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3,85

sur 1354 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est avec plaisir que je retrouve Bernard Weber mais déçue.Le sujet pourtant très intéressant et m'intéresse beaucoup mais je n'ai pas trouvé ce roman à la hauteur . déjà les personnages ne sont pas attachant du tout René le professeur d'histoire est un peu simplet, naïf mais d'une naïveté c'est ça m'a un peu agacé tout le long du livre et puis tous ces événements qui s'enchaînent dont la moitié sont peu crédibles, tirés par les cheveux, je veux bi2n que l on soot dans un roman amis tout de même ! peut-être que ce roman s'adresserait plus à des adolescents ou un jeune public. j'ai cependant aimé les chapitres intercalés sur les faits historiques, la mythologie avec encore une fois , on ne peut pas lui reprocher , beaucoup beaucoup de recherches pour de Bernard Weber. en un mot ce n'est pas un livre qui restera dans ma mémoire très longtemps.
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Bernard Werber est mon auteur favoris. Niveau écriture je ne suis jamais déçu. Ses romans se lisent vraiment facilement et la Boîte de Pandore ne manque pas à la règle. On retrouve toujours plus ou moins les mêmes idées qu'il véhicule dans chacun de ses livres.

Le seul point négatif que je trouve à La Boîte de Pandore est la fin de l'intrigue car pour le coup elle m'a vraiment laisser sur ma faim. C'est uniquement pour cette raison que je ne lui mets pas la note maximum. Il laisse à penser à un deuxième tome, mais peut être que je me trompe.
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Comme d'habitude avec Bernard Werber, l'idée de départ est ingénieuse, le sujet passionnant. Hélas il y a beaucoup trop d'incohérences, les ficelles sont grosses et le héros manque d'épaisseur.
Dommage je reste attaché à cet auteur fantastique mais que je trouve moins cohérent et moins inspiré.
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Et voilà, j'ai lu mon premier roman de B. Werber...
Pour moi, pas le bon, désolée...
Les thèmes abordés sont pourtant intéressants et peuvent se prêter effectivement à de bonnes histoires.
Mais là, je n'ai pas adhéré. Pour mes goûts personnels: écriture fade qui dessers les personnages et le (les) message(s) que veut faire passer Werber. J'ai eu l'impression de survoler les idées de l'auteur, trop présent d'ailleurs. Pour s'imprégner, il aurait fallu pouvoir oublier qui écrivait. Ça n'est absolument pas possible. Trop de revendications, de moralisation, tuent l'histoire (si ce n'est pas ce qu'on recherche à la base). Les mémos historiques sont pourtant intéressants.
C'est dommage, on m'en a dit tellement de bien, de cet auteur...
On m'a offert encore deux livres de Werber, je finirais peut-être par être convaincue sur l'un d'eux.
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C'est un livre qu'on m'a offert n'étant pas friande de fantastique, ainsi, je pensais passer à côté de la trame du roman, mais finalement ce que je n'aime d'habitude pas est ici joliment mené et intéressant.
On s'attache vite à ce professeur de lycée, personnage principal qui veut changer les choses, bouger le monde à son échelle. Il cherche à mettre en garde ses élèves sur les discours prémâchés du système, il est un passionné en quête de réflexion constante.

C'est donc à cet homme qu'il arrivera bon nombre de péripéties qui vont le confronté à toutes sortes de sujets, non pas seulement historiques, mais surnaturel.
On parle de sortie astrale, de voyage dans le temps, d'hypnose, de vies antérieures... Mais ce qui m'a paru ne pas tenir la route, c'est que le personnage parvient à distinguer les étoiles dans le XVème arrondissement de Paris en 2020 ahah !
Ainsi, Bernard Weber a pris toutes les idées spirites possibles, les a condensés au max et s'est dépêché de les faire tenir entre les pages d'une seule histoire rocambolesque, simple sujet à l'action. Pour m'intéresser à ces sujets, rien ne vaut un livre plus… Simple. Sans histoire et grands sentiments mais plus techniques peut-être. On a du James Bond alors qu'on aurait préféré de l'Inception : de l'action, d'accord, mais avec un sujet à fond.
Le problème c'est la multiplicité des sujets, ça fini par partir dans tous les sens ! Les vies antérieures, l'Atlantide, Alzheimer, les chakras, l'effet papillon, tout est bon pour faire feu de tout bois et pour créer des rebondissements incessants.
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Certains ont qualifié "La boîte de Pandore" de Bernard Werber de roman de science-fiction ; pour ma part, il s'agit davantage d'une sympathique fiction dont la thématique principale est la mémoire. Et l'Histoire. Attention, cependant, ce n'est pas du GRAND Werber ; oubliez la comparaison avec ses superbes sagas.

René Toledano, professeur d'histoire à la routine tranquille qui étouffe ses idées contestataires voit sa vie chamboulée le soir où, lors d'un spectacle, il est pris pour cobaye pour une expérience d'hypnose régressive qui l'immergera dans une de ses vies antérieures.
Dans ce roman, la mémoire est fouillée, interrogée, explorée : celle qui s'échappe de l'homme souffrant d'Alzeihmer, celle qui est écrite pour forger une nation, celle des souvenirs qui sont manipulés, celle incomplète et orientée de l'humanité, celle de l'être humain qui ne se résume pas à la mémoire d'une seule existence.

