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Citations de Claude Lévi-Strauss (421)


Le monde a commencé sans l’homme et il s’achèvera sans lui.
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Doit-on conclure de l'attribution immédiate, à cette nouvelle terre, par les Français, du nom de Brésil, et du grand nombre de termes empruntés directement par le français aux dialectes indigènes sans passer par l'intermédiaire des langues ibériques : ananas, manioc, tamandua, tapir, jaguar, sagouin, agouti, ara, caïman, toucan, coati, acajou etc...qu'un fond de vérité étaye cette tradition dieppoise d'une découverte du Brésil par Jean Cousin, quatre ans avant le premier voyage de Colomb ?
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- Le dialogue des civilisations est impossible. Les "rencontres historiques" entre des peuples que tout sépare se soldent toujours par l'aservissement d'une culture par celle qui est la plus technologiquement développée. Dans ces conditions, il vaut mieux que les peuples se côtoient sans se rencontrer... On ne peut être plus désabusé et pessimiste. Le discours dominant veut plutôt que les échanges soient porteurs d'enrichissement mutuel...
- "Le consentement, dixit Levi Strauss, (et non la coercition comme on a tendance à le penser aujourd'hui ! c'est moi qui commente..) est le fondement psychologique du pouvoir." "la réciprocité est un autre attribut fondamental du pouvoir ....par un jeu sans cesse renouvelé de prestations et de privilèges, de services et d'obligations"
Ceci, toujours selon Levi-strauss "n'est pas un phénomène purement moderne, C'est un retour à la nature fondamentale de l'organisation sociale et politique"
- Le désir d'obtenir richesses et privilèges n'explique pas fondamentalement la vocation pour devenir chef. Il ya dans tout groupe humain, des hommes qui, à la différence de leurs compagnons aiment le prestige pour lui-même, se sentent attirés par les responsabilités, et pour qui la charge des affaires publiques apporte avec elle sa récompense".

A elles seules ces deux connlusions vaudraient aujourd'hui à Levi-Strauss les pires quolibets s'il tentait de les expliquer à une assemblée incrédule, tant nous pensons que les hommes politiques sont attirés avant tout par les avantages que procure le pouvoir.

Que dire également de l'écriture, considérée par tous comme un outil d'émancipation des peuples à l'égard des puissants. Levi-strauss dit presque exactement le contraire, à savoir qu'elle apparait comme un instrument de domination de ces puissants envers les humbles. Selon l'auteur de tristes tropiques, elle parait "favoriser l'exploitation des hommes avant leur illumination" . "Sa fonction primaire est de favoriser l'asservissement". Mais il faudrait accompagner ces affirmations de larges extraits pour expliquer comment Levi-Strauss parivient à ces conclusions peu orthodoxes.

Que n'entendrait pas Levi-Strauss, quelle fatwa l'aurait frappé si les barbus fondamentalistes avaient lu le dernier chapitre du livre ! Pour l'auteur en effet, l'Islam, qui "se développe selon une orientation masculine", est, des trois religions, la pire qui soit. Son principal péché est d'avoir fait écran entre le Bouhisme (pour lequel il n'y a pas d'au-delà) et le christianisme. L'Islam comme le christianisme, cède à la peur de la mort en "rétablissant l'autre monde". Il est "l'occident de l'orient" . Il "enchaîne le monde temporel au monde spirituel", encore plus que le christianisme. Dans la religion révélée par Mahomet, "la politique devient théologie". A cause de l'Islam (et toujours selon Levi-Straus) "l'Occident a perdu sa chance de rester femme". Sans lui, une osmose de la pensée européenne eût été possible avec le boudhisme, "qui nous eût christianisés davantage et dans un sens d'autant plus chrétien que nous serions remontés en deça du christianisme lui-même". Religion intolérante par excellence bien qu'ayant inventé la tolérance envers les "infidèles", l'Islam (toujours selon Levi-Strauss) cloître et "néantise" autrui, à commencer par les femmes.
Là aussi, il faudrait citer l'ensemble du dernier chapitre pour comprendre les reproches adressés par Levi-Strauss à cette religion, qui n'on rien à voir avec une attitude raciste. Il reproche en effet à la France de ne pas donner l'égalité des droits aux µ25 millions de citoyens musulmans vivant à l'époque dans nos colonies et de ne pas faire
ce que fit l'Amérique en son temps, c'est dire de "gagner une pari dont l'enjeu était aussi grave que celui que nous refusons de risquer", à savoir de "se laisser submerger par cette vague" ... d'immigration.
Voilà de quoi montrer à l'éventuel futur lecteur de ce livre, que Levi-Strauss, tout en tenant parfois des propos "hérétiques" pour une pensée progressiste, n'est pas tout à fait le réac passéiste que certains voudraient nous présenter
- Enfin et surtout, comble du politiquement incorrect pour l'intelligentsia Française moderne, l'auteur de tristes tropiques fait un parallèle étrange, surprenant et "hérétique" pour des gens de gauche, entre la pensée issue des lumières et de la révolution d'une part et l'Islam d'autre part. Il observe, chez les musulmans et chez nous, "la même attitude livresque, le même esprit utopique, et cette même conviction obstinée qu'il suffit de trancher les problèmes sur le papier pour en être débarassé aussitôt"
Même croyance, dans les deux cultures, d'une supériorité sur les autres, même incapacité à penser les problèmes contemporains autrement que par l'évocation d'une grandeur passée :
"Nous ne nous rendons pas compte que l'univers ne se compose plus des objets dont nous parlons. Comme l'Islam est resté figé dans sa contemplation d'une société qui fut réelle il y a sept siècles, et pour trancher les problèmes de laquelle il conçut alors des solutions efficaces, nous n'arrivons plus à penser hors des cadres d'une époque révolue depuis un sicèle et demi, qui fut celle où nous sûmes nous accorder à l'histoire".

