Diana Gabaldon

Les aventures de Jamie et Claire : la suite.

Nos héros sont maintenant bien installés dans le Nouveau Monde, avec Brianna et Roger, mais la petite vie tranquille à laquelle ils aspirent tous ne semble pas être pour eux. Ils plongent de nouveau dans les machinations politiques et voient de profiler à l'horizon la Guerre d'Indépendance, en tentant de s'y préparer au mieux.

J'aime les personnages de cette histoire, même s'ils ne sont pas très crédibles et parfois agaçants. les scènes érotiques deviennent un peu pénibles, surtout qu'en plus de Claire et Jamie, on a maintenant Briana et Roger. Il y a aussi de plus en plus de longueurs. Même si ça se lit très bien, j'ai souvent eu la sensation que l'auteure voulait étirer la sauce pour faire durer le plaisir, comme par exemple les 2 mariages, qui sont étendus sur plusieurs chapitres. Mais ça fait plutôt l'effet inverse et l'ennui se fait sentir.

Malgré tout ça, je suis très attachée aux personnages et j'apprends un peu sur l'histoire des Etats-Unis. Je reste fan de cette série et continuerai avec plaisir.
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Traduit de l'anglais par Philippe Safavi



Dans ces tomes 7/1 et 7/2 se poursuit la guerre d'Indépendance.

Jamie et Claire sont bien sûr toujours impliqués au plus près de l'action. Pour Jamie, facile de choisir son camp, puisque Claire connaît la fin de l'histoire. Mais Jamie ne se contente pas de l'Amérique. Il veut retourner en Ecosse, d'abord pour tenir la promesse qu'il a faite à sa soeur, à savoir ramener Ian le jeune et ensuite pour récupérer sa presse d'imprimerie.

William, son fils qui n'est pas son fils, prend un peu plus de place. Et nous suivons aussi Brianna, sa fille, et Roger, son gendre ainsi que ses petits-enfants, retournés au XXe siècle.

Comme toujours, plein de péripéties jalonnent l'histoire ce qui la rend palpitante.

Je vais de ce pas emprunter le tome 8.

Voici 20 ans que Claire a laissé Culloden dernière elle. Vingt ans qu’elle a laissé Jamie derrière elle. Vingt ans qu’elle le croit mort. Aujourd’hui, 1968, de retour sur les terres d’Ecosse, Claire et sa fille, Brianna, sont sur les traces de Jamie. Aidé par Roger Wakefield, leurs recherches les mèneront vers des découvertes inattendues. Culloden n’était pas sa dernière bataille. L’espoir et des désirs de retour vers un passé naissent.



3 Ème tome de la saga d’outlander, le voyage.

Diana Gabaldon nous offre un florilège de personnages tous essentiels, différents, charismatiques et utiles. On voyage au travers des époques et des continents. L’aventure commence à être palpitante, même si quelques hasards heureux ou non, peuvent faire sourciller. L’histoire est tissée de nombreux fils rouges qu’on pourrait si perde, mais lorsque ceux-ci se rejoignent, la lecture en devient jouissif.

L’auteur nous offre un voyage inoubliable, avec une destination pleine de promesse sur une suite alléchante.

J’attendais de lire ce quatrième tome avec impatience et je ne suis absolument pas déçue. Bien au contraire, je l’ai dévoré. On y retrouve Claire et Jamie aux États-Unis ou ils vont reconstruire leur vie. Les grands espaces, les indiens d’Amérique, les premières colonies, l’esclavage et l’approche de la guerre de sécession : c’est une période de l’histoire que j’ai toujours beaucoup aimé et j’ai pris plaisir à redécouvrir tous ça au sein de l’intrigue.



Mais surtout le moment que j’attendais vraiment est enfin arrivé : la rencontre entre Jamie et sa fille Brianna. Roger est de la partie également et je dois dire que leurs trois caractères écossais font des scènes plutôt cocasses. Claire, quand à elle, est toujours fidèle a elle-même : une femme forte, indépendante et comme toujours elle m’impressionne par sa capacité d’adaptation.

