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le capitan à beaucoup de sinilitude avec le capitaine fragace de Théophile Gautier. l, action de passe sous le règne de Louis 13, les deux sont des Béarnais noble mais sans le sou. fin breteur, coureur de jupons, et défenseur des pauvres.il vont rejoindre des comédiens ambulans, par amour.il y a toujours des conplos, de l, action de l, humour.et les deux héros seront même incarner au cinéma par jean marais le capitan peut se lire de deux façons,soit comme un livre pour se détendre et passé un bon moment,soit comme un puzzle a la recherche des personnages qui était vraiment né à l, époque. personnellement j'ai fais les deux 👍 et j, ai revu les films 🎬.
pour conparai et autant j, ai étais déçu par les adaptations cinéma de livres que j, avais aimé,
la c, étais jean marais que je voyais dans les livres.j,ai peut être étais un peu long, mais c'est pour vous dire que j, ai passé un bon moment avec.bonne lecture a tous et toutes.👍
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Avec le Capitan, Zévaco nous offre un nouveau personnage de cape et d'épée après le fils Pardaillan. Chevalier au XVIIème siècle, son héros ressemble à D Artagnan et à Cyrano de Bergerac, personnages honorables dans un monde qui l'est de moins en moins.
Ici, il ne s'agit de rien de moins que de sauver le jeune roi, Louis XIII, soumis au bon vouloir de sa mère et de ses amis Concini et Galigaï.
Personnages assez stéréotypés mais péripéties inattendues, découverte de complots passés, font de ce roman un bon moment de lecture, avec une touche de culture pour épicer le tout.
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Vous avez peut-être vu le film d'André Hunebelle (1960) avec Jean Marais et Bourvil... Oubliez-le. Non pas que le film soit mauvais, il est même très bon, et suit assez fidèlement le roman. Mais il ne donne qu'une idée assez éloignée de ce dernier, tant celui-ci est dense, bourré de péripéties, flamboyant d'aventures épiques, de romance, de trahisons en tous genres, d'humour, de vie, quoi... Bon, comme d'habitude chez Zévaco, la réalité historique est quelque peu malmenée (comme chez Dumas ou Féval, d'ailleurs), mais c'est un peu la coutume dans les romans-feuilletons, et c'est toujours au profit du mouvement, du panache, bref de ce qu'attend le lecteur.
Adhémar de Capestang est une sorte de D'Artagnan ou de Pardaillan, un jeune homme qui a plus d'honneur que de fortune, qui n'hésite pas à venir au secours des pauvres et déshérités, surtout quand ils se présentent sous la forme d'une belle et jeune demoiselle au frais minois. En sauvant cette âme en détresse des mains de vils coquins, Capestang ne se doute pas qu'il met le pied dans une série d'aventures dramatiques ou cocasses qui l'amèneront à affronter jusqu'à Concini, le premier ministre, conseiller machiavélique de la reine... C'est ce dernier qui par dérision va affubler notre héros du surnom de "Capitan" en référence au personnage de la comedia del arte espèce de matamore, fier-à-bras ridicule et vantard. Ce n'est pas divulgacher que révéler qu'à la fin, les bons vont gagner et que les méchants vont l'avoir dans le ... dos.
Attention ! Zévaco n'est pas Dumas, ni Féval. Il ne prétend pas à être un auteur "littéraire". C'est un raconteur d'histoire. Son style, si particulier est souvent excessif, il y a autant de points d'exclamation que de coups d'épée (et ce n'est pas peu dire), les personnages sont souvent caricaturaux, les intrigues aussi emberlificotées que cousues de fil blanc, mais il faut se rappeler deux choses : la première c'est que c'est plus ou moins la loi du genre, le public de ces publications étant plutôt populaire, la seconde c'est que Zévaco insuffle ainsi à son oeuvre une vie et un panache qui fait tout son prix ... et son succès.
Le Capitan, les dix volumes des Pardaillan, Nostradamus et le diptyque le Pont des soupirs et Les Amants de Venise sont des ouvrages qu'il faut avoir lu au moins une fois dans sa vie. Pas pour l'intérêt littéraire (on l'a bien compris) mais pour le plaisir.
Car le plaisir, c'est bien le premier but de la lecture, n'est-ce-pas ? L'apport de connaissances, la réflexion, sont également importants, mais ce qui fait qu'on garde un livre ouvert ou qu'on le ferme, c'est le plaisir qu'on y trouve, non?
Que celui qui n'est pas d'accord vienne m'assommer avec l'intégrale de la Comédie Humaine de Balzac, il y a des chances pour qu'il se fatigue avant moi...
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Le Capitan est un gentilhomme en quête d'aventures, de gloire, d'amour et de fortune, au tout début du règne de Louis XIII, dans un roman de capes et d'épées historiquement quelque peu bringuebalant, mais haut en couleurs. Poisons, enlèvements, complots, tout y est, surtout les complots, car tout le monde complote contre le petit roi, comme s'ils voulaient l'abattre et prendre sa place avant qu'il soit assez fort pour se défendre. Une intrigue toute de coups d'épées, emmenée par un héros plein de bon volonté, mais reconnaissons pas le plus malin du lot, peut-être.
N'est pas Alexandre Dumas qui veut, les longueurs ici semblent bien plus longues, si je peux me permettre, que chez le papa des Mousquetaires. Et puis disons que tout ce qui a trait au Nubien Bélphégore a très, très mal vieilli.
