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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ce livre est un témoignage exceptionnel, qui a les apparences de la vérité la plus authentique. A 22 ans, suivant son envie irrésistible de découvrit l'art et la culture chinoises, Fabienne Verdier a renoncé à la formation qu'elle avait commencée à Toulouse. Elle est partie en Chine et est devenue la seule étudiante étrangère à l'Institut des Beaux-Arts de Chongqing (Sichuan). Sa plongée dans la Chine profonde est bien plus qu'exotique: la jeune Française, d'abord isolée, découvre un monde absolument opposé au nôtre, où tout individu est surveillé et embrigadé, où la promiscuité est omniprésente. En 1983 la Révolution Culturelle était finie, certes, mais elle laissait exsangue toute la nation chinoise. Comment trouver sa place, parmi ces étudiants soumis et misérables et en face d'une bureaucratie tatillonne ? Fabienne Verdier a un caractère très fort: elle résiste aux contraintes et au découragement, même après des incidents graves. Elle effectue avec sérieux le cursus chinois normal. Mais c'est surtout quelques maîtres - rescapés de la rage de destruction systématique semée par les Gardes Rouges - qui vont lui faire découvrir peu à peu l'esprit de la peinture chinoise. En outre, elle a l'occasion de voyager au Tibet, de rencontrer les minorités ethniques Yi et Miao, de faire des pèlerinages à des temples. Des expériences extraordinaires, à l'époque ! Pendant ce temps, Fabienne ne cesse d'écouter l'enseignement de Maître Huang… Elle obtient son diplôme en 1989, juste au moment des événements tragiques de Tien Anmen, et doit revenir en France. Plus tard, elle accepte un poste d'attachée à l'ambassade de France à Pékin, mais comprend vite que ce n'est pas sa véritable vocation, qui est de se réaliser en tant qu'artiste.
Ce livre est passionnant. Il permet de suivre l'itinéraire de la narratrice, de savoir par où la Chine est passée et d'approcher la culture chinoise, à travers la peinture et la calligraphie notamment. Je ne connaissais pas Fabienne Verdier (qui est pourtant devenue une artiste reconnue en France). Mais je constate que beaucoup de lecteurs ont signalé sur Babelio leur lecture de ce livre. Je le recommande vivement.
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Lu car, dans le cadre d'une formation de 6 mois en Qi Gong qui va commencer le 10 septembre, il nous a été demandé de le lire.
Et pour qui s'intéresse à la Chine, c'est absolument fascinant.
L'auteure, l'est, fascinante, incontestablement. Elle a un courage et/ou une inconscience absolument confondants, et qui forcent l'admiration.
Tout lâcher autour de ses 20 ans et partir sans connaître la langue dans un pays encore "fermé" au début des années 80, en suivant l'appel de son âme à apprendre la calligraphie, ça paraît surréaliste.
Alors oui ça n'a rien à voir avec le Qi Gong, à première vue.
Mais pourtant si.
Ce n'est pas tant le sujet du livre qui est important ici que "l'esprit" qui anime ce chemin initiatique auprès des vieux maîtres calligraphes, qui ont tant souffert de la révolution culturelle chinoise, et que Fabienne a fini par débusquer, à force d'opiniatreté, et d'abnégation.
En fait, il s'agit surtout, si on regarde bien, d'apprendre à "désapprendre" tout ce qu'on a apprit, pour laisser "l'Esprit", le "Qi", ou quel que soit le nom qu'on lui donne, couler à travers soi.
Et contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce n'est pas facile du tout !
Et je suis très contente de m'être inscrite auprès de ce "maître" de Qi Gong, grâce à ce livre je sais qu'il a "l'esprit" que je recherche, loin d'une simple "mécanique physique" et près du "souffle de la Vie".

Pour ceux qui veulent mieux connaître ce pays mystérieux qu'est la Chine et ce qu'il s'y passait pendant la fin de ses années les plus sombres, ce bouquin est passionnant.
Et pour ceux qui veulent aller plus loin que cela, également...

