Je viens de lire 155 des 298 pages que font DÉSOLATION de Daniel Vann.
J'arrête, écoeuré de lire les apitoiements de ces amerloques.
Sincèrement, j'aurais préféré lire l'histoire des pêcheurs russes ou norvégiens engrosseurs de vaches et buteurs de taureaux habitants l'Alaska.
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