Appel en absence est un court roman de Cathy Ytak qui a publié ce livre le 1er février 2023. L'éditeur est Nathan. Je n'ai pas trouvé la genèse de l'oeuvre mais je pense que Cathy Ytak a créé cette oeuvre pour que l'on comprenne qu'il faut dire toutes les choses que l'on pense à ses amis et notre famille avant qu'il ne soit trop tard.
Le sujet traité par l'oeuvre est l'amitié : on comprend que Lucas est très attaché à Benjamin et qu'il a peur de le perdre. le livre parle aussi d'amour et de regret car Lucas s'en veut de ne pas avoir tout dit à Benjamin sur sa relation avec sa copine. Lucas s'inquiète de ne pas avoir de nouvelles de son meilleur ami. Il apprend qu'un train a déraillé, le même train que Benjamin doit prendre pour rentrer de l'internat. C'est la panique, Lucas apprend alors que c'est la première place du train qui a été touchée, celle où Benjamin préfère s'asseoir. Il y a des blessés, voire des morts, c'est la panique. Lucas regrette d'avoir menti à Benjamin. Il a des regrets mais il attend un message de Benjamin pour que tout aille mieux.
J'ai trouvé ce livre assez bien car il y a du suspens. Grâce à ce livre, on se remet nous aussi en question. On voit que le lien de l'amitié est fort. Je trouve que l'auteur s'est répétée mais cela est normal car les informations de l'accident se succèdent. Donc en général, j'ai bien aimé ce livre.
L.M.
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J'ai lu ce livre très rapidement, vu le nombre de pages, mais aussi parce que je souhaitais connaitre le fin.
ok, ca parle de l'amitié à l'adolescence mais aussi de mensonges, de sexe. Bref, au final, je ne suis quand même pas convaincue et il y a mieux comme livre.
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Le mode de la série: Un contexte fort et imprévisible, une situation passionnée, ado et l'un des premiers pas vers les tensions de la vie adulte.
Cette collection, " Court toujours", devrait intéresser les faibles lecteurs ados avec ce format court et ses situations du coeur familières.
Le point de départ sera catastrophique, de quoi dérailler : l'annonce d'un accident ferrovière et l'expectative, l'angoisse même, devant tous les appels en absence vers un proche de notre protagoniste dont il sait qu'il se trouvait dedans.
Attrendre la confirmation par les infos est évidemment insoutenable.
Non, il ne le "ghostera" pas et non, notre héros n'aura pas l'habitude de se tourmenter à outrance.
Mais attendez, on sait aussi par habitude de la collection (même avec un auteur différent) que derrière un premier sujet se cache souvent un deuxième sujet tout aussi important et autour des sentiments ados.
Ça sera le cas. Si certains, sujets à une peur monstre confieront avec vu défiler leur vie sous leurs yeux, quid de ceux dont le couperet d'un évènement fatal menacera de ne plus voir un proche et ce pour toujours?
L'attente permettra tout de même habilement de nous repasser le film de la rencontre des meilleurs amis, Benjamin et notre protagoniste, qui se connaissent depuis la prime enfance.
Rapidement, l'auteure Cathy Ytak avancera le film au moment de l'adolescence, du lycée, des premiers émois, ce moment où les deux devront se séparer, penser à soi avec les choix d'études sans se soucier des projets des autres.
Il y aura aussi une fille pour très naturellement les séparer.
Les meilleurs amis ne seront plus "jumeaux de complicité" et le temps, les rencontres nouvelles feront le reste.
On devinera que notre protagoniste craindra d'avoir perdu Benjamin pour de bon (ce qui sera sur cette nouvelle expérience encore plus dur que d'être dans des villes différentes).
Ils auront vécu des choses fortes qui lieront autant que le temps.
La situation est assez bien raconté, avec le bouillonnement intérieur du héros sous la pression du silence et puis aussi les crépitement de messages qui s'amplifieront avec la nouvelle des infos qui n'échappera plus à personne.