"- J’ai dit que tu vivrais ici en tant que son mari. Mais si tu la touches contre son gré, je t’arrache le cœur et le donne aux cochons. Tu m’as bien compris ?

Roger baissa les yeux vers la lame, et scruta Jamie dans le blanc des yeux.

- Vous croyez que je prendrais une femme contre son gré ?

C’était une question étrange, dans la mesure où Jamie l’avait déjà tabassé en se fondant précisément sur cette opinion erronée. Roger posa la main sur celle de Jamie et la poussa violemment, planta la pointe de la lame dans le bois de la table.

Jamie rengaina son arme et courut derrière lui.

Brianna me lança un regard désemparé.

- Qu’est-ce qu’il va fai…

Elle fut interrompue par un bruit sourd contre le mur extérieur, suivi d’un grognement de douleur et de la voix mâle de Jamie, éructant en gaélique :

- Si tu la maltraites, je te couperai les couilles et te les ferai bouffer !

Je lançai un regarde vers Brianna. Manifestement, elle avait appris suffisamment de gaélique pour apprécier le style de son père. Elle ouvrit la bouche mais aucun son n’en sortit.

Il y eut un bref bruit de lutte à l’extérieur, suivi d’un second coup, que j’interprétai comme celui d’une crane heurtant une pile de bois.

Roger n’avait pas la rage froide de Jamie, mais sa voix vibrait de sincérité :

- Si tu lèves la mais encore une fois sur moi, espèce de vieux con, je te tranche ta tête d’enfoiré et je te la fourre dans le cul, d’où elle n’aurait jamais dû sortir !

Un silence perplexe s’installa, puis un bruit de pas s’éloigna.

Quelques instants plus tard, Jamie émit un grognement tout écossais et partit de son côté.

Brianna leva des yeux médusés vers moi.

- Ce n’est rien, lui assurai-je. Juste une surcharge de testostérone.

- Tu as un remède contre ça ?

La commissure de ses lèvres tremblait, mais je n’aurai su dire si elle réprimait une envie de rire ou une crise de nerfs.

- L’excès de testostérone a deux effets, dis-je enfin. L’un d’entre eux est ce qui les incite à s’entre-tuer.

- Je vois. Et l’autre ?

Nous échangeâmes un regard entendu.

- Je m’occupe de ton père, répondis-je. Quand à Roger, ça dépend de toi."



Une nouvelle intrigue vient s’ajoutait, la découverte d’un crane avec un plombage dans une dent et d’une nouvelle porte pour passer dans le passé / futur. Je suis curieuse d’en connaitre davantage et je pense qu’on en saura plus dans les tomes à venir qu’il me tarde de découvrir.
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J'ai découvert les livres pendant le tournage de la saison 1 il y a deux ans (merci cici899 :-) ). J'ai tout de suite accroché à cette histoire qui mêle plusieurs ingrédients : romance historique, voyage dans le temps, aventures, Écosse, ...



La seule chose qui me dérange est le fait que la traduction ne soit pas en texte intégral. Je m'en suis rendue compte au hasard des citations postées sur un site anglophone de fans. À plusieurs reprises je me suis dite que j'avais dû louper des passages. Que nenni!! En lisant la version originale j'ai pu constater qu'il y avait des pages et pages qui n'avaient pas été traduites.



Pour citer un exemple, si vous prenez le chapitre "Un si beau jour" toute la partie où Jamie emmène Claire pêcher n'a pas été traduite. Pourtant sur la 4ème de couverture de réédition chez J'ai Lu (j'ai les livres publiés au Grand Livre du Mois) il est indiqué "texte intégral". Ouaich...



Je relis donc toute la série en anglais... quand on aime!!



Quoi qu'il en soit, j'adore! À lire sans modération.



PS : sur mon blog j'ai commencé à faire un relevé des passages non traduits.


