Commissaire Jean-Baptiste Adamsberg
Série de 10 livres (En cours). Écrite par
Fred Vargas (10),
Le commissaire Jean-Baptiste Adamsberg est le personnage principal d'une série de romans policiers écrits par l'auteure française Fred Vargas, pseudonyme de Frédérique Audoin-Rouzeau. Adamsberg est un détective atypique de la police française, connu pour ses méthodes peu conventionnelles et son intuition remarquable, qui lui permettent de résoudre des affaires complexes et souvent étranges.
Adamsberg se distingue par sa tendance à rêvasser et à suivre son instinct plutôt que des preuves concrètes, ce qui le mène à des conclusions que d'autres pourraient ne pas voir. Ses enquêtes le plongent dans des mystères profonds, mêlant folklore, légendes et crimes apparemment insolubles, où le passé et le présent s'entremêlent souvent.
Le premier livre de la série, "L'Homme aux cercles bleus", introduit Adamsberg comme un personnage pensif et détaché, capable de percevoir les liens entre des éléments apparemment sans rapport. Au fil des romans, comme "Pars vite et reviens tard" et "Sous les vents de Neptune", Adamsberg voyage à travers la France et au-delà, développant sa propre équipe de collaborateurs fidèles, chacun avec ses propres excentricités, qui l'assistent dans ses enquêtes.
La série est appréciée pour sa prose poétique, ses personnages bien développés et la capacité de Vargas à tisser des histoires captivantes qui défient les conventions du genre policier. Le commissaire Adamsberg, avec son approche singulière de la résolution de crimes, son humanité et son respect des mystères de la vie, est devenu un personnage bien-aimé de la littérature policière contemporaine.
Je découvre Fred Vargas en prenant dès le 1ere opus.
Le roman est plutôt bien ficelé, cela manque un peu d'analyse psychologique à mon goût mais pour un polar le défi est relevé.
Quelques personnages atypiques auxquels on s'attache aussi. Peut-être les retrouve-t-on dans la suite des aventures du lieutenant Adamsberg ?
Chose assez étonnante, je n'ai pas lâché le livre, non par pour connaitre le fin mais pour rester encore un peu avec ce lieutenant et tenté de le comprendre un peu mieux.
C'est ce qui va me pousser à lire la suite des aventures.
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j'ai bien aimé ne faisant pas parti des lecteurs assidus de F Vargas, j'ai decouvert ce livre avec une certaine gourmandise. je ne m'attendais à rien de particuliers, conséquent, je n'ai pas été décus.
L'enquete tient la route, elle est cohérente, l'ambiance bretonne est bien décrite, on a envie de manger chez Johan ! la nourriture y à l'air simple et gourmande !
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Le dernier Vargas se passe prés de Combourg.
Certains lui reprochent son côté foutraque, c'est comme si on reprochait à Proust de faire des phrases trop longues !
Moi je suis content de retrouver l'originalité de Fred et j'espère que le réchauffement climatique il va s'arrêter pour qu'elle se consacre à ce qu'elle fait de mieux : nous embarquer dans un univers barré et baroque.
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Chouchen.
Le commissaire Adamsberg doit résoudre une nouvelle enquête en Bretagne.
Je l'ai attendu avec impatience ce nouvel opus d'Adamsberg, mais les premiers retours sur Babelio m'ont fait très peur. J'ai hésité à le lire m'attendant à une purge trahissant l'esprit de la série. J'ai débuté ma lecture avec appréhension, mais la lecture fût plutôt agréable.
Soyons honnête ce n'est clairement pas le meilleur Adamsberg. Notre "pelleteur de nuage" a un mystère à résoudre en Bretagne cette fois-ci. Mais seul une partie de la brigade l'accompagne, Veyrenc, Mercadet et Retancourt sont de la partie, exit Danglard. Je n'ai pas compris ce choix. Sa présence a vraiment manqué dans ce polar.
J'ai aussi eu du mal avec l'action. Les dialogues sont nombreux et interminables. La brigade passe la moitié du roman à table à boire du chouchen. Certains passages partent dans le grand n'importe quoi et n'ont rien à voir avec l'ambiance posée de la série. Quant aux personnages ils ne sont que l'ombre d'eux-même.
Mais par moment, j'ai retrouvé cette atmosphère propre à Fred Vargas. Tout particulièrement lors de la résolution de l'enquête. Pour moi "Sur la dalle" n'est pas une purge, mais la continuité du déclin des enquêtes d'Adamsberg. Depuis "Temps glaciaires" je trouve qu'il manque de plus en plus quelque chose dans l'écriture de Fred Vargas. Le dernier que j'ai pris un immense plaisir à lire est "L'armée furieuse".
Bref, une déception prévisible.
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Fred Vargas nous emmène dans le Mercantour à la frontière de la réalité et du mythe.
Lorsque plussieurs brebis sont retrouvées egorgées autour du village de Saint Victor, les bergers s'inquiètent.
Les loups ont été réhabilités et vivent en liberté dans cet immense parc naturel.
Chacun se méfie et protège son cheptel comme il peut.
Mais lorsque une éleveuse est retrouvée elle aussi égorgée, les esprits s'échauffent et une battue est organisée pour retrouver le ou les loups responsables de cette attaque.
Pendant ce temps Adamsberg est à Paris sur une enquête difficile et écoute d'une oreille discrète mais attentive ce fait divers relaté sur toutes les chaines.
Les évènements et les attaques s'enchaînent et le mythe du loup-garou refait surface. C'est la seule explication plausible.....
Adamsberg intervient assez peu dans la première moitité du récit mais saura trouver sa place dans l'intrigue très naturellement.
Fred Vargas livre une intrigue tonique où les croyances anciennes viennent brouiller les cartes d'un équilibre fragile entre les hommes et les bêtes.
Les personnages sont fouillés, la plume est incisive et ne manque pas d'humour.
Un très bon moment de lecture.
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Un peu en blues de lecture après Changer l'eau des fleurs qui m'avait retournée, j'errai de début de livre en début de livre, n'arrivant pas à être conquise par ces romans. J'ai donc arrêté ce massacre, et ait sorti de ma loooooongue Pile à Lire toujours pas triée, une valeur sûre, un joker facile, simple, mais surtout terriblement efficace.
Un Fred Vargas.
Le peu que j'en ai lu, j'avais bien aimé.
Je ne fus pas non plus déçue, du roman policier avec des personnages atypiques, offrant souvent des dialogues savoureux, des rebondissements, des mystères, des fins de chapitres qui appellent le prochain de manière judicieusement addictive, c'est une lecture style promenade de confort qui fait un bien fou ! Un plaisir simple et coupable...comme un kouglof au miel, tout à fait, Adamsberg !
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J'ai beaucoup apprécié ce nouvel opus de notre commissaire qui, une fois n'est pas commune, est désavoué, délaissé par une partie de son équipe. Il faut bien reconnaître que rien n'est clair dans cette enquête mélangeant le monde de Robespierre et un lointain voyage en Islande. Va-t-il s'en tirer ?
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