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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai mis quelques pages a bien entrer dans cette lecture ne voyant pas bien au début ou Marie Vareille voulait nous mener. le début parait un peu décousu et puis de fil en aiguille on voit ou l'auteur veut nous mener.

Isabelle jeune trentenaire actrice raté travaillant en Mac Do, en couple avec Quentin depuis 5 ans et un peu paumé dans sa vie, lorsque Quentin la demande en mariage elle décide même de rompre avec lui.

Dès lors Isabelle doit vivre seul dans l'appartement de Quentin et trouver rapidement un autre logement et surtout un travail pour pouvoir payer son chez-soi.

Elle va tomber sur une adolescente qui lui propose un deal aussi incongru que terriblement bien payé que son père tombe amoureuse d'Isabelle, le plan de cette adolescente est très bien penser car il faut une nounou de remplacement à sa famille.

La situation ainsi décrite peut paraitre simple et loufoque mais le récit de Marie Vareille est bien sûr bourré d'humour et de phrases bien senties mais pas uniquement.

Tout les personnages sont bien campés que ce soit de la grand-mère Valentina digne d'une super nanny ultra rigide, Jan le père des enfants qui ne s'en occupe à aucun moment, Nicolas jeune enfant mutique, Zoé jeune adolescente rebelle hackeuse à ces heures perdues, Adriana adolescente star des réseaux sociaux.

Une lecture très addictive ou divers thèmes se mêlent la famille, le deuil, l'enfance alors que de prime abord la lecture peut paraitre légère.
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Je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire de "Là où tu iras j'irai" à cause de son intrigue hautement improbable et d'Isabelle, le personnage central, qui est vraiment trop fantasque pour moi. L'auto-dérision est sans doute une qualité, mais se ridiculiser ainsi sans cesse...

J'ai trouvé les trois enfants touchants, ainsi que toute la maisonnée Valentini-Kozlowski (en dehors des nounous bien sûr...). Il y aurait eu de quoi faire un beau roman en étant juste un petit peu plus mesuré. C'est donc d'autant plus dommage que l'héroïne soit aussi insensée.

Il s'agit ici de chick-litt, mais pour une fois il n'y a pas de romance dans l'intrigue, ou pas vraiment. L'histoire d'amour existait au début du livre et, malgré la rupture, elle persiste sans que l'héroïne ne doute jamais de ses sentiments ni ne se cherche un nouveau Prince Charmant. C'est sans doute la seule chose qui m'a plu chez elle...

Malgré la jolie plume de Marie Vareille, j'ai donc été un peu déçue par cette comédie au scénario tellement invraisemblable et par son héroïne trop futile à mon goût.
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J'avais lu un livre de cette auteure qui ne m'avait pas emballé mais comme Marie Vareille était recommandée par Virginie Grimaldi que j'aime beaucoup, j'en avais mis plusieurs dans ma PAL au départ.
Ce livre m'a été pioché par Chabe37 pour l'une de mes pioches dans ma PAL de 04/2018 et ce fût finalement une bonne surprise.
C'est évidemment une lecture sans prise de tête et qui se termine bien mais elle est assez rafraîchissante et bien qu'elle traite de sujets délicats comme le suicide, la perte d'une mère, d'une épouse, d'un enfant et de tout ce que ça entraîne, elle reste légère.
Les personnages sont drôles et attachants et certaines situations sont vraiment cocasses bien que invraisemblables.
De plus, c'est un livre qui se lit vite donc idéal pour passer un bon moment.
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Comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, j'ai lu du Chick-lit sans le savoir. Pour ceux qui comme moi n'ont pas encore les codes de ce genre, Marie Vareille a choisi d'expliquer ce genre littéraire sur le blog créé pour la circonstance. le chick-lit est donc «un sous-genre de la comédie romantique. Littéralement « écriture de poulette » en anglais, elle désigne un courant littéraire visant un public féminin. L'expression apparaît dans les années 1990, on la définit alors comme "fiction post-féministe", "féminisme nouvelle vague". Les romans chick-lit mettent en scène des héroïnes de tous les jours, souvent âgées plus ou moins d'une trentaine d'années, des filles comme vous et moi qui se débattent désespérément dans un quotidien cruel semé d'embûches pour trouver leur vraie vocation et le Prince Charmant, généralement en buvant des Mojitos avec leurs copines et en courant de catastrophe amoureuse en cataclysme professionnel. »
Voici donc une pétillante illustration de ce concept, dans la lignée de glorieux précurseurs, tels que le Journal de Bridget Jones.
Le roman s'ouvre sur une scène de rupture originale, puisqu'elle va être provoquée par trop d'amour. Quentin veut épouser Isabelle et fonder une famille, mais Isabelle a trop peur de s'engager et préfère fuir, même s'il ne lui reste que quelques euros, sa carrière – prometteuse – d'actrice n'ayant jamais vraiment décollé.
Aussi n'a-t-elle guère le choix quand on lui propose de prouver son talent en endossant le rôle d'une baby-sitter chargé de séduire Jan Kozlowski, le célèbre réalisateur qui, après des essais prometteurs, lui a refusé un rôle dans l'un de ses films. La vengeance étant un plat qui se mange froid, elle part pour les bords du Lac de Côme dans une splendide villa. le cadre idyllique ne va cependant pas lui assurer un séjour de tout repos, car Adriana, Zoé et Nicolas entendent bien pourrir la vie de leur nouvelle gardienne. Et dans cette famille pas vraiment unie, ce n'est pas Valentina, grand-mère et sorte de gouvernante en chef, qui va lui faciliter la tâche. Il est vrai qu'elle a des raisons de se méfier de cette soi-disant diplômée de la meilleure école de nannys anglaise.
Marie Vareille se régale – et nous régale – en imaginant la succession des épisodes de ce séjour où chacun des acteurs va tenter de jouer sa partition, provoquant une joyeuse cacophonie. C'est drôle et riche de rebondissements, quitte à laisser la crédibilité de l'ensemble un peu de côté. Mais on pardonne volontiers ce petit défaut à l'auteur qui compense les invraisemblances par une belle énergie qui nous emporte vers une fin que l'on sait heureuse et que l'on finit par espérer tant on s'est attaché aux personnages qui, au fil des pages, ont pris de la densité et sont devenus des compagnons de plus en plus attachants.
Un roman gai, qui n'a sans doute pas d'autre prétention que de vous faire passer un bon moment, de vous divertir et de vous redonner le moral. Mission parfaitement accomplie !