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Ecosse, 1945. La guerre s'est terminée il y a quelques semaines. Claire retrouve son époux après plusieurs années d'absence. Elle est infirmière. Frank est un soldat de retour du front. La Guerre Mondiale n'est pas très loin. Il faut maintenant tout reconstruire, et se reconstruire. Claire et Frank passe des vacances bien méritées à Inverness. Ils les vivent comme une seconde lune de miel. Entre balades et repos, leur séjour se passe à merveille. Au cours d'une promenade en solitaire à Craig na Dun, un site sur lequel se trouve un mégalithe, source de légendes, Claire explore les lieux avec intérêt et curiosité.C'est un endroit étrange, mystique. Il fait partie des croyances ancestrales. En s'y approchant de plus prêt, alors que le soleil éclaire un angle, un bourdonnement se fait brusquement entendre. Claire se retrouve comme emportée dans un tourbillon. Elle disparaît et atterrit non loin de là. L'endroit n'est pas très éloigné.



Mais, elle se trouve en 1743 dans le monde qui oppose les anglais et les Highlanders.



J'ai enfin commencé cette saga que je vois passer depuis une éternité. "Le chardon et le tartan" est le premier tome des aventures de cette jeune femme qui se retrouve prisonnière de l'Histoire, dans un monde inconnu et violent.



Avec Claire, on découvre les batailles écossaises, les révoltes jacobites, la férocité des dragons, l'armée anglaise, et la terrible opposition des highlanders, clans vivant sur les terres du nord.



Elle n'est pas seule car, sauvée in extremis d'entre les mains d'un soldat, elle est emmenée dans le clan des MacKenzie. C'est là qu'elle rencontre Jamie, un jeune homme rebelle, entêté et terriblement séduisant. Pour la protéger, Jamie va la faire traverser le pays.



Ce premier tome pose les bases de la saga. A travers ses personnages, il y a de la romance, un contexte historique palpitant, l'histoire et le fonctionnement des clans, la nature écossaise et une dose de fantastique grâce au voyage dans le temps de son héroïne.



Le livre est une sacrée brique et pourtant il se lit très bien, facilement et vite. La série compte une dizaine de tomes, tous pareils voir encore plus conséquents pour certains. Il me tarde de continuer à lire les aventures de Claire et Jamie et de découvrir si Claire réussira à retourner à son époque.



Une lecture absolument captivante !

Premier tome d'une série que j'ai absolument adorée !

Un vrai coup de cœur !



Une fois n'est pas coutume, j'ai d'abord vu les trois premières saisons sur Netflix, qui restent d'ailleurs mes trois saisons préférées, puis j'ai lu les livres.

L'adaptation est d'ailleurs bien fidèle à l'univers de Diana Gabaldon.

Et les acteurs et les actrices correspondent bien à l'image que je m'en étais faite.



C'est une saga passionnante avec des allers-retours dans le passé, des personnages fascinants, la guerre entre les Anglais et les Écossais, du surnaturel, des moments historiques, des moments sensuels, des moments dramatiques, des rebondissements... Et le style envoûtant de l'auteure.

Même si je le reconnais, parfois il y a quelques longueurs dans les derniers tomes et dans les derniers épisodes de la série.



Team Jamie Fraser.

Team Lord John Grey.

Team Black Jack Randall.



Alors oui, je vous assure on peut faire partie de plusieurs teams différentes et on peut à la fois être attirée par le bien et par le mal !

Après avoir refermé le tome précédent, je m'étais dit qu'il allait falloir attendre avant de me plonger dans le tome suivant, ayant eu un peu de mal à le finir.

Ai-je trop attendu? Car force est de constater que j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ce tome.

J'ai retrouvé Claire et Jamie avec beaucoup de plaisir mais les très (trop) longues descriptions des connaissances De Claire et de ses moindres occupations m'ont franchement lassée. Toute la narration se noie dans une avalanche de petits détails, de personnages et de petits faits sans conséquence qui finissent par délayer l'histoire et rendre le tout terriblement monotone (surtout au début du roman, j'admets que la fin du roman est beaucoup plus dynamique).

