Vingt mille lieues sous les mers

Peut-être, sûrement même, vais-je m'attirer les foudres de quelques adorateurs de Jules Verne, mais tant pis je me lance !
Mais quel ennui mortel !!! Je n'ai pas lu un roman, mais une encyclopédie sous-marine !
Je ne doute pas qu'en son temps Jules Verne était un génie, un homme a l'imagination sans limite et s'il savait que ce dont il avait rêvé d'autres hommes l'ont fait des siècles plus tard, il serait sûrement étonné de lui-même...
Mais là entre les descriptions sous-marines a n'en plus finir et les données de localisation au dégré et à la minute près, c'est soporifique !
J'ai lu d'autres de ses romans autrement plus enthousiasmant...

Moi qui adore lire les classiques, je m𠆚ttendais à être emportée par ce roman d𠆚ventures sous-marines. Mais grand Dieu, quel ennuie ! Je me suis battue pour atteindre la partie 2. Je me suis battue pour ne pas l�ndonner ... finalement, j𠆚i fini par capituler.

L’histoire en elle-même n𠆞st pas mauvaise. Elle est même intéressante. Découvrir le monde sous-marin était vraiment sympathique. Mais c𠆞st long, long et pompeux ! Je m’impatientais bien trop et ça a fini par me lasser. C𠆞st un roman d𠆚ventures qui, selon moi, manque de vie et de dynamisme.

Le Capitaine Nemo m’intrigue toujours autant mais je n𠆚i pas le courage de lire la suite. Je vais me jeter sur une autre lecture (qui ne me fera pas perdre une semaine et demie ... pour finalement ne jamais l�hever).

Si vous n'avez jamais lu de Jules Verne, je vous conseille de ne pas commencer par Vingt mille lieues sous les mers. Je vous conseille même de ne jamais le lire.

Ce roman fait partie de la série des "Voyages Extraordinaires" et ce magnifique récit porte bien son nom : il est extraordinairement incompréhensible, extraordinairement ennuyeux et extraordinairement mathématique. En effet, le livre n'est composé que de chiffes. Et tout est dit dans le titre : "Vingt mille" ce qui correspond à la quantité exacte de chiffres par page.

Ainsi tout le texte est réellement inutile et le personnage principal, le célèbre capitaine Némo (dont le nom signifie personne en latin) tel un Ulysse déchu, nous fait sombrer peu à peu dans les abysses de l'ennui.

Grand classique que je voulais lire depuis un moment, grâce au roman La lune seule le sait qui mettait en scène Jules Verne ... Je suis un peu surprise parce que je réalise que je ne connais pas du tout les histoires de ses livres (j'ai lu aussi le tour du monde en 80 jours et il n'y a pas de montgolfière dans le livre par exemple !) ...

Mais pour en revenir à 20 000 lieues, je suis un peu déçue de l'histoire ... Parce qu'il n'y en a pas ! Ce sont essentiellement des descriptions pendant tout le livre :
- de très très longues listes de toutes sortes de bestioles aquatiques avec parfois leur apparence ou toute la classification auxquels elles appartiennent...
- les données techniques qui expliquent comment fonctionne le sous-marin (pas tant de choses sur la déco et beaucoup de chiffres ! ;) ...)
- des énumération de lieux avec latitude et longitude pour expliquer le cheminement du périple ...

Les personnages ne sont pas mémorables, seul le Capitaine Némo intrigue au + haut point (mais comme il reste mystérieux tout le long sans explication, on reste complètement sur sa faim ...) ...

Bref, je l'ai lu, je suis contente de connaître l'histoire pour de vrai, mais j'arrête là les Jules Verne, c'est un peu vieillot (et parfois raciste d'ailleurs), c'est très scientifique, je n'accroche pas + que ça ...

J'en suis arrivée à bout!!!!! Non sans mal mais franchement trop de longueurs, de descriptions, de noms de poissons, de numéros de lattitudes et de longitudes…. Bref trop!

Alors après je me pose la question de savoir si les livres dits « classiques » sont faits pour moi, ou si tout simplement je ne sais pas les appréciés….

Peut-être que ce livre serait mieux en version illustré pour les novices comme moi qui ne sont ni naturalistes comme Mr Aronnax, si spécialiste en classification comme Conseil, cela aurait peut être pu m'aider à apprécier ce livre….
Lien : https://unbouquindanslamain...

Aucune histoire, que des descriptions. Pénible à lire.

