La boîte de Pandore

Comment dire....désolant.....affligeant....désespérant....J'ai pourtant aimé les fourmis, vraiment ! mais comment, comment on en arrive à un tel désastre ! rien ne sauve ce livre, ni l'histoire, ni les concepts et encore moins la qualité de l'écriture..... Navré mais je déconseil fortement....

Livre qui m'a été offert par ma chère et tendre.

Lu jusqu'au bout malgré le calvaire que cela fût.

Le livre est écrit pour des enfants au vu de la syntaxe mais avec un sujet pseudo-scientifique...Un héros mou et sans charisme... Une histoire prédit dès le début du livre et une fin libératrice...Quel bonheur de finir ce livre pour pouvoir lire un vrai roman.

Je le déconseille complètement. Je ne comprend pas du tout l'engouement que ce navet suscite.

Est-ce utile d'émettre un qualificatif pour décrire ce roman ? Vous allez vite comprendre. C'est l'histoire d'un homme appelé René qui parvient par hypnose à rencontrer ses propres vies antérieures. L'une d'elle, la plus ancienne, est un Atlante, qui vit donc sur l'Altantide, où règne une civilisation nécessairement très évoluée d'un point de vue sagesse, et d'ailleurs la preuve c'est qu'ils sont végétariens et qu'ils mesurent 17 mètres de hauteur. le gars René, c'est celui qui va sauver une partie des habitants de l'Atlantide en les prévenant qu'ils vont subir historiquement une catastrophe naturelle qui va conduire à la disparition de leur île. Son correspondant sur place - lui-même donc, dans une vie antérieure - le croit et va donc construire un bateau pour sauver ceux qui peuvent l'être. Pour remercier René, cette arche sera appelée - tenez-vous bien - l'arche de Néhé (c'est comme ça que les Atlantes peuvent prononcer René). Vous la tenez ? L'arche de Noé, oubliez tout de suite les origines bibliques : ça vient de René. Et les rescapés de l'Atlantide, que deviennent-ils ? Ils vont en Egypte où on retrouvera leurs ossements un jour, ou pas.
Car m'sieur René est historien. Enfin, prof d'histoire. Et il essaie de faire ouvrir les yeux de ses élèves sur la réalité qu'on nous cache dans des livres d'histoire trop académiques qui travestissent la réalité que lui, m'sieur René, connaît. On nous cache tout, que voulez-vous bande de moutons obsédés par le bac ! 
Sinon le gars René va croiser des tas de "lui-même" antérieurs : un combattant de 14-18 qui va tout lui expliquer sur la stratégie de guerre, une vieille riche qui va lui permettre de récupérer des lingots d'or, et d'autres personnalités qui tiendront, vers la fin du livre, une sorte de réunion où ils se rendront compte les uns et les autres que chacune de leur vie suivante a été marquée par un élément qui leur manquait dans leur propre vie. En gros, mon prochain "moi" sera riche et célèbre. A noter qu'aucun d'eux n'a été très choqué de rencontrer un gars qui leur dit "vous êtes mon ancien Moi, je suis votre Moi futur". N'essayez pas de vous présenter à moi de cette manière, je vous jure que je cours très vite prévenir des gentils messieurs à blouse blanche pour s'occuper de vous. 
Ceci dit, il y a bien eu un psy qui a tenté de s'occuper de lui. Pas de bol c'était un psychopathe qui le torturait en lui expliquant que c'était pour son bien. Sous-entendu : faites gaffe aux psys. 
Alors donc, faut-il qualifier ce roman ? Permettez-moi de me défouler, car j'ai tout lu jusqu'au bout en espérant que la fin proposerait un tel rebondissement que l'embarras que je traînais depuis les premières pages disparaîtrait. J'y vais : ce livre est une des pires clowneries que j'ai lues, et je ne pensais pas qu'un auteur aussi éminent que Werber oserait publier un truc pareil. C'est nul, mal écrit, l'histoire est grotesque, c'est pitoyable. Je n'avais lu de l'auteur que son premier roman sur les fourmis, que j'avais bien aimé. Je referme cette "boîte de Pandore" le plus vite possible en espérant que toutes les merdes qu'elle contient ne viendront pas polluer davantage la littérature. 

Un Werber classique:
une partie informative intéressante, il y a eu un travail de recherche sur la mémoire entre autre. Et une partie, le roman bebete avec des personnages fades (d'un livre à l'autre ce sont toujours les mêmes), une amourette convenue, des innocents aux beaux sentiments et des méchants, ... c'est gentillet benêt.

Elles sont loin ... les fourmis.

Après avoir lu le précédent livre de cette série particulière de Weber, je me suis lancé dans cette nouvelle histoire.