Je n'ai que peu d'affinités pour le couple Roger-Brianna et les personnages que j'ai beaucoup aimés dans les tomes précédents (comme Fergus et Marsali par exemple) font ici à peine de la figuration.

Je suis tout à fait consciente que la dimension sexuelle est une des composantes principale de cette série mais dans ce tome ça m'a paru terriblement poussif pour ne pas dire compulsif.

Tout ça me conduit à ce triste constat : je pense que j'en ai terminé Claire et les siens. Je suivrai la suite de leurs aventures en regardant la série, si elle va jusque là.

Je suis un peu triste, j'aurais aimé retrouver mon engouement des trois premiers tomes...

Claire vient de retrouver son mari, Franck après les conflits de la deuxième guerre mondiale qui les avaient séparés. Mais elle aura à peine le temps de souffler: un cercle de menhirs l'envoit directement deux cents ans en arrière, en 1743. Et l'Ecosse de cette période ne correspond pas à celle qu'elle a quitté. Conflits entre les Anglais et les Ecossais, vie beaucoup plus rude, superstitions et légendes qui prennent beaucoup de place, ...

Claire se retrouve quasi nez à nez avec l'ancêtre de Franck, un certain Jonathan Randall qui doit être la pire crapule que la terre ait crée.

Pour échapper à son emprise, elle se marie avec James Fraser, un Highlander dont la tête est mise à prix par les Anglais. Claire va devoir s'adapter à sa nouvelle vie et à son nouveau mari. Parviendra-t-elle à laisser son ancienne vie de côté?



Ah la la, que dire de cette lecture? Le bilan est très positif. J'ai aimé l'idée du voyage dans le temps, la description précise des moeurs de l'époque, le rythme soutenu (on ne s'ennuit pas une seule seconde et cela veut tout dire vu l'épaisseur du premier tome: plus de 800 pages), la romance (aaaah Jamie, j'en veux un pareil :D)...



L'auteure a fait un vrai travail de recherches: moeurs, contes et légendes, superstitions, faits historiques, remèdes et médecine, ...

Je suis admirative devant autant de précision et d'informations. Je me suis sentie téléporter au XVIIIème siècle en Ecosse sans aucun problème.



J'ai eu un peu de mal avec deux aspects de l'histoire:

1- Claire s'adapte très vite à sa nouvelle vie. Je pensais la voir beaucoup plus tourmentée, pensant sans arrêt à Franck et à ce qu'elle avait laissé derrière elle. Or, très vite, on oublie qu'elle ne fait pas partie de leur monde, de leur époque. C'est un peu trop rapide à mon goût.

2- Je sais que nous sommes au XVIIIème, que c'est une période où la violence, la brutalité ne se cachent pas mais j'ai eu du mal avec certaines scènes plus que barbares. Flagellations, viols, tortures de toutes sortes, ... sont monnaies courrantes et il était parfois difficile de s'imaginer autant d'horreurs. Ce qui arrive à Jamie dans la prison de Wentworth m'a donné des sueurs froides!

Du coup, je ne pense pas visionner la série dérivée de cette saga malgré ma curiosité. Dommage...



Un énorme point positif pour moi, ce sont les personnages. Claire est une femme forte, déterminée, infirmière de profession. Elle essaie de se rendre utile, ne se laisse pas marcher sur les pieds et laisse son coeur lui montrer le chemin.

Jamie est mon petit chouchou (comme pour beaucoup :p). De premier abord, c'est un rustre, obéissant à des règles archaïques mais il se montre beaucoup plus subtil que prévu. J'ai aimé son courage, sa compassion, son humour, son caractère emporté et ses cheveux roux :p!

J'ai eu le coeur au bord des lèvres en lisant les derniers chapitres :(.

Ce qui nous mène au grand méchant de l'histoire: Jonathan Randall. Cela fait très longtemps que je n'ai pas détesté un personnage autant que celui ci.