Reste des personnages féminins beaucoup plus intéressant que chez Dumas, de Gisèle à la terrible Léonora, qui si elle n'avait pas été alourdie par son amour pour cet imbécile de Concini serait allé loin entre les pages de cet auteur.
Une lecture d'été, pas trop fatigante intellectuellement, avec les prérequis du genre et les ficelles habituelles, mais distrayante.
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Ayant envie de lire un roman de capes et d'épées, ce que je n'avais quasi jamais fait, j'ai jeté mon dévolu sur celui-ci à cause de vieux et vagues souvenirs d'avoir vu l'adaptation cinématographique de André Hunebelle, étant enfant, avec Jean Marais et Bourvil.
J'avoue que le début m'a fait très peur, par sa grandiloquence et son nombre de points d'exclamation à la page, ainsi que par le nombre de références à la mythologie grecque, comme s'il voulait se la jouer Victor Hugo dans Les Contemplations (oeuvre que je "sirote" en parallèle et avec laquelle j'ai un peu de mal, je l'avoue).
Et puis, au bout d'un moment, notamment avec l'arrivée du personnage comique de Cogolin, ça devient plus léger et on prend plaisir à suivre les trépidations de ce matamore de capitan. du moins, pendant un moment.
Car rapidement, on se rend compte que c'est toujours le même schéma qui revient. Un personnage important (Concini, puis Richelieu) est amoureux d'une femme qui le lui rend bien mal vu qu'elle en aime un autre, et souhaite l'y forcer, utilisant pour cela tous les moyens, quitte même à renoncer au pouvoir de façon fort peu plausible.
Qui arrive à la rescousse ? le Capitan, bien sûr. D'ailleurs, il sauve tout le monde, parfois 2 ou 3 fois, bien souvent grâce à des deus ex machina grossiers (il passait justement par là...), mais toujours il refuse de cueillir les fruits de la gloire et met un point d'honneur à dilapider l'argent, lui venu à Paris pour faire fortune. Il préfère se jeter à corps perdu dans les batailles à un contre 10, 15 ou 20, s'en sortant souvent sans une égratignure, ou avec quelques estafilades bénignes.
Les ficelles sont vraiment trop grosses. À ce stade, ce sont des haubans pour pont suspendu. Dès lors, il devient difficile de faire abstraction des agacements consécutifs à une littérature datée, faite d'un lyrisme romantique confinant bien souvent au grotesque. Les personnages ne cessent de "rugir en eux-mêmes", de penser à voix haute, de s'évanouir d'amour, de terreur ou d'autres émotions. Bref, ils en font des caisses et on a envie de les tarter. L'auteur prend "le lecteur" à témoin, et j'ai horreur qu'on parle de moi à la 3è personne.
Le problème, c'est que ce cinéma va durer très longtemps, car cette oeuvre est parue en feuilleton et son auteur était payé à la ligne. Autant dire que ça se voit. Pour la petite histoire, Zévaco était d'ailleurs le 2è auteur de feuilletons le mieux payé de l'époque, après Gaston Leroux. Étrange destin, pour un ancien agitateur anarchiste ayant fait de la prison. Comme quoi, il n'y a que les sots qui ne changent pas d'avis.
Bref, c'est sympathique par endroits, mais c'est surtout long, fatigant, répétitif et invraisemblable. Même la partie action, chère aux films de capes et d'épées, est bien mal troussée, voire totalement idiote, comme à la fin quand un spadassin se jette à plat ventre pour tenter une botte sur le Capitan. Essayez de vous figurer la scène, moi j'y arrive pas.
Enfin, on peut s'interroger sur l'utilité des anachronismes dans une histoire qui tente par ailleurs de respecter assez strictement la chronologie. Ainsi, toute l'histoire se déroule en 1616, avant l'assassinat de Concini et l'exécution de Léonora Galigaï. La vraie Marion de Lorme avait alors trois ans, et le Marquis de Saint-Mars n'était même pas encore né. Pourtant, ces deux personnages sont bien présents, adultes, dans toute l'intrigue, y jouent un rôle primordial, et ceci sans le moindre avertissement de l'auteur. Il aurait été si facile d'inventer une courtisane imaginaire à la place de Marion, par exemple, et de choisir le comte de Chalais, autre intrigant et conspirateur qui a fini à peu près de la même manière que Saint-Mars, mais qui était né 20 ans avant lui.
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Excellent livre d'aventure. le style de l'auteur peut surprendre au premier abord mais l'on s'y habitue vite, il contribue à l'addiction du lecteur : impossible de s'arrêter tant les actions s'enchaînent, ponctuées de points d'exclamation en veux-tu en voilà. Certes, historiquement, l'auteur a pris des libertés. Après tout, ce n'est pas une biographie historique mais un roman d'aventure, donc il peut être excusé et s'en sortir avec un mauvais point. Pour le positif, nous y trouvons tous les rouages du genre : un chevalier intrépide avec un sens de l'honneur à toute épreuve, des "méchants" qui s'enfoncent dans leur méchanceté, du comique dans les dialogues comme dans les situations, des complots politiques, d'innombrables combats mettant en relief les vertus guerrières de notre protagoniste. Que demander de plus ?
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Bonjour tout le monde:-D pour ces qui ont lu les trois premiers chapitres du capitan, est ce que quelqu'un sait comment on fait son schéma actanciel... Aidez moi svp c'est sur des points et je n'arrive pas à le faire:-( =-O :'(
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