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"Son enfance, on la subit. Sa jeunesse, on la décide.
...Chacun croit que sa vie est unique, et pourtant..."
J'aime ce que je lis et le début est alléchant. Dés la première phrase, je me sens gagnée par la sagesse et la poésie émanant de ce petit livre. L'auteure y décrit ses rêves et son voyage en Chine afin de s'initier à la calligraphie asiatique.
Tout quitter pour suivre son coeur est un vrai défi pour ce bout de femme.
"La ville montagne" est un monde encore plus méconnue que Pékin. Pour une occidentale, tout paraît étrange et le choc des civilisations prend vraiment son sens.
Fabienne est abasourdie comme je l'ai été en découvrant Hanoi. J'ai également connu l'épisode des haut-parleurs avec les consignes et les chants patriotiques et traditionnels. On s'y habitue.
Le maître mot en Chine comme au Vietnam est la discerne tout et même en art. Les techniques de peinture et de calligraphie ancestrales chinoises sont dévoilées au cours du récit. L'apprentissage avec des vieux maîtres passe par des exercices pénibles qui demande de la patience et de la témérité. C'est un engagement de longue haleine, pour Mlle Fa cela prendra dix ans.
Cette lecture pousse le lecteur à réfléchir et à chercher à en savoir plus et j'ai dû recourir à mon téléphone pour comprendre et visualiser des concepts comme celui des sceaux en Chine. Je vous laisse découvrir l'utilité et l'importance de "l'oeil de la peinture".
On assiste à la transformation d'un rêve en aventure puis en vocation et plus tard en métier.
Avant de lire Passagère du Silence et les instructions de maître Huang, je voyais les tableaux chinois comme des paysages beaux simplement mais là, je ressens les feuilles qui frémissent au vent et la nature qui s'agite sous le pinceau et les traits d'artistes qui ont voué leurs vies et ont tout sacrifié pour cet art.
Ce petit livre invite au voyage en soi et donne les moyens de dépasser ses peurs et de repousser ses limites et comme l'a si bien dit l'auteure artiste "Très vite, en sa compagnie, on s'embarquait..."
On est embarqué du début à la fin alors laissez-vous séduire par les mots : élans d'un coeur, relents de la nature et sagesse de l'esprit.
Un coup de coeur
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J'avais trouvé "le rêve du papillon" il y a quelques années dans une librairie de livres d'occasion.
Mais Tchouang Tseu me semblait peu accessible à chaque tentative de lecture
Et puis je suis tombé par hasard (?) sur cette passagère du silence
Comment dire...
Récit de quête, d'initiation de ...
Non, rien
Enfin ... tout
Ineffable
Merci Fabienne Verdier
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Voyager et vivre à l'étranger dans les années 90, tenter « l'inculturation », apprendre une nouvelle langue, rencontrer des êtres uniques et passionnants… Ça, j'ai eu la chance de pouvoir l'expérimenter dans ma vingtaine.
Étudier la calligraphie en Chine, appréhender le désastre de la révolution culturelle, subir la surveillance du parti, manquer de liberté, enchaîner les exercices artistiques monotones, perdre sa santé, vivre un amour impossible, goûter à la protection d'un maître, oser le dénuement et la solitude totale… Ça, je l'ai découvert en lisant ce magnifique témoignage de Fabienne Verdier, Passagère du silence.

Ce récit se lit comme un roman. On s'attache aux personnages; on a peur pour eux; on s'impatiente à leurs côtés; on rêve de félicitations et de reconnaissance; on admire la persévérance; on rit; on pleure; on vénère; on se tait.

Je reviens de ce voyage initiatique comblée de dépaysement, de rigueur au travail, d'art ancestral, de sagesse, d'humilité, de quête, d'intime… Mais il me reste tant à apprendre encore.

Je vais de ce pas me plonger dans les méandres d'internet pour lire la biographie de Fabienne Verdier suite à sa découverte sino-perso-artistico-humaine et de ses oeuvres qui vont - je n'en doute pas - me bouleverser.
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Et voici Passagère du Silence à nouveau sur ma table de chevet !
Retrouvée (en gros) d'année en année depuis 2004 malgré un capharnaüm certain, et adulée un peu plus encore à chaque fois, cette oeuvre humble me suit, et s'impose à moi de façon cyclique.
" Son enfance, on la subit ; sa jeunesse, on la décide. Je savais ce que je voulais : peindre". Et effectivement, ce que Fabienne veut, elle peut. Son séjour sans nom à l'école des Beaux-arts de Chongqing, la plus reculée de Chine, nous renvoie de façon impitoyable à nous-mêmes. L'épigraphe est subtile.
Le livre époustouflant.
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Paru quelques années après le massacre de la place Tiananmen, ce documentaire présente la formation de la jeune Fabienne Verdier à l'art chinois ancien, dans une Chine qui vit sous une chape de plomb. Partie sans presque rien au fin fond de la province du Sichuan, la future artiste connait la vie quotidienne des étudiants de l'école des Beaux-arts où elle s'est inscrite : misère, promiscuité, maladie, vexation et surtout l'isolement dus à la méconnaissance de la langue, mais aussi à son statut d'étrangère. En dépit de conditions matérielles difficiles et d'un contexte politique d'une rudesse sans nom, Verdier s'acharne avec ténacité et persévérance à suivre l'enseignement de maîtres de la calligraphie, alors bien oubliés des instances officielles.
Aussi passionnant pour ses aspect politiques qu'artistiques, ce récit est non seulement un témoignage indispensable sur la Chine des années 1980-1990, mais également sur les années de formation d'une artiste.
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Une étudiante des Beaux-Arts découvre la Chine des années 1980, avant qu'elle ne devienne une destination à la mode, elle y découvre d'abord un pays qui semble tout avoir perdu de sa culture ancestrale, puis, peu à peu parvient à retrouver, sous le vernis de la culture moderne, d'anciens maîtres de la calligraphie oubliés par le régime.
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Plus qu'un voyage dans la Chine des années 1990, Fabienne Verdier nous propose une initiation. Une initiation à suivre son chemin singulier, tisser les rencontres et les expériences, en faire des histoires d'amour. On se glisse dans la rudesse d'une Chine dont la politique est brutale et pourtant le livre de Fabienne Verdier est saisissant d'humanité. Son travail de recherche sur les origines, sur le trait de pinceau répété encore et encore, sur l'initiation du maître pour nous apprendre à se rencontrer soi-même, le vrai, le juste. Plus qu'un livre, Passagère du silence est une méditation.
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Fabienne Verdier, « pinceau pensant », est une artiste peintre française née en 1962, créatrice d'oeuvres d'art contemporain.
Elle excelle notamment dans des grandes fresques colorées emplies de traits et formes dépouillés. Elle réalise ses oeuvres avec des pinceaux géants qui doivent être actionnés, debout ; une énergie et surtout une dextérité incroyable pour maîtriser un pinceau et une quantité d'eau en réserve de soixante litres voire davantage.