Cruel, vicieux, violent, manipulateur, sadique, ... Et je peux encore continuer. On ne peut qu'haïr cet homme qui sème malheur et désolation partout où il passe.

Les autres personnages sont aussi très bien pensés et écrits, mentions pour Dougal et Colum MacKenzie, Murtagh et Geillis Duncan.



Le mélange action/histoire/romance fonctionne. L'auteure m'a donné envie de continuer sa saga malgré les petits bémols, c'est donc une réussite :p!

Ma sœur m'a prêté le premier tome de cette saga, véritable pavé, dont je n'avais jamais entendu parler. J'ai commencé les premiers chapitres, puis laissé tombé car je trouvais cela ennuyeux. Puis j'y suis revenue quelque temps après. Et là j'ai eu la patience d'aller jusqu'au fameux voyage dans le temps du personnage principal. Et vraiment je n'ai plus réussi à lâcher le roman. Il y a de l'aventure, de l'humour, de l'émotion, des personnage auxquels on s'attache. J'ai hâte de connaître la suite.

Après avoir eu une belle replongée dans l'univers de Claire et Jamie avec le tome 6, j'ai attendu moins longtemps que d'habitude pour lire la suite. Cette première partie du tome 7 m'a un peu déçue. J'ai trouvé qu'il ne s'y passait pas grand chose. Pourtant il y aurait eu de quoi faire, puisqu'il y a Claire et Jamie au XVIIIème siècle qui veulent repartir en Écosse, Brianna et Roger au XXème siècle qui essaient de reprendre une vie normale après toutes leurs aventures, et William, qui commence à prendre une place importante dans la saga.

Malgré tout ça, ou peut-être à cause de tout ça, j'ai décroché parfois, j'ai trouvé que ça se trainait, qu'il manquait une sorte de fil conducteur qui aurait pu retenir mon attention un peu plus. Là, chacun vit sa vie de son côté. C'est un peu plus ennuyeux quand il y a moins d'interractions entre les membres de cette famille très spéciale.

Je suis toujours une grande fan de cette saga. J'ai tout de même apprécié ce tome. Je considère qu'il s'agit d'un petit coup de mou, peut-être dema part, et je continuerai avec plaisir la série.
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Une quatrième un tantinet spoilante à mon goût.



 De nouvelles rencontres, de nouveaux paysages, Diana Gabaldon apporte une nouvelle rigueur aux aventures de Jamie et Claire Fraiser qui s'etablissent en Caroline du Sud. 



Un quatrième tome malgré un démarrage assez lent, ne rend pas la saga moins additif. 



Riche en surprise et historiquement parlant. Le lecteur voyage dans le nouveaux monde du XVIIIe siècle, au temps des pirates, des indiens et de l'esclavagisme. 





A l'Aube de la guerre de l'indépendance, les Fraiser s'installe sur une concession qui leur est donné par le gouverneur. En bon dirigeant, Jamie partage ses terres avec  ses compagnons d'autrefois et de toujours. Le rêve d'une nouvelle vie est à porté de mains, mais l'Histoire en a choisi autrement. La menace n'est jamais loin, mais rien n'est tracé.



Au XXe siècle, Brianna et Roger suivent les  parent de la jeune fille au travers des archives. Une decouverte pourrait bien tout changer. 

La suite tant attendue... sauf que n'ayant pas pu attendre je l'avais déjà lue à sa sortie en anglais fin 2014.



J'ai beaucoup aimé ce volume et le découpage.



Une première partie avec la valse des personnages autour du retour de Jamie en Amérique (1778) : Claire, Jenny, Ian, Rachel, Germain, Lord John, William, etc. Je me suis beaucoup amusée cela donnerait bien en pièce de théâtre et cela s'intitulerait : 17, Chesnut Street.



