueux et le scénario est très travaillé. Cette fois, notre lady a maille à partir non seulement avec la mafia russe, mais également avec ses homologues corses. Pas mal de rebondissements et dans cette aventure musclée où le père de l'héroïne est menacé de mort. Quant à elle, elle se retouve sous la coupe d'une nouvelle "agence" dont on ne connaît pas grand chose... A suivre !

Si la première partie du scénario de ce septième tome des aventures de Lady S. est un peu faiblarde, quelques rebondissements lui donnent rapidement de l'envergure. L'histoire est classique, mais nous réserve une rencontre entre deux mondes du crime différents sinon inconciliables.
De nombreux clins d'oeil sont faits aux tomes précédents (une relecture de cycle dans son intégralité est fortement recommandée) et c'est un plaisir de retrouver tout les personnages. Par ailleurs des références sont faites à d'autres figures bien connues des fans de Jean van Hamme (un colonel qui ressemble comme un frère à un autre colonel... Amos, tant sur le plan physique que psychologique).
Le nouvel "employeur" de Lady est cependant trop caricatural, un brin trop sanguinaire. La carte écornée et décolorée du service hyper secret et cynique à souhait a peut-être été déjà trop utilisée, non ?
Lien : http://kriticon.over-blog.com

Je me suis régalé. Une agence de plus convoite Shania. Mais c'est pour mieux la sacrifier à des intérêts supérieurs.

Elle se frotte alors à la mafia corse, mais aussi à la mafia russe qui ne oardknne pas à son père d'avoir déshonoré un savant russe. La mafia russe n'agit en effet que sur mandat du Kremlin.

Les rebondissements suivent à toute vitesse. Mais van Hamme a le bon goût de rester abordable, sefvi par un des dessins les plus aboutis dans le genre. Un tome qui fait une belle synthèse de plusieurs trames débutées dans les tomes précédents, tout en ouvrant quelques portes. de la belle ouvrage, comme on dit

Elle n'a vraiment pas de chance cette Lady S.
L'auteur ne lui laisse aucun répit.
Complots sur complots, elle est prise malgré sa volonté dans une affaire entre la police française, la mafia Corse et la mafia Russe. Sale affaire, tout cela afin de sauver son père, à peine retrouvé, déjà menacé d'assasinat.
Cette bande dessinée nous emmène dans l'action et la violence à 100 à l'heure, presque un peu trop rapide, j'aurais aimé que les scènes d'actions durent un peu plus longtemps, mais le format est ainsi.
Les dessins et les couleurs toujours très agréables, un tome réussi, la suite à decouvrir avec plaisir.

Lady S s'embarque pour de nouvelles aventures avec Anton à ses côtés. Réussira-t-elle à protéger son père des tueurs Corses ? Un album très agréable, avec du suspens, de l'action, des rebondissements. Les personnages sont attachants. Un bon moment de lecture.

lady s va encore se trouvée
a son corps défendan dans les histoires.une aventure
pleine de flashback puisque il y est fait référence à des faits passé dans le tome 3 et le 6 .
qui permettent de tisser la
toile de l, intrigue.
une aventure bourré d,action et de suspense.
et une mise en scène dynamique.