Pour une contemplation de créations plus « classiques », on peut (re)découvrir le magnifique « petit » livre de François Cheng « Poésie chinoise », un trésor d'extraits de poésies Tang sélectionnées et ornementées de calligraphies de FV. Impossible de ne pas être sidéré par les traits qui allient l'élan et la souplesse du bambou, la floraison du lotus, le tout avec un sens époustouflant de l'équilibre, de la symétrie. La représentation de « la montagne » retracée, si on se réfère à la forme « standard » en trident, prend ainsi une autre dimension, plus de hauteur si j'ose dire, soulevée par la grâce. Après avoir contemplé a minima ces calligraphies, elles ne vous lâchent plus ; en particulier je me sens particulièrement en correspondance avec la représentation de « montagne vide ».

FV se désigne comme une « passagère du silence », cultivant la calligraphie, son art de vivre, adossé à une maîtrise technique mais d'abord et surtout irrigué par un état d'esprit.

Ce livre « Passagère du silence » est une autobiographie qui relate la construction de l'univers artistique et humain de l'auteure ; il offre une densité incroyable. Chaque page sollicite le lecteur en profondeur ; il s'agit en fait d'un trois en un. Dans ce livre, outre le propos directement lié à l'univers le plus intime de l'auteure, la sensation de lire, par séquences intercalées, une oeuvre de François Cheng et d'Alexandra David Neel.
L'auteure a eu très précocement le projet de devenir peintre et de vivre de son art. Elle commence des études de « Beaux Arts » à Toulouse, où rapidement elle se rebelle en réaction au contenu et à l'esprit de l'enseignement. Parallèlement, elle découvre la calligraphie occidentale et une sorte de flagrance la gagne.
Elle obtient une bourse qui lui permet d'entreprendre des études d'apprentissage de la peinture en Chine à Chongqing dans un établissement d'études supérieures dans le Sichuan, dans la partie occidentale au nord du Yunnan, beaucoup plus proche du Tibet que des zones plus « ouvertes » de Pékin ou de la côte Pacifique.

Sa quête commence par une série de catastrophes. D'abord, en transit au Pakistan, la jeune femme est victime d'une agression sexuelle dans des conditions sordides. Ensuite à Chongqing, seule occidentale étudiante, elle est sous haute surveillance mise sous un régime quasi carcéral dans des conditions matérielles indigentes. Dans son austère pièce attribuée, elle réalise pourtant qu'elle bénéficie sur ce point d'un privilège par rapport aux étudiants chinois affectés dans des dortoirs collectifs spartiates. Et, la cerise sur le gâteau, c'est le fait de se retrouver en cours, face à face avec le buste en plâtre de Beethoven à dessiner ! Un exil à des milliers de kms pour retrouver tout ce que, d'un point de vue artistique elle fuit ! Où sont les poètes peintres dépositaires de l'art millénaire chinois, comme celui épanoui dans son livre de Shi Tao, qui sera son guide de survie pendant ces années de pauvreté et de grande solitude ?
Mais nous sommes en 1983. Si Mao est mort en 1976, on sait que la révolution culturelle a fait rage auparavant et que toute la culture millénaire a été considérée comme contre révolutionnaire. Des persécutions, des massacres ont été commis à l'encontre de tous ceux qui étaient liés à la culture traditionnelle. En réalité, tout le monde dénonçait tout le monde dans une hystérie et un fanatisme atroces, y compris au sein des familles.
Par un affreux parallélisme, il y avait eu un précédent à l'identique avec le premier empereur de l'histoire chinoise de l'éphémère dynastie Qin érigée en vainqueur des royaumes combattants. Mao fut la réincarnation de ce despote Shihuangdi qui voulut lui aussi dèjà faire table rase du passé. En -213 furent ordonnées la destruction des livres et la persécution et le massacre des léttrés. Seuls les ouvrages utilitaires et du taoïsme, dont le classique Tao Te King furent épargnés. Heureusement, des exemplaires des ouvrages condamnés furent dissimulés et échappèrent à l'autodafé.