Nous pourrons discerner en définitive tout un groupe autour de deux personnes qui se connaissent bien et finalement, ce réseau va permettre de rassurer : tout du moins, notre héros ne traversera pas cela seul.
Toujours une excellente collection.
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Cathy, chère amie
Comment les lecteurs vont-ils le prendre ?
Voilà que je me décide enfin à rejoindre Babélio, et comme première contribution je propose de t’adresser cette lettre, une façon peu conventionnelle de participer. Mais comme j’ai le privilège d’être ton amie, comme nous partageons de nombreuses idées, c’est une trop belle occasion de parler de toi (et avec toi ?).
Il faut dire que je viens de dévorer « Têtes Hautes ». J’ai lu beaucoup de tes livres - souvent des histoires de jeunes blessés par la vie. Dans Têtes Hautes, tu racontes en plus un événement historique dont on ne m’a pas parlé à l’école, et pourtant si mes sources sont bonnes il s’agit de la première grève menée par des femmes, et qui ont obtenu gain de cause. Tu évoques donc deux jeunes penn sardin, ouvrières qui travaillent dans les sardineries de Douarnenez. En 1924, pas de bateaux équipés, pas le moindre réfrigérateur, quand le bateau entre au port les femmes doivent être prêtes à préparer les poissons. L’aspect historique de ton roman est très bien documenté, depuis le terrible quotidien de ces ouvrières jusqu’à l’enclenchement du mouvement, son déroulement, ses difficultés, et les manœuvres criminelles des patrons.
Mais l’une des deux ouvrières est embauchée à Paris comme bonne à tout faire, chez Carol et Suzanne que tu nous fais connaître. Ces deux jeunes adultes n’ont pas l’existence dorée que leur fortune permettrait d’imaginer, chacune ayant ses propres tourments. Bravo pour le malentendu qui s’installe entre les deux jeunes Bretonnes, Yarig étant persuadée que sa sœur mène à Paris une existence bien plus facile, alors que Angèle affronte mille difficultés. Là aussi tu décris une réalité historique, les conditions sordides de travail des bonnes à tout faire, et le mépris dont elles sont victimes, pensez donc, ces paysannes qui puent le poisson ! Auxquelles on ne verse aucun salaire sous des prétextes, alors qu’elles ont un horaire de travail infernal.
Dans tes livres, tu parles souvent de sexe, même si je préfèrerais dire « amour ». Mais voilà, les personnages de tes romans ont souvent des problèmes, cela peut être celui de l’identité sexuelle : quel qu’il soit, tu en parles de façon directe et j’apprécie beaucoup cette absence de pudibonderie. Cela me rappelle ton intervention au salon du livre de Saint-Paul-trois-Châteaux : tu avais parlé de « Rien que ta Peau », une histoire d’amour entre deux adolescents qui, eux, n’ont pas de problème d’identité sexuelle. Louvine a des difficultés dans un autre domaine. On ne sait pas trop quel est son handicap, et j’apprécie aussi que tu ne l’aies pas précisé car une étiquette devient vite une aliénation supplémentaire pour les personnes différentes.
Tu nous avais lu le début de « Rien que ta Peau », de ta voix tranquille, dans l’espace aménagé pour les rencontres entre les auteurs et le public, et l’on entendait le brouhaha du salon tout autour. Et tu nous avais fait partager l’intimité de Mathis et Louvine, j’en garde une impression extraordinaire : contraste entre l’ambiance festive d’un côté, un peu bruyante, et les deux amants enlacés au cœur de la nuit, de l’autre.
Dans « Têtes Hautes », tu abordes le problème de Carol de la même façon directe, par petites touches, jusqu’au dialogue avec sa mère qui éclaire les lecteurs. Tu le sais : les idées que tu défends dans ce livre sont une de mes raisons de te lire. Condition féminine, condition ouvrière, particularité sexuelle, ton discours est clair et ça fait du bien. Mais, alors qu’on n’est pas loin de la sociologie, c’est un roman que tu écris, pas un essai, et les messages passent d’autant mieux et pour un plus large public. Ce livre est destiné à des adolescents, c’est vraiment une bonne chose de leur offrir de ces lectures-là ! Moi j’ai passé l’âge et depuis très longtemps, mais, ne le dis à personne, je continue à me régaler avec la littérature pour la jeunesse.