On ne peut mieux exprimer ce que je pense de la société française actuelle, de son conservatisme et de son conformisme anachonique sous un vernis de turbulence "révolutionnaire" frondeuse. Si l'on suit l'analyse telle que la propose Levi-strauss, cela expliquerait également la prépondérance de l'idéologie sur le pragmatisme chez les socialistes hexagonaux, qui prétendent avoir raison contre l'immense majorité de leurs camarades européens.

Concernant le rôle de guide historique que la France aurait à jouer dans le monde, il ne se passe pas une semaine sans que nos politiciens, de droite comme de gauche assignent au pays la tâche de montrer la voie de la justice au monde enier, qui est censé nous envier à jamais nos institutions et la politique menée par nos dirigeants. Tout ceci au motif que le siècle des lumières et la révolution (sur le papier et non dans les faits") a su théoriser les termes d'un nouveau contrat social. Comme l'a très bien dit Badinter : "La France n'est pas le pays des droits de l'homme, elle est le pays de la déclaration des droits de l'homme", ce qui fait écho à la critique exprimée ci-dessus par le père de l'anthrophologie structurale sur notre esprit livresque et utopique, rejettant le pragmatisme et la résolution des problèmes concrets se posant à notre société à un moment donné de l'Histoire....
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Claude Lévi-Strauss
Ce que je constate, ce sont les ravages actuels ; c’est la disparition effrayante des espèces vivantes, qu’elles soient végétales ou animales ; et le fait que l’espèce humaine vit sous une sorte de régime d’empoisonnement interne. Ce n’est pas un monde que j’aime.

