Sans armure

Un roman sur l'amour, mais pas que.
Un roman sur l'autisme asperger dont on découvre petit à petit les traits caractéristiques. Connaissant très bien cette particularité, j'ai tout de suite compris, dans la description de certaines scènes de vie, de quoi il s'agissait, mais je ne parviens pas à déterminer si c'est ce qui m'a empêché de me laisser totalement envahir par la lecture, par les émotions.
Pour ceux qui découvrent l'autisme asperger, c'est un incontournable pour comprendre les sentiments, les émotions, les réactions de l'autre et pouvoir vivre une histoire d'amour épanouie.

Un joli petit roman d'amour comme sait si bien les écrire Cathy Ytak, entre deux jeunes filles dont une est autiste Asperger. Une belle histoire racontée au "Tu", du point de vue d'une des deux héroïnes... Un roman plein de petites références à des romans passés (Arhus) ou à des amis auteurs (Thomas Scotto entre autres..)

Très beau livre. Tellement de poésie dans cette histoire en "Je".
On dirait une lettre dans laquelle le temps est suspendu. On y comprend tout ce qu'un autiste vis à travers le regard de la personne qui est proche d'elle.
Rapide à lire et bouleversant je le conseil vivement pour comprendre à demi mot le regard de l'autre dans une poésie à la fois grise et pourtant si coloré, qui fini par tout illuminé.

Yannick aime Brune, mais d'un coup Brune la repousse (car Yannick est une fille)... Suit alors un monologue où Yannick se remémore ce qu'elle aime tant chez Brune. Une belle histoire d'amour et sur le handicap. Court texte (55 pages) mais sensible et beau

Argent
Un récit très court, mais poignant, sous forme d'une lettre adressée à un amour perdu. Une jolie plume, qui relate et rappelle les souvenirs et événements passés ensemble. Une jolie histoire d'amour, bien racontée. Des thèmes intéressants qui sont bien exploités, l'homosexualité, mais surtout le syndrome Asperger qui est vraiment bien retranscrit.

Un récit plutôt linéaire et sans grande surprise, mais très efficace dans les émotions auxquelles il fait appel. Et pour comprendre le syndrome Asperger c'est un bon début.