J’ai remarqué que les éditions « Talents Hauts » offrent un catalogue de bonne tenue pour le public adolescent. Ce qui me pousse à parler du rôle de l’écrivain : quand j’avais lu « Cinquante minutes avec toi », une histoire de maltraitance, je t’avais dit que ce livre dérange, et c’était un compliment. Tu m’avais répondu : « Je pense que c'est le rôle de quelqu'un qui écrit que de bousculer un peu ses lecteurs, de les déranger, de faire naître une réflexion. Si je peux le faire, à mon petit niveau, c'est bien (…). Si mon livre peut libérer quelques ados enfermés dans des histoires similaires (et il y en a toujours, malheureusement), je serai vraiment contente. »
Ces quelques mots suffisent sans doute pour préciser comment toi et moi nous voyons le rôle de l’écrivain.
Alors non, je ne vais pas faire une analyse de ton style (qui me plaît beaucoup), de la construction de ton roman, (super bien structuré), je veux simplement te remercier d’avoir écrit « Têtes Hautes », dont je parle autour de moi, un bien bel ouvrage. Je te remercie aussi de me faire découvrir les éditions « Talents Hauts » dont les titres sont alléchants !
Avant de te quitter, je ne résiste pas au plaisir de te citer quelques mots de Gabriel Celaya, un texte connu surtout par l’interprétation qu’en a faite Paco Ibañez, « la poésie est une arme chargée de futur » (traduction à ma façon).
« Je maudis la poésie conçue comme un luxe
Culturel pour les neutres
(…)
Je maudis la poésie de ceux qui ne prennent pas parti jusqu’à se compromettre. »
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Un roman bref, presque une nouvelle. Lucas appelle son ami Benjamin après avoir regardé les infos et découvert que le train de celui a déraillé. Il laisse des messages sur le répondeur, et repense à tout ce que leur amitié lui a apporté et à tout ce qui va lui manquer s'il s'avère que son ami est mort.
Assez oppressant, à lire d'une traite !
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Le mode de la série: Un contexte fort et imprévisible, une situation passionnée, ado et l'un des premiers pas vers les tensions de la vie adulte.
Cette collection, " Court toujours", devrait intéresser les faibles lecteurs ados avec ce format court et ses situations du coeur familière.
Notre héroïne passera en classe de Première à la rentrée.
L'auteure Cathy Ytak nous racontera une désillusion sentimentale.
Notre personnage demandera la permission à ses parents pour aller seule dans le Sud de la France, travailler sur un chantier de jeunes (pour retrouver un garçon).
L'affaire était bien menée et il n'y aura pas à mentir car c'est bien Quentin, le fils du patron de son père, qui lui suggérera la participation.
Quentin a bonne réputation et l'idée d'engagement des jeunes plaira aux parents: une tâche communautaire où il faudra bâtir un mur en pierre sèche - dans une tradition qui devra émouvoir le père, maçon originaire de Slovénie- .
La chose qui fera arrondir notre bouche: L'arrivée au camp.
Katja ne s'emballera telle pas un peu?
Elle nous restituera ses pensées, son impatience et se demandera si Quentin l'est aussi, l'attendra?
N'a t-elle pas fantasmé des signes d'intérêts sentimentaux?
Cathy Ytac nous racontera cette chute brutale et une remontée qui devra endurcir son caractère.
Difficile de ne pas confondre à cet âge, on commencera à vouloir grandir, à vouloir ressentir ces intérêts venant du sexe qui nous attire, à vouloir assurer un personnage d'intérêt et de séduction.