(Lévi-Strauss lors de sa dernière apparition télévisée, en 2005, dans l’émission «Campus», sur France 2)
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L'humanité en progrès ne ressemble guère à un personnage gravissant un escalier, ajoutant par chacun de ses mouvements une marche nouvelle à toutes celles dont la conquête lui est acquise ; elle évoque plutôt le joueur dont la chance est répartie sur plusieurs dés et qui, chaque fois qu'il les jette, les voit s'éparpiller sur le tapis, amenant autant de comptes différents. Ce que l'on gagne sur un, on est toujours exposé de le perdre sur l'autre, et c'est seulement de temps à autre que l'histoire est cumulative, c'est à dire que les comptes s'additionnent pour former une combinaison favorable.
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De leur expérience éphémère de civilisation, les indigènes n'ont retenu que les vêtements brésiliens, la hache, le couteau et l'aiguille à coudre. Pour tout le reste, ce fut l'échec. On leur avait construit des maisons, et ils vivaient dehors. On s'était efforcé de les fixer dans des villages et ils demeuraient nomades. Les lits, ils les avaient brisés pour en faire du feu et couchaient à même le sol. Les troupeaux de vaches envoyés par le gouvernement vaguaient à l'aventure, les indigènes repoussant avec dégoût leur viande et leur lait.
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Claude Levi-Strauss, anthropologue (1908-2009). Extraits choisis de Tristes tropiques, Presses Pocket, pp. 475-490)  
« Les brefs contacts que j’ai eus avec le monde arabe m’ont inspiré une indéracinable antipathie.  ll m’a fallu rencontrer l’Islam pour mesurer le péril qui menace aujourd’hui la pensée française. [On ne peut que] constater combien la France est en train de devenir musulmane.
Déjà l’Islam me déconcertait par une attitude envers l’histoire contradictoire à la nôtre , et contradictoire en elle-même : son souci de fonder une tradition s’accompagne d’un appétit destructeur de toutes les traditions antérieures.
Dans la civilisation musulmane, les raffinements les plus rares – palais de pierres précieuses, fontaines d’eau de rose, mets recouverts de feuilles d’or – servent de couverture à la rusticité des moeurs et à la bigoterie qui imprègne la pensée morale et religieuse.
Sur le plan moral, on se heurte à une tolérance affichée en dépit d’un prosélytisme dont le caractère compulsif est évident. En fait, le contact des non-musulmans les angoisse.
Tout l’Islam semble être une méthode pour développer dans l’esprit des croyants des conflits insurmontables, quitte à les sauver par la suite en leur proposant des solutions d’une très grande (mais trop grande) simplicité. Vous inquiétez-vous de la vertu de vos épouses ou de vos filles ? Rien de plus simple, voilez-les et cloîtrez-les. C’est ainsi qu’on en arrive a la burka moderne, semblable à un appareil orthopédique.
Si un corps de garde pouvait être religieux, l’Islam paraîtrait sa religion idéale : stricte observance du règlement, revues de détail et soins de propreté, promiscuité masculine dans la vie spirituelle comme dans l’accomplissement des fonctions religieuses ; et pas de femmes. (…) Ils compensent l’infériorité qu’ils ressentent par des formes traditionnelles de sublimations qu’on associe depuis toujours à l’âme arabe : jalousie, fierté, héroïsme.
Cette religion se fonde moins sur l’évidence d’une révélation que sur l’impuissance à nouer des liens au-dehors. En face de la bienveillance universelle du bouddhisme, du désir chrétien de dialogue, l’intolérance musulmane adopte une forme insconsciente chez ceux qui s’en rendent coupables. S’ils ne cherchent pas toujours, de façon brutale, à amener l’autre à partager leur vérité, ils sont pourtant incapables de supporter l’existence d’autrui comme autrui.
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Bahia se déclara prêt à remonter le Pimenta Bueno au-delà de son itinéraire habituel, à la condition que je le paie en marchandises plutôt qu'en argent. [...]
Je lui cédai donc plusieurs pièces de flanelle rouge dont je m'étais dégoûté depuis qu'à Vilhena, en ayant offert aux Nambikwara, je vis le lendemain ceux-ci couverts de flanelle rouge des pieds à la tête, y compris les chiens, les singes et les sangliers apprivoisés ; il est vrai qu'une heure après, le plaisir de la farce étant épuisé, les lambeaux de flanelle traînaient dans la brousse où personne n'y fit plus attention.
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Chercher ses racines, c'est au fond se chercher soi-même. Qui suis-je ? Quels sont les ancêtres qui m'ont fait tel que je suis ? Des noms, d'abord, des dates, quelques photos jaunies ou, avec plus de chance, un testament, une lettre. Mais pourquoi ne pas aller plus loin, et à travers les métiers essayer de retrouver des caractères, des tempéraments, car les traits constitutifs de la personnalité sont associés par la tradition à l'exercice de divers artisanats. Ces traits relèvent de trois ordres : les traits physiques, la moralité, la psychologie. Cette pensée populaire prétend se fonder sur l'expérience mais met aussi en oeuvre toutes sortes d'équivalences symboliques...