De même, en 1983 des rescapés de la folie humaine, traumatisés, survivants dans l'ombre, des calligraphes, des peintres essayaient de reprendre leur souffle.

C'est ainsi que FV réussit à entrer en contact avec celui qui allait devenir son maître, Huang Yuan. Mais la partie est loin d'être gagnée. Plusieurs mois d'abnégation, d'exercices remis au quotidien sont nécessaires ; le maître finit par accepter d'enseigner, convaincu de l'authenticité de la requête singulière de la jeune française, dans le contexte de l'époque.
Et le plus dur commence ; tracer encore et encore des « bâtons », pour une maîtrise technique mais surtout pour donner une âme aux traits. A cet effet, il est aussi indispensable de s'initier aux oeuvres de sagesse chinoise. La peinture n'est pas la « recherche du beau » mais un souffle doit l'animer. On ne recherche pas la dextérité en soi comme en Occident, la maladresse, le raté ont bien plus d'importance que les effets clinquants. C'est ainsi que certains traits des calligraphies dont je parlais en ouverture, peuvent paraître incomplets, mal segmentés telles des herbes folles, pourtant ces « imperfections » forment un tout magnifique, presque comme si la moindre irrégularité faisait partie d'une esquisse préétablie.

FV travaille très dur, dans la pauvreté mais avec feu et son nom prend corps et âme ; en chinois :

-fa, la régle naissante dans la recherche de la voie,
-bi, l'étude comparative,
-enne, la bonté la générosité.

Au cours de ces dix années en Chine, mille péripéties ont accompagné FV, dont chacune ou presque aurait pu être fatale. L'auteure est une vraie survivante.

En définitive, après « avoir fait ses gammes » l'essence-ciel lui est révélée au fil de ses marches en très haute altitude, au Tibet, lors de périple organisé par son établissement d'enseignement avec d'autres étudiants. Cette véritable illumination est aussi suscitée par son maitre qui initie une quête sur le Mont Emei, montagne sacrée bouddhiste dans la Sichuan, qui fut aussi un haut lieu taoïste. Là, dans l'alternance du silence de la marche et du dialogue avec le maître, dans l'atmosphère des rencontres dans les monastères perchés, tout son être s'éveille. Dans cet univers, en dépit de la dureté des conditions de vie, le risque est grand de ne plus « redescendre », mais ce n'est pas la destinée de FV.

Elle achève son cursus, dans les convulsions des évènements de 1989, métamorphosée intérieurement et mure pour faire épanouir sa sensibilité et son talent. Mais cette richesse se conjugue avec une extrême pauvreté matérielle, elle se qualifie de « clocharde céleste ». Elle doit composer en offrant ses services à l'ambassade de France à Pékin. Elle y sera pendant trois années attachée culturelle. Cette fonction lui permet de compléter son apprentissage en rencontrant des maîtres ; elle s'efforce aussi avec les maigres moyens mis à sa disposition d'aider les peintres chinois en difficulté.
Elle se doit de reprendre ses pinceaux comme son maître lui en fait injonction ; un énième souci de santé précipite sa réorientation, loin de l‘Orient, en lui imposant pour sa survie de rentrer en Occident.

Évidemment, lorsque l'on découvre les oeuvres exposées les plus récentes, difficile de ne pas se dire que le souffle du Mont Emei est resté sur le seuil de la galerie, que nous sommes plus proches de Miro que de Shi Tao ..J'ai ma petite idée, mais les clés sont sans doute dans les autres livres que je n'ai pas lus.

Quoiqu'il en soit, « Passagère du silence » est un livre exceptionnel d'une femme exceptionnelle.

Pour avoir le plaisir d'entendre la belle voix (et la voie) de FV, on peut se référer à une interview avec de superbes photos dans la regrettée revue Ultraïa (n°15 avril-juin 2018) et une série d'émissions radio également avec la participation de FV https://www.franceculture.fr/emissions/series/fabienne-verdier-lenergie-en-peinture
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