Qu'il est bon de se sentir choisi parmi le reste du monde qui nous entoure, comme dans les films et les séries tv ( la démonstration sentimentale n'est pas quelque chose que l'on pourra logiquement vérifier avec ses parents. Question d'intimité et de postures obligent).
L'auteure décrira bien se ramassement sur elle-même, la formation d'une carapace
jour après jour, depuis que Quentin l'aura "recadrera" un peu violemment pour ne pas avoir à la gérer comme une fan ado.
Tendre, ronde et encore fragile, Katja devra prendre sur elle, c'est un peu comme une gifle.
Quelle réaction devait-elle adopter?
Repartir à la maison, gâcher ses vacances d'été - pour cette fois rémunérées- et raconter ce qu'elle s'est imaginée à ses parents?
Comment fait-on dans cette situation quand on est adulte?
Va t-elle donner raison à Quentin et agir comme la "gamine" qu'il voit en elle, une naïve, tandis que le reste de l'équipe est là pour travailler, rôdé aux tâches sérieuses et plus adultes?
La suite sera logique, une montée en puissance et une lente descente de l'humeur. Katja n'a que 15 ans et Quentin l'aura insulté, il se sera durement dédouané de toutes responsabilités et de tous quiproquos.
Seule, triste et bafouée, elle fuira en pleurs vers la montagne.
Nous laisserons le soin aux lecteurs de profiter de la suite, une dure épreuve, dont Katja reviendra un peu chamboulée au camp en pleine nuit.
C'est assez bien vu de la part de l'auteure, respectant les sentiments ados, même sur un fantasme.
Katja, courageuse à la tâcgnhe, trouvera des regards et des écoutes bienveillantes qui s'assureront que la jeune Katja reparte aussi indemne qu'à son arrivée.
C'est une aventure sur la sensibilité, la force et la fragilité ado'.
Katja remontera la pente à double-titre mais l'auteure nous fera comprendre que d'autres, si jeunes, n'auront pas toujours cette chance.
C'est un titre qui mériterait d'être suivi d'une discussion, d'une confidence entre ados et adultes sur ce qu'ils ont envie de confier de leurs première blessures de coeur.
On a le droit de se tromper à cet âge et le ridicule dont on peut sourire avec bienveillance ne tue jamais.
Il existe aussi un Après avec les peines de coeur.
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Clément,Nolan et Alwena sont amis.Ils devaient partir en voyage avec l'école mais Alwena a eu un accident donc elle est restée à l'hôpital .Clément et nolan racontent tout ce qu ils font par mail;Mais un jour ,Alwena s'est rendue compte qu'on lui envoyer des mails faux pour l'occuper donc Clément s'est faché contre Nolan car c'était son idée de tout inventer.Puis,ils se sont réconciliés .Le jour avant de renter ,ils ont pris une photo pour la donner a Alwena.
J'ai bien aimé le livre car Clément et Nolan racontaient des choses fausses comme quand ils disaient qu ils suivaient une sorcière avec plein de chats derrière.
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J'aime le thème du livre et j'aime le bateau.Les personnages sont attachants comme le petit garçon.C'est un livre court et il est facile à lire.Ce que j'ai apprécié, c' est le suspense et le doute qui concerne la fin de l'histoire . On a envie de lire juste au bout.Résultat: moi qui n'aime pas lire, je lis plus souvent maintenant! Quentin
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D'un côté, j'ai bien aimé ce livre car il est cool. Il parle de la mer, de pêche, de voyage sur les vagues. le petit garçon Silas demande à son père d'aller avec lui en mer. le papa dit non au début, mais après il change d'avis. Il y a du suspense : au début tout va bien, puis le bateau se retrouve perdu dans le brouillard. Tout à coup, le bateau se soulève. le papa de Silas devient inconscient. Ce que j'ai moins aimé, c'est que je n'ai pas bien compris certains passages.
Khalil
Je critique ce livre parce que je l'ai lu. J'adore parce que j'aime les chapitres. Ça parle pas vraiment de la mer. Ça parle plus d'un garçon. le garçon veut aller sur la mer. Son papa ne veut pas l'emmener à la mer. Ce livre est bien. Voilà ma critique.