J'ai lu cet ouvrage en suivant l'idée de lecture commune du site.
Mal m'en a pris car je me suis retrouvée prisonnière de cet ouvrage. Sa lecture ne m'a pas procuré beaucoup de plaisir et pourtant je me suis forcée à en venir à bout.
J'aurais trouvé irrespectueux d'abandonner ce dernier comme un vulgaire navet et je pensais que tous les voiles du mystère seraient forcément levés à un moment ou un autre.
Il s'agit donc d'une histoire riche en descriptions des fonds marins. Malheureusement cette richesse est liée à l'emploi de termes spécifiques et précis ce qui nécessite l'utilisation récurrente d'un dictionnaire pour peu que cet univers nous soit complètement inconnu. A la longue, cela gâche la lecture !
Pour y remédier j'ai fini par imaginer mes propres poissons sans tenir compte de l'étalage des termes scientifiques .
J'ai été également déçue par le final qui n'a pas livré tous les secrets attendus concernant le Capitaine du Nautilus.
J'ai trouvé presque "trop facile" la manière dont les prisonniers se sont échappés de ce vaisseau puisqu'en fin de compte aucun détail n'est fourni. L'évanouissement du professeur Aronnax était bien utile dans ce cas ! A ce moment précis du roman, plus aucune description ne semblait possible.
Je ne conseillerais donc pas cette lecture pour découverte de l'auteur dont l'ingéniosité est desservie par une écriture qui s'avère lassante au fil des pages.

Vingt mille lieues sous les mers

Je n'ai pas aimé ce livre. Il n'y a pas assez d'action au début et c'est dommage car ça ne donne pas envie de lire le reste du livre. L'histoire commence à être un peu captivante à partir du chapitre 4 car les personnages commencent enfin leurs mission. Mais pour autant ce livre ne m'a pas plu (trop de détails).
Joris

La bibliographie de Jules Verne fait partie de ces monuments littéraires français adoubés par des milliers de lecteurs que je n'ai pourtant jamais approchés que de loin. J'écris « loin », car à défaut d'avoir lu ses romans, j'ai vu quelques adaptations cinématographiques plus ou moins réussies. de ces visionnages de vacances d'hiver, sous un plaid avec un chocolat chaud dans les mains, je n'avais retenu que le sentiment fugace que ces aventures n'étaient pas si palpitantes et que je préférais les aventures des héros de la mythologie. Les années ont passé et je me suis dit qu'il était peut-être temps de réparer cette erreur littéraire ; celle d'avoir profondément dédaigné ce que le monde entier consacre.

Me voilà donc munie de ma liseuse toute neuve (merci à ma famille pour ce super cadeau d'anniversaire ^^), recherchant un exemplaire gratuit de Vingt mille lieues sous les mers, titre se trouvant dans deux de mes challenges. Aussitôt trouvé, aussitôt commencé…

Les premières pages sont prometteuses. L'auteur met en place les personnages principaux et l'intrigue. L'aventure peut commencer ! Ou pas… Car c'était sans compter sur les interminables descriptions qui alourdissent le texte toutes les cinq lignes et pour cinq pages. D'autant que je ne pense sincèrement pas que connaître toutes les espèces, sous-espèces, sous-classes, sous types, sous-jenesaisquoi de toute la faune aquatique soit vraiment utile à ma compréhension du texte. Je rêvais de profondeur, de paysages inatteignables, d'un nautilus ultratechnologique pour l'époque de sa construction. À la place, j'ai eu un cours de biologie façon encyclopédie, mais sans les images et un cours de physique-chimie sans exemples imagés pour étayer tout cela et le rendre digeste. J'ai fait ce constat alarmant alors que j'en étais à 35% de ma lecture selon ma liseuse. À partir de ce moment, j'ai pris le parti de carrément « passer » des pans entiers de descriptions rébarbatives.

Heureusement, au milieu de ce surplus d'informations, il y a en de nombreuses de merveilleuses. Je pense aux descriptions concernant le fonctionnement du nautilus ou du matériel s'y trouvant. le vrai talent de Jules Verne était selon moi d'être un visionnaire. Son imagination a fini par rencontrer la réalité et c'est véritablement épatant. Si le livre s'était contenté de ces descriptions en diminuant la place accordée aux autres, il aurait pu mériter son genre haut la main.

Mais l'aventure n'est pas toujours au rendez-vous. À vrai dire, elle est même absente la plupart du temps et lorsqu'elle se montre ce n'est que sous la forme d'un éclair dont le coup de tonnerre ne retentit jamais.

Tout cela fait que je suis terriblement déçue de cette lecture. Je l'aurais abandonnée si elle n'avait pas porté l'estampille Jules Verne.
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