Lien : https://collectiondelivres.w..
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Toujours un plaisir de plonger dans un roman de Marie Vareille !

Des belles histoires, le sourire aux lèvres durant toute la lecture.

Isabelle rêve d'une vie d'actrice mais mène une vie lambda. Un jour, fauchée, elle accepte pour travail de séduire un jeune veuf sur le point de se remarier. Elle doit alors partir en Italie et se faire passer pour la nourrice de la famille riche famille des Kozlowski. Ce qu'elle n'avait pas prévu, c'est que les enfants lui en font voir de toutes les couleurs.

Même si le point de départ du roman est abracadentesque, on suit les aventures d'Isabelle avec plaisir.

Les histoires de Marie Vareille (du moins celles que j'ai lues jusqu'à présent) tournent toujours autour du deuil, de la fratrie et d'une héroïne atypique et fantasque.
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La lecture des romans de Marie Vareille est un moment délicieux & agréable. Les pages se tournent, avec le sourire aux lèvres, toujours avec plaisir.
J'ai un peu moins accroché avec l'intrigue de celui-ci, sans doute à cause du scénario peu crédible....
Mais plume tjs aussi agréable.
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J'ai passé un bon moment de lecture. Les personnages sont attachants et l'intrigue est bien ficelée. L'auteur a réussi à me surprendre avec une fin différente de ce à quoi je m'attendais, pour mon plus grand plaisir. J'ai hâte de lire d'autres romans de cet auteur.

Chronique entière sur le blog.
Lien : https://leslecturessucrees.c..
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J'avais beaucoup aimé le précédent roman de Marie Vareille, j'ai été moins séduite par celui-ci.
Si on y retrouve la plume de l'auteur, les touches d'humour et d'émotion que j'ai tant appréciées dans son précédent roman, je trouve que cette fois-ci elle nous embarque dans une histoire tellement tordue qu'elle en est peu crédible, et c'est dommage. On enchaine les rebondissements plus abracadabrants les uns que les autres, surtout dans la deuxième partie du roman, et franchement je me demandais où elle voulait en arriver.
La lecture reste agréable, ça se lit vite, mais voilà ça ne restera pas une lecture inoubliable.

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Isabelle n a fait qu un succès dans sa carrière d actrice à l âgé de 15 ans depuis sa carrière et au point mort .
elle travaille au macdo comme caissière mais elle a surtout la chance de partager la vie de Quentin pourtant un soir sa vie bascule.
Sans appartement, sans avenir elle décide de tour quitter pour suivre l idée folle d une adolescente qui l envoie en Italie pour séduire son père
Un livre facile à lire qui est distrayant et sans aucune prise de tête
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Un roman contemporain, avec une romance que je qualifierais en second plan.

Isabelle a trente-deux ans, elle est totalement immature et s'accroche mollement à son rêve d'ado, qui est de devenir actrice, sans se donner les moyens de le réaliser. D'un autre côté, son copain contraste intensément avec d'Isabelle : face à la médiocrité de sa chère et tendre, Quentin offre bonté, patience, maturité, etc... bref le « mec parfait » et beau gosse (tant qu'à faire !)

Tout dérape le jour où Quentin lui fait sa demande en mariage. Lui veut des enfants, alors qu'elle ne peut pas les voir en peinture. Ils décident alors de se séparer pour laisser à l'autre la possibilité de vivre sa vie de famille idéale, même si la séparation est douloureuse.

En manque d'argent, Isabelle accepte une offre douteuse de la part d'une adolescente richissime et proche de la fille aînée de son meilleur ami : séduire le père de la jeune fille pour empêcher son re-mariage imminent.

Ça sent les emmerdes à plein nez, mais bien sûr Isabelle n'a pas trop le choix : sans Quentin pour payer le loyer, elle s'en retrouve à la rue.

La suite mêle vacances de rêve en Italie, famille recomposée, relations frère et soeurs, deuil et complot.

J'ai globalement bien aimé les personnages, même si je n'ai pas apprécié que Quentin soit aussi lisse, qu'Isabelle soit plus inconséquente et immature qu'une ado, qu'Amina soit le cliché d'une femme frivole et un peu débile.
Les personnages sont globalement sympathiques, mais pas assez approfondis selon moi.

L'histoire en elle-même est assez invraisemblable, mais une fois prévenu, on peut se laisser aller dans cette lecture.

L'autrice aborde des thèmes d'actualité, je pense notamment à YouTube et son impact sur les jeunes. Elle parle aussi de harcèlement scolaire et de traumatisme, ce qui est très important.

La fin est un brin originale et rafraîchissante.

Je ne conseillerais pas ce livre aux personnes désirant lire une romance, car comme je l'ai dit plus haut, la romance est assez secondaire. Mais si vous voulez suivre les gaffes à répétition d'une héroïne qui a oublié de grandir, vous pourriez passez un bon moment avec ce livre.
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