Citations sur FranKISSstein (71)
Se libérer du corps, c'est accomplir le rêve humain.
Aucun de nous ne peut dire ce qui va lui arriver en sortant de chez lui le matin. Et on sort quand même.
Vous connaissez le dicton : Neurones qui se ressemblent s'assemblent?
Serons-nous libérés de cette existence brutale?
Que va-t-il advenir du rêve humain? Le verrons-nous périr dans la douleur et le désespoir?
Rome. Venise. Florence. Nous regagnâmes l'Italie parce que nous ne pouvions pas vivre en Angleterre. Des esprits étriqués, hautains, autosatisfaits, injustes, un pays qui déteste l'étranger, qu'il vienne d'ailleurs ou qu'il soit athée, poète, penseur, radical ou femme.
Dieu nous fait comme nous sommes et nous ne devrions pas nous en mêler.
La serveuse d'éloigna d'un pas léger.
Très beau cul, dit Ron.
On ne réduit pas les femmes à des parties de leur corps! s'exclama Claire.
Très beau cul, dit Ron.
On ne réduit pas les femmes à des parties de leur corps! s'exclama Claire.
La lune était tout près, brillante et, à sa lueur, la cour semblait dériver comme une mer d'argent.
Si nous pouvions nous endormir pour nous réveiller en des temps meilleurs...
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Ma mère n'avait pas d'opinions nuancées. Il y avait ses amis et ses ennemis. Ses ennemis étaient: le Diable (sous toutes ses formes), les Voisins d'à côté, le sexe (sous toutes ses formes), les limaces. Ses amis étaient: Dieu, notre chienne, tante Madge, les romans de Charlotte Brontë, les granulés anti-limaces, et moi, au début.
Les fruits ne sont pas tous des oranges
Les Oranges ne sont pas les seuls fruits
Seules les oranges donnent du jus
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