Paradoxalement, j'ai trouvé que La boîte de Pandore est le roman le moins spirituel de B. Werber. L'exploration des vies antérieures est moins une quête de développement personnel et de spiritualité que le prétexte d'exposer des versions alternatives de l'Histoire avec un grand H que celles des livres officiels, transmission de la seule propagande des vainqueurs. Telle est d'ailleurs la quête ultime de René Toledano : rétablir des vérités historiques.

Nous voici donc embarqués dans une aventure rocambolesque, qui ne s'embarrasse pas que les détails techniques ne soient pas crédibles. Pour ceux d'entre nous qui pratiquent l'hypnose régressive, on le sait qu'on ne fait pas trois "voyages" en deux heures. Qu'importe ! Lâchons prise ! Et pour les autres, nul besoin de croire en la réincarnation pour apprécier ce roman divertissant.
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J ai passé un bon moment de lecture avec " la boite de Pandore " mais mon esprit trop pragmatique a eu du mal à accrocher à cette imagination sans limites. Cela me change de mes lectures et cela en vaut le coup.
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René Toledano est un professeur d'histoire ayant une vie très commune et routinière. Il a comme habitude de consacrer une soirée par semaine à son amie professeur de sciences, Elodie. Ce soir-là, elle choisit d'emmener René dans un spectacle d'hypnose. Opale, l'illusionniste aux grands yeux verts, le choisit pour participer à son tour le plus impressionnant d'hypnose régressive : « les vies antérieures ». A partir de ce moment-là, René ouvre sa « boîte de Pandore » et va basculer dans une autre facette de sa vie, celle qui lui a permis d'être ce qu'il est aujourd'hui.

Dans ce nouveau roman de Bernard Werber, on entre dans un univers parallèle, celui de l'hypnose avec les yeux d'un prof d'histoire au caractère plutôt cartésien. Il est celui qui évolue le plus et c'est très intéressant de le suivre tout au long de cette histoire, au fil de ses rencontres et de ses découvertes.

Si l'intrigue m'a plu, j'aurai voulu qu'elle soit parfois plus poussée, j'aurai aimé d'avantage d'hypnose, et moins de considérations historiques. Si Werber n'hésite pas à aborder la mémoire à travers Alzheimer ou la manipulation voire la torture psychique, il n'entre pas dans le vif du sujet et délaisse la spiritualité et la science au profit de son intrigue romanesque parfois trop rocambolesque. Quel dommage… cela rend ce roman inachevé, et ne parlons pas de la fin…

Indéniablement, ma préférence reste à l'ultime secret.
Lien : https://litteart.wordpress.c..
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Voyage en eaux troubles de la mémoire

Un professeur de lycée, timide et maladroit, qui se révèle être successivement un assassin, un héros de guerre, une riche aristocrate, un guide spirituel, et bien d'autres identités distinctes... Comment est-ce possible ? René Toledano voit sa vie basculer dans l'étourdissante spirale de ses vies antérieures après une séance d'hypnose régressive, suite à laquelle ses 111 existences passées peuvent remonter à la surface… Pour René, est-ce un don ou une malédiction ? Et comment maîtriser ce pouvoir qui sauverait non seulement sa propre vie, mais influencerait aussi le cours de l'Histoire ? Après Les Thanatonautes, Bernard Werber fait de nouveau naviguer son lecteur entre la vie et la mort, entre fiction bien ficelée et propos scientifiques ou historiques. Exploration de ce livre audio on ne peut plus magnétique...

Des virgules musicales pour rythmer le récit

Selon la mélodie des quelques notes de piano qui résonnent avant la lecture, l'auditeur-lecteur est immergé soit dans un chapitre purement narratif, soit dans une parenthèse que nous pourrions qualifier de pseudo-encyclopédique. La Boîte de Pandore a en effet des airs du Da Vinci Code (Dan Brown), et il ne faudrait pas prendre pour argent comptant les digressions didactiques, qui demeurent hypothétiques ou simplifiées. Or, avec la force persuasive inhérente à la voix, le recul critique par rapport au discours est un exercice complexe...

Pour en revenir aux virgules sonores, même si ces dernières sont d'une aide précieuse afin de se repérer dans le texte, l'écoute est néanmoins troublée par la découpe des pistes : certaines durent moins d'1 minute, ce qui donne une impression de coup de frein brutal, tandis que l'une des pistes dure plus de 20 minutes, et notre intention baisse… Nos paupières sont lourdes, lourdes ! Il est évident que c'est l'organisation même de l'ouvrage qui nécessite ce découpage, mais avec un livre audio qui dure au total 14 h 04, la gymnastique de l'audio-lecture est souvent sujette à une certaine fatigue.

