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Citations de Cosey (148)


Toutes nos passions reflètent les étoiles.
Victor Hugo
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Le village semblait m’appartenir, et malgré la menace qui se précisait d’heure en heure, cette sensation de souveraineté solitaire était plutôt excitante.
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Un silence de fin du monde s’était installé sur la ville abandonnée. Seule la rumeur lointaine d’un torrent faisait écho au crissement de la neige sous mes pas.
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- Tu crois que j'apprendrai aussi à lire des histoires comme celle-ci ?
...
- Des histoires comme celle-ci et des moins drôles...Est-ce que je t'ai déjà dit que dans mon pays, les enfants de ton âge inventent tous les prétextes pour ne pas aller à l'école ! Et toi... toi, tu ...
- Mais Jonathan, plus tard je pourrai lire et écrire, comme toi ! J'en ai très envie ! Permets-moi d'essayer !
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"Je veux bien croire que tu n'aies pas peur pour toi, mais chaque être humain connaît la peur..."
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- Je parie que tu n'es jamais d'accord avec l'opinion générale.
- ça doit être quelque chose comme ça.
- Je comprends. Quand les gens sont du même avis que moi, j'ai toujours l'impression de m'être trompée.
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Parti à la recherche de Peter Pan, je me trouvais dans le ravissement étonné de ramener la fée Clochette dans mes bagages.
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Elle a étudié le français à Pondichéry, et m’explique que notre mot ´avidité’ vient du sanskrit ‘avidy’ qui signifie ´ignorance ´.
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- ...les études, tu sais ce que j'en pense... Un stock d'informations prédigérées que l'on mémorise docilement. Des connaissances achetées d'occasion ! Moi, c'est tout de la "première main". Du vécu. Je ne suis pas une éponge !!!
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A la lumière qu'on allume,
les ombres des poupées.
Une ombre pour chacune.
Shiki
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Malgré une modernisation galopante (informatique, particulièrement) l’Inde semble épargnée par l’épidémie de gris qui s’est abattue sur notre monde occidental (vêtements, voitures, ameublement, architecture etc.)
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A l'époque où je fréquentais Jonathan, nous avions tous les deux 19 ans, et s’il est vrai qu’il n’avait rien d’un héros de BD, je ne ressemblais guère à l’idée qu’on se fait d’un dessinateur. Nous partagions un goût immodéré pour la pratique du ski et de la moto de trial, la lecture des Védas – livres sacrés de l’Inde – C.G. Jung et Woody Allen, ainsi qu’une quantité industrielle de BD. Un bon nombre de nos week-ends se passaient dans les Alpes suisses à chevaucher nos 250 cm3 avec une traduction de la Bhagavad-Gîta dans la poche, et j’avoue que j’en garde un souvenir très nostalgique. Son comportement était pour le moins bizarre. Je l’ai vu plusieurs fois hésiter d’emprunter telle ou telle avenue car il craignait de manquer la Grande Rencontre en se trompant de chemin. Après quoi il m’expliquait que tout ce qu’on cherche chez les autres et dans la vie extérieure se trouve en nous. Nous savions tous les deux que sa théorie s’adressait à lui, uniquement à lui, mais unis par une mystérieuse complicité, nous nous gardions bien de le préciser. (...) Un autre jour, il refusait de sortir si on ne pouvait lui assurer que Arthur Rimbaud, Nicholas Flamel, son âme sœur ou Léonard de Vinci seraient présents. A 20 ans, il projetait de faire l’ascension du Kilimandjaro à moto. Puis soudainement, après avoir lu un journal, il nous annonçait qu’il se dirigeait sur l’Himalaya. Deux ans plus tard, nous recevions des nouvelles d’une clinique psychiatrique népalaise où on le soignait pour amnésie partielle. On l’avait retrouvé à moitié mort de faim à la frontière du Tibet et du Népal. Trois mois après la première lettre de la clinique, le docteur nous annonçait que Jonathan s’était enfui. Depuis, aucune nouvelle. Rien. Mais je sais où est Jonathan. Je sais ce qu’il fait. Il est reparti pour l’Himalaya, et c’est là que commence le récit. On peut dès lors douter avec raison de la réalité de cette histoire, mais… Sachez que je n’ai jamais quitté Jonathan. Jamais…
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Par moments, j'ai horriblement peur de ne jamais mourir... La trouille de l'Immortalité... être perdu dans le temps, comme un astronaute dans l'espace...
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Tu l'as vu, petite noix de karité : la progression du désert ne s'arrête pas facilement... ni sur le sol africain, ni dans le coeur des hommes.
Regarde, Zélie, écoute, hume, goûte et touche ton pays pour qu'il vive longtemps.
Sur la terre africaine et dans le coeur des hommes, tu le vois, il existe quelques oasis.
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Les tranches fines de viande séchée, le pain de seigle, le fromage au goût légèrement amer, la petite gourde remplie à l’eau d’un torrent, le bleu du ciel, le blanc de la neige, le soleil…
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L'écho du fracas se répéta longtemps dans la vallée. Enfin ce fut le silence, un silence total. Même les cris du torrent, plus bas, s'étaient tus. Un nuage blanc s'élevait majestueusement. De microscopiques cristaux de glace dansaient en suspension dans l'air, jouant avec la lumière.
Et je me sentais minuscule...
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Du drame ! De l'amour ! Des larmes ! De l'infamie ! Des trahisons !!! Voilà ce que le public veut !
Voyez Shakespeare, notre maître à tous !
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- A chaque fois que tu es inspirée par une de tes idées de génie, il y a cette lueur dans ton regard, comme si tu venais de partager un verre de Coca-Cola avec Jésus-Christ en personne !
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Il y a longtemps, très longtemps, un village se trouvait là-haut, au pied du col. Un beau jour, le glacier s'est rompu. Il s'est mis à dévaler la pente. Le village fut complètement englouti. Aujourd'hui, l'histoire recommence.
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tu fumes ?
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