ANA
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Premier livre que je lis sur le sujet et c'est une réussite.
Le cadre en lui-même n'est pas banal pour un livre pour ados. On retourne dans les années 90 avec des lycéens dans une école d'art, et juste ça, ça permet de faire la différence. Très vite, on est immergés dans l'histoire, et on suit l'aventure des différents protagonistes (bien que certains soient plus en retrait que d'autres, et notamment Monel et Julien).
Leur histoire, mais surtout ce qu'ils ressentent, ce qu'ils traversent, et c'est à la fois pas évident, mais tellement bien retranscrit. Les amours naissants, les questionnements liés à la sexualité, ce livre cherche à dénoncer les préjugés et les pensées rétrogrades qu'ont pu avoir beaucoup trop de personnes. A l'époque, mais également encore aujourd'hui. Parce qu'il s'agit d'un sujet actuel, et encore aujourd'hui, le sida continue à tuer.
Le problème est posé. Ou même les problèmes. Parce qu'il ne s'agit pas seulement du sida ou du VIH, mais aussi de la sexualité, de l'homosexualité. De la mort. De la vie. Et de comment faire avec. Ce livre offre de vraies réflexions, mais si elles ne sont malheureusement pas toutes posées en profondeur. Peut-être à cause du militantisme assumé, mais il aurait pu être intéressant d'avoir un peu plus le point de vue de Julien et d'essayer de comprendre pourquoi celui-ci rejetait son (ex) meilleur ami, juste à cause de sa sexualité. Parce que pour vaincre l'homophobie, ne serait-il pas plus simple d'essayer de la comprendre ?
L'histoire est maîtrisée, et toute en émotions (et surtout la fin bien sûr, même si forcément on s'y attendait, ça ne perd rien de son petit effet). Le récit poignant et emprunt de réalisme. Vraiment une très bonne lecture.
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Comme toujours avec Gilles Abier , un texte fort et puissant .
Joli trio d’auteurs et un très beau résultat en seulement quelques pages .
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D’un trait de fusain est un roman qui parle de l’adolescence, de la première génération qui bien que postérieure à la libération sexuelle, ne pourra pas se permettre l’insouciance. On suit une bande de potes qui est dans un cursus artistique au lycée au moment où le sida devient « grand public ». A travers toute une galerie de personnages, on découvre la perte de l’insouciance, les réactions variées face à une épidémie qui peut les toucher à la moindre erreur. L’histoire est racontée de manière moderne et très accessible. Elle est construite de telle sorte qu’elle permet de s’intégrer à la bande et d’être partie prenante de leur destin. Il n’y a ni langue de bois ni pathos, on a un texte qui sonne juste et ça le rend d’autant plus puissant. J’ai beaucoup aimé la façon dont l’histoire est raconté et construite. Homosexualité, première fois, grandir, murir, militer, s’émanciper… beaucoup de thèmes importants en très peu de pages sont abordés. Petit bonus, l’affaire du sang contaminé est mentionné et ça fait du bien d’introduire cette voix de contamination. C’est un très beau texte qui touche et permet par sa distance dans le temps d’apporter un nouveau point de vue aux ados actuels qui ont grandi avec depuis toujours.
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Ce livre parle de deux garçons qui s'appellent Clément et Nolan. Clément et Nolan sont en classe de découverte sur l'île de Scobier, tandis que leur grande amie Alwena est bloquée à l'hôpital. Alwena est triste et se sent seule. Alors, pour qu'elle ne soit plus triste, Clément et Nolan lui racontent leurs aventures sur l'île de Scobier et même en inventent... Ainsi elle se sent du voyage elle aussi. J'ai bien aimé ce livre car il est rempli d'aventures et de suspense. Dans ce livre, certains événements sont tellement inattedus que j'en suis resté bouche bée. C'est pourquoi je vous conseille de lire ce roman.
Vickkash
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