Un antidote contre la Damnatio memoriae

Tout au long des péripéties de René Toledano et de ses vies antérieures, le devoir de mémoire est perpétuellement rappelé. Devoir de mémoire qui se heurte aux défaillances du cerveau humain (la maladie d'Alzheimer, dont souffre le père René), à la manipulation mentale (mensonges véhiculés par les institutions et les médias), mais aussi à la destruction pure et simple du souvenir (celui des peuples opprimés). Le personnage principal lutte avec conviction contre cette Damnatio memoriae, expression latine signifiant “damnation de la mémoire”, ou condamnation à l'oubli, qui consiste à détruire toutes les preuves de l'existence d'un individu ou d'un événement. Quel dommage d'avoir entendu, dans ce livre audio, “memoriae” prononcé à l'anglaise (mé-mo-riaïe... Oui, aïe !) et non à la latine, mé-mo-ria-é ! Autre saignement d'oreille en entendant le nom du peintre Rubens prononcé à l'anglaise, ru-bènsse, au lieu de ru-binsse ! Oublions ces aléas phonétiques…

Un conte philosophique passéiste ?

En découvrant son premier lui-même, l'Atlante Geb, René Tolédano se sent bien souvent d'humeur nostalgique... L'ouvrage rabâcherait-il l'éternelle rengaine du “c'était mieux avant” ? Parfois, l'écriture tombe effectivement dans cette philosophie, bien qu'elle soit de temps à autre contrebalancée par l'évocation des avancées médicales ou techniques au cours des siècles. Nous ressentons néanmoins que le mythe de l'Atlantide, île décrite comme le berceau de la civilisation, est une thématique chère à l'auteur. Bernard Werber l'évoque d'ailleurs dans sa nouvelle Un amour en Atlantide (extraite du livre Paradis sur mesure) qui n'est pas sans rappeler Arria Marcella, le récit de Théophile Gautier.

Les rêves, ou l'hypnose, qui nous font voyager dans les sphères méconnues de notre inconscient, n'ont rien de prémonitoire... Dans ce livre au contraire, ces pratiques nous permettent de sonder le passé enfoui, et celui de René Toledano est on ne peut plus haut en couleur ! Depuis sa rencontre avec Opale, l'envoûtante hypnotiseuse qui l'a mené malgré lui face aux portes de ses mémoires oubliées, le jeune professeur vit un véritable roman d'aventures. Nous regretterons cependant, de manière tout à fait subjective, la voix quelque peu mièvre qui est donnée aux personnages féminins, ceux de cette vie, et des précédentes...
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René Toledano est professeur d'histoire. Sa collègue Elodie l'emmène un soir assister à un spectacle d'hypnose sur une péniche appelée "La Boite de Pandore". Désigné par l'hypnotiseuse, il parvient à atteindre le niveau de ses vies antérieures et découvre qu'il a été soldat durant la première guerre mondiale et qu'il a perdu la vie sur le front. Epouvanté par la violence de la mort de son ancien "moi", il s'enfuit et se fait alors agresser par un skinhead allemand. En se défendant, il provoque la mort de son agresseur et jette son corps dans la Seine. Désemparé, il décide de retourner voir l'hypnotiseuse afin qu'elle annule les conséquences de ce qu'il a vu de ses vies antérieures. Elle ne peut revenir en arrière mais lui propose de découvrir d'autres de ses vies antérieures : il remonte alors le temps, se découvre ancienne comtesse mourante, Indienne séductrice, galérien révolté, et enfin habitant de l'Atlantide lors de sa première incarnation… un monde merveilleux de paix et de bonheur, menacé par un raz-de-marée. Comment peut-il intervenir et sauver ce monde ?

René Tolédano est un enseignant tout à fait ordinaire, si ce n'est qu'il est obsédé par la vérité historique niée par la version officielle des historiens, qui se sont conformés aux politiques dominants. Sa régression hypnotique lui fait prendre conscience que le mythe de l'Atlantide recouvre en réalité un fait bien réel, dont il se donne mission de prouver la véracité au monde. Il tâche ainsi de persuader ses élèves que l'enseignement traditionnel est un vaste mensonge. Ses classes éberluées finissent par se plaindre, on le menace de mise à pied, il finit par démissionner, déterminé à sauver l'Atlantide. Il emmène avec lui l'hypnotiseuse qu'il a largement convaincue, alors même que cette dernière s'avère incapable de se connecter à ses vies antérieures, en raison d'un blocage de son subconscient que René va tenter de lever.

L'histoire repose donc sur cette notion de métempsychose, et la possibilité de dialoguer avec ses moi antérieurs. Si l'on accepte le postulat, on suit avec plaisir les aventures de René dans ce récit plein de rebondissements et d'idées altruistes ; si on le réfute, l'histoire passe au mieux pour un récit d'aventures rocambolesques auquel on va adhérer avec suspicion et parfois agacement, tant l'auteur ne craint pas les invraisemblances ou de mélanger toute la mythologie. Outre l'Atlantide, il convoque l'Arche de Noé, les Sumériens, les manuscrits de la Mer morte, tout y passe et se justifie par la quête de vérité de René. On referme ce livre après s'être bien distraits, non sans se demander si, au fond, on ne nous mentait pas depuis le début : la terre est peut-être bien plate et l'homme n'a jamais marché sur la lune…

Lien : http://www.usine-a-paroles.f..
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