Le Jour des fourmis

Un deuxième tome tout aussi bon que le premier dans lequel j'ai pris plaisir à retrouver le monde des fourmis (peut-être malheureusement un peu moins présente) avec notre petite 103è en chef de file et avec de l'autre côté la partie humaine, avec les personnages du premier tome que l'on a pas abandonné et avec un super duo inspecteur/journaliste qui enquêtent sur des morts mystérieuses qui pourraient être en rapport avec nos petites fourmis préférées…
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La suite des fourmis est aussi passionnante mais le roman perd un peu de son attrait à la fin ,quand on connait enfin le coupable ( j'en dis pas plus pour ne pas spoiler) . Pour autant ,103 ,l'héroïne du premier tome ,sort de la fourmilière à la recherche des Doigts (Les hommes) et cela nous permet de rencontrer et de connaitre pleins d'autres insectes ...Je suis encore stupéfaite par les parasites qui envahissent les fourmis et qui ont font des zombies la nuit , on apprend de ces choses incroyables et à chaque fois je me dis c'est fou ce que la nature est bien faite !
Dans ce second tome ,une enquête criminelle est étroitement liée aux fourmis ,les hommes et le fourmis se rencontrent enfin et ça donne des situations très cocasses ,parfois drôles ou mortelles ...La façon dont les fourmis nous perçoivent notamment et le fait qu'une simple action dans le monde des humains (comme nettoyer un trottoir) se transforme en catastrophe chez les fourmis .
Même si je le trouve un peu moins bien que le premier tome (il n'y a plus le plaisir de la découverte) ,c'est toujours aussi fascinant de suivre le monde des fourmis !

Déçu. On attend quelque chose qui ne vient pas.
On se lace du manque d'action.
Je déconseil de lire les 3 tommes à la suite, les fourmies en deviennent fatigantes.

Je pense que n'importe qui a lu la trilogie vous dira de la lire!

C'est, je pense, la trilogie la plus connue et la plus reconnue de Bernard Werber.

J'ai depuis ces lectures, qui remontent maintenant à peut-être dix ans en arrière, une profonde affection pour les fourmis. Dès que j'en vois une, j'ai quelque part dans mon esprit la nostalgie de ces moments de lectures.
Pour moi, on trouve dans cette trilogie tout l'art et la magie de l'auteur au meilleur de sa forme.

Croyez-moi vous ne verrez plus les fourmis de la même manière et à travers ça peut-être même que vous ne verrez plus l'humain de la même manière.

La croisade avance, toujours avance. L'intrigue piétine, toujours piétine.
Le jour des fourmis est une suite très particulière, il est préférable de mettre son esprit terre à terre de côté le plus vite possible aux risques de se retrouver ahuris face à des révélations et des situations rocambolesques.
Malgré une certaine longueur qui s'installe en milieu de roman pour reprendre avec plus de vitalité dans sa dernière partie, il se laisse néanmoins lire.

Les fournmis est l'un des romans qui a le plus marqué mon adolescence. Je ne rappelle que j'avais également dévoré sa suite, avec le même plaisir. Génial

Il faut avoir les fourmis dans sa bibliothèque. On ne peut pas en parler sans trop en dévoiler, mais ce roman est tout simplement génial. (comme tous les livres de cet auteur je pense)

J'avais beaucoup aimé Les fourmis. Et le final de celui-ci me donnait de grands espoirs pour la suite. La déception fut donc énorme...

En soi, ça ne partait pas trop mal. On sait maintenant qu'une machine a été inventé pour dialoguer entre humains et fourmis. Lorsque la reine décide d'arrêt de parler aux "Doigts" (les humains) et d'arrêter de les nourrir, Nicolas tente le tout pour le tout : faire croire à une poignée de fourmis que les humains sont leurs dieux et rend donc une partie de la population fourmis religieuse alors que la reine souhaite mener une croisade contre les humains. Pendant ce temps, une série de meurtre à lieu contre des fabricants d'insecticide et le commissaire Melies enquête...

Ce n'est pas tant l'histoire qui pose probléme que la maniére tant elle est contée. avec 219 parties pour 500 pages, le livre bascule sur différents points de vues constamment, jusqu'à prendre des articles entiers de la (fausse) Encyclopédie sur savoir relatif et absolue.Ce qui apprend certaines choses mais n'a pas toujours d'intérêt par la suite. Auquel cas, ça sent le rajout pour étaler sa science tout comme les nombreuses descriptions du livre. Une science qui ne transparaît pourtant pas dans la partir humaine où les personnages s'expriment d'une maniére parfois aberrante, avec un langage qu'on emploie plus depuis le moyen âge ! ou presque... On peut y ajouter des facilités qui renvoie presque aux aberrations qu'on peut voir au cinéma par manque de temps. Sauf qu'ici, on n'en manque visiblement pas... Les situations s'enchaînent sans logique et tout tombe tout cuit sur l'inspecteur. Ou alors lui et sa coéquipière improvisé ont un bol incroyable.

Bref, l'histoire ne ma jamais paru crédible et l'humanisation extrême des fourmis n'aide pas. Pour quelqu'un qui n'hésite pas à réserver une bonne page à l'anthropomorphisme, c'est exactement ce qu'il fait dans le livre, le justifiant par la machine permettant aux humains de dialoguer avec les fourmis... Ca se lit vite, et bizarrement je me suis tout de même attaché à 103e mais pour le reste... j'en attendais bien plus...

Je crois que la trilogie des Fourmis est ce que Bernard Werber a fait de mieux. Non pas que ses autres romans soient mauvais mais ici il surprend avec un sujet pas banal, il a fait des recherches et ça se sent et l'intrigue est passionnante.

Je l'ai lu, j'avais à peine onze ans (j'en profite pour remercier mon cousin qui m'avait vivement conseillé ce bouquin) et après ma lecture, je n'ai plus regardé les fourmis, ni aucun insecte, du même oeil. Pour moi, les fourmis étaient des bestioles sans intérêt et Bernard Werber m'a ouvert les yeux. Depuis j'ai passé de longues heures à les observer. C'est grâce à ce roman que je me suis mise à poser sur « l'infiniment petit » un regard curieux et bienveillant.
Je pense que c'est cette trilogie qui a éveillé ma fibre écolo.

Je ne l'ai jamais relu, peut-être que mon avis serait différent aujourd'hui mais la petite fille que j'étais s'est pris une telle claque qu'elle dit merci et met cinq étoiles.

Ce second opus du cycle des Fourmis de Bernard Werber tient toutes ses promesses. Les aventures dans le monde des Fourmis et dans celui des Humains sont toutes les deux aussi prenantes. Une lecture originale et jouissive ! Surtout, ne passez pas à côté !