En premier lieu c'est le style qui m'a surpris. À quel publique ce bouquin est il destiné ? J'ai eu l'impression que des ados voire des enfants auraient pu aimer ce livre.
Mais de mon côté, j'ai eu parfois le sentiment de lire mon livre d'entrée en 6eme.

L'histoire ne débute pourtant pas si mal et l'intrigue se met en place et puis plouf ... des rebondissements ternes, une sorte d'idéalisme bateau .... je suis sorti du livre.

Le plus ... les encarts historiques.

Bernard Weber nous propose de visiter nos vies antérieures avec son hérs René professeur d'histoire .
Pour cela il se fait hypnotiser un soir à un spectacle puis ensuite par auto hypnotisme puis enfin des voyages à deux en discutant.
ça devient n'importe quoi pour moi.

Un livre très long trop long pénible même. J'ai trop souffert pour le terminer le ne comprend pas l'engouement pour ce livre

Je ne sais pas quoi dire : c'est mon premier Werber et je pense que ce sera le dernier. Malgré une bonne idée de départ, Je ne sais pas quoi penser de ce récit qui m'a paru sans queue ni tête, totalement dénué d'intérêt. Je ne suis pas allée au bout, c'était une corvée…

J'avais en mon temps lu avec une avidité adolescente « les Fourmis », puis plus grand chose de cet auteur. Lorsque ma femme m'a proposé d'couter ce roman en audio, je me suis fié aux critiques de Babelio. Après quelques dizaines de minutes d'écoute: consternation.
Ce roman a été écrit avec les pieds. Rien n'est crédible deux minutes, le style est lourd, le suspens taillé à la truelle. S'il avait été écrit en 2023, j'aurais parié sur du ChatGPT.
Alors certes l'idée de base est séduisante, mais elle est gâchée par des tartines indigeste.

Dans "La Boîte de Pandore" de Bernard Werber, il est difficile de ne pas ressentir un sentiment de déception. C'est trop long, trop plat. Alors que j'ai déjà lu une autre oeuvre de sa part ( et je me suis habitué assez vite à sa plume) mais cette fois-ci, son oeuvre est ratée ( selon moi). le raisonnement derrière l'idée de contacter ses anciens-sois d'un claquement de doigts semble naïf et trop facile, ce qui ajoute une grosse touche d'ennuis, puisque c'est comme assisté à plusieurs reprise à un spectacle de magie quelconque lors de ses dessentes. Contrairement à son livre "Le Sixième Sommeil," où la narration était bien construite et logique, ici, il semble manquer de réflexion. le récit semble déséquilibré, avec des informations balancées qui deviennent trop lourd à lire à la fin.

De plus, l'auteur présente une vision bien à lui de l'utopie ( que je ne partage pas) il fait référence à l'infidélité comme quelque chose de normal. A la page 420 ( édition le livre de poche) Geb dit " Et qu'est-ce qui viendra ensuite ? L'argent? le mariages ? (...)" le mariage est mal vue chez eux. Et cela se confirme lors d'une interview , une journaliste lui demande si la conception du couple dans "l'Atlantide" peut être qualifiée de moderne, et il répond : "Je vois autour de moi beaucoup de couples en perdition. Avant, les gens mouraient à 50 ans, maintenant à 100 ans, alors ça impose une nouvelle manière de vivre ensemble pour les hommes et les femmes. On ne peut pas se promettre fidélité éternelle, sinon les deux étouffent." Cette idée, bien que personnelle, semble déconnectée de l'intrigue principale du livre et n'apporte pas grand-chose à l'ensemble.

L'auteur raconte une histoire de réincarnation, explorant différentes époques, et il en profite pour partager sa vision du monde, qui est très personnelle, à travers un personnage assez casse-pied. Ce personnage attend à ce que tout le monde le croit d'un coup, du moins son entourage, mais il semble dépourvu de caractère, donnant l'impression d'être simplement hautain, sans véritable profondeur ni développement.

Dans un contexte plus subtil, l'auteur semble insinuer une vision islamophobe dans son récit. Il fait référence aux musulmans en relation avec l'échec de la mission du personnage principal et même en lien avec les attentats( page 188), ce qui soulève des inquiétudes. Bien que l'auteur ait le droit de présenter ses opinions à travers ses oeuvres, cette approche peut être problématique et susciter des débats.

En fin de compte, il est essentiel de rappeler que ce commentaire reflète mon avis de lecteur, et il n'a pas pour but de vexer les lecteurs qui ont apprécié "La Boîte de Pandore". Les avis varient, et il est tout à fait possible d'avoir des opinions différentes sur un livre. Mon intention est simplement de partager mon ressenti et mes observations sur cette oeuvre en particulier.