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On se doute que les Nambikwara ne savent pas écrire; mais ils ne dessinent pas davantage, à l'exception de quelques pointillés ou zigzags sur leur calebasses. Comme chez les Caduveo, je distribuai pourtant des feuilles de papier et des crayons dont ils ne firent rien au début; puis un jour je les vis tous occupés à tracer sur le papier des lignes horizontales ondulées. Que voulaient-ils donc faire? Je dus me rendre à l'évidence; ils écrivaient ou, plus exactement cherchaient à faire de leur crayon le même usage que moi, le seul qu'ils pussent alors concevoir, car je n'avais pas encore essayé de les distraires par mes dessins. Pour la plupart, l'effort s'arrêtait là; mais le chef de bande voyait plus loin. Seul, sans doute, il avait cmopris la fonction de l'écriture. Aussi m'a-t-il réclamé un bloc-notes et nous sommes pareillement équipés quand nous travaillons ensemble. Il ne me communique pas verbalement les informations que je lui demande, mais trace sur son papier des lignes sinueuses et me les présente, comme si je devais lire la réponse. Lui-même est à moitié dupe de sa comédie; chaque fois que sa main achève une ligne, il l'examine anxieusement comme si la signification devait en jaillir, et la même désillusion se peint sur son visage. Mais il n'en convient pas; et il est tacitement entendu entre nous que son grimoire possède un sens que je feins de déchiffrer; le commentaire verbal suit presque aussitôt et me dispense de réclamer les éclaircissements nécessaires.
Or, à peine avait-il rassemblé tout son monde qu'il tira d'une hotte un papier couvert de lignes tortillées qu'il fit semblant de lire et où il cherchait, avec une hésitation affectée, la liste des objets que je devais donne en retour des cadeaux offerts; à celui-ci, contre un arc et des flèches, un sabre d'abatis! à tel autre, des perles! pour ses colliers... Cette comédie se prolongea penant deux heures. Qu'espérait-il? Se tromper lui-même, peut-être; mais plutôt étonner ses compagnons, les persuader que les marchandises passaient par son intermédiaire, qu'il avait obtenu l'alliance du blanc et qu'il participait à ses secrets.
pp. 349-350 (Une leçon d'écriture)
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La nudité des habitants semble protégée par le velours herbu des parois et la frange des palmes: ils se glissent hors de leurs demeures comme ils dévêtiraient de géants peignoirs d'autruche.
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Ce qui empêche l'homme d'accéder au bonheur ne relève pas de sa nature, mais des artifices de la civilisation.
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La civilisation occidentale a établi ses soldats, ses comptoirs, ses plantations et ses missionnaires dans le monde entier ; elle est, directement ou indirectement, intervenue dans la vie des populations de couleur ; elle a bouleversé de fond en comble leur mode traditionnel d'existence, soit en imposant le sien, soit en instaurant des conditions qui engendraient l'effondrement des cadres existants sans les remplacer par autre chose.
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L'écart entre l'excès de luxe et l'excès de misère fait éclater la dimension humaine.
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Quelques dizaines de mètres de forêt suffisent pour abolir le monde extérieur, un univers fait place à un autre, moins complaisant à la vue, mais où l’ouïe et l'odorat, ces sens plus proches de l'âme, trouvent leur compte. Des biens qu'on croyait disparus renaissent : le silence, la fraîcheur et la paix. L'intimité avec le monde végétal concède ce que la mer maintenant nous refuse et ce dont la montagne fait payer trop chèrement le prix.
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Si l'écriture n'a pas suffi à consolider les connaissances, elle était peut-être indispensable pour affermir les dominations. Regardons plus près de nous: l'action systémique des Etats européens en faveur de l'instruction obligatoire, qui se développe au cours du XIXe siècle, va de pair avec l'extension du service militaire et la prolétarisation. La lutte contre l'alphabétisme se confond ainsi avec le renforcement du contrôle des citoyens par le Pouvoir. Car il faut que tous sachent lire pour que ce dernier puisse dire: nul n'est censé ignorer la loi.
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"L'exploration de notre monde n'a pas de fin, le spectacle de la vie est une perpétuelle découverte : toute aussi fragiles, les théories sur les sociétés humaines se succèdent. L'Homme est un inconnu pour l'Homme. " - Terre Humaine
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A ma grande déception, les Indiens du Tibagy n'étaient donc, ni complètement des " vrais Indiens" ni, surtout, des "sauvages". Mais, en dépouillant de sa poésie l'image naive que l'ethnographe débutant forme de ses expériences futures, ils me donnaient une leçon de prudence et d'objectivité. En les trouvant moins intacts que je n'espérais, j'allais les découvrir plus secrets que leur apparence extérieure n'aurait pu le faire croire. Ils illustraient pleinement cette situation sociologique qui tend à devenir exclusive pour l'observateur de la seconde moitié du xx e siècle, de "primitifs" à qui surmonté le péril qu'ils étaient censés représentern on s'est ensuite désintéressé. Formée pour une part d'antiques traditions qui ont résisté à l'influence des blancs (telle la pratique du limage et de l'incrustation dentaires, si fréquente encore parmi eux), pour une autre, d'emprunts faits à la civilisation moderne, leur culture constituait un ensemble original dont l'étude, si dépourvue de pittoresque qu'elle pût être, ne me plaçait pourtant pas à une école moins instructive que celle des purs Indiens que je devais approcher ultérieurement.
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Trop près de la paroi pour considérer l'ensemble, j'examinais surtout les détails. Des plantes plus copieuses que celles d'Europe dressent des tiges et des feuilles qui semblent découpées dans le métal, tant leur port est assuré et tant leur forme pleine de sens paraît à l'abri des épreuves du temps. Vue de dehors, cette nature est d'un autre ordre que la nôtre ; elle manifeste un degré supérieur de présence et de permanence. Comme dans les paysages exotiques d'Henri Rousseau, ses êtres atteignent à la dignité d'objets.
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De ce point de vue, l'enseignement philosophique exerçait l'intelligence en même temps qu'il desséchait l'esprit.
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