Deuxième partie autour de Roger et Brianna. Celle-ci et les enfants se trouvent toujours en 1980 et sont confrontés à une grave menace. Elle va défendre ses petits telle une valkyrie! Il y a de l'action! Pour sa part, Roger et son ancêtre Buck sont... ailleurs. C'est vraiment palpitant!



Troisième & quatrième parties, l'histoire reprend en 1778 et l'histoire se recentre un peu plus sur Jamie et Claire mais on suit toujours les autres personnages qui gravitent autour.



Dans une saga de ce genre il est impossible de rester toujours autour des deux personnages principaux. On parle de romance parce qu'il y a une grande histoire d'amour entre Jamie et Claire mais c'est surtout un roman historique où l'on croise des personnages qui ont vraiment existé comme Lafayette et George Washington.



La première partie de ce volume se termine sur un cliffhanger enfin... pas pour moi. D'où la question : pourquoi le livre sort en un volume en anglais et en deux en français??



Bref, un excellent moment de lecture :-)



Challenge pavés 2016-2017
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Lorsque je me suis lancé dans ce nouveau tome je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre ce qui m’a fortement déstabilisé. Je venais de quitter nos héros sur une touche plus qu’apaisante ce qui n’est pas dans les habitudes de l’auteure.



Ce que j’ai particulièrement apprécié avec cet opus c’est que Diana prend tout son temps avant de plonger nos héros dans de nouvelles terreurs. Nous continuons ainsi à suivre l’évolution de Fraser’s Ridge et celle de ses habitants. Petit à petit une vraie communauté, où j’ai pris plaisir à voguer avec eux, naît. J’ai adoré partager avec eux les mariages, les naissances et autres cérémonies typiquement écossaises remplies de coutumes. D’ailleurs Claire se dévoile être, dans ces moments là, une assez mauvaise maîtresse de maison ce qui m’a très peu surpris et surtout bien fait rigoler. Grâce à sa plume délicate j’ai eu l’impression de connaître encore davantage les personnages. Comme à son habitude l’auteure en délivre encore un peu plus sur le ressenti de chacun face à des situations aussi inhabituelles qu’anodines. En refusant de plonger directement au cœur du conflit historique qui se dresse progressivement devant nos écossais expatriés c’est, nous, lecteurs que Diana torture. Comme un chirurgien avant une intervention, l’auteure nous endort paisiblement pour ne pas avoir à trop souffrir de ce qui se passera par la suite. J’ai apprécié ce choix autant que je l’ai détesté. Tout au long de cette lecture je me suis demandé ce qu’il adviendrait de mes personnages favoris et leurs anciens compagnons de route. Une chose étonnante c’est que tous les personnages perdus en cours de route continuent de vivre à travers chaque tome à l’aide de souvenirs ou d’anecdotes les concernant. Jamais Diana n’oublie de les mentionner.



Une fois dans le nerf de la guerre d’Alamance (préquel de la guerre d’indépendance à venir) opposant le gouvernant et les rebelles, tout s’enchaîne si rapidement que j’ai encore une fois cru être moi même un soldat à la somme de Jamie Fraser. Combattre avec lui est vraiment terrible, l’auteure m’a plus d’une fois apeuré avec de telles horreurs et tellement attristé que j’ai eu plus d’une fois les larmes aux yeux.

De plus pendant cette partie et tout le long du roman le travail de Claire en tant que médecin et merveilleusement bien mis en avant ce qui m’a complètement conquis et hypnotisé. Étant moi-même du milieu médical j’adore vraiment m’imaginer exercer mon savoir dans une ère d’antan ou ni mon matériel ni mes méthodes n’existent encore. J’ai aimé la voir s’extasier devant un microscope ou créer une seringue. Tout porte à croire que c’est Claire qui a créé les bases de la médecine. D’ailleurs je me demande souvent comment sera notre monde dans quelques centaines d’années et rien que pour ça je vous jure que je réalise un voyage dans le temps à chaque fois que je tourne les pages. A croire que Diana vient elle-même du passé pour nous conter sa vie à travers le personnage de Claire.



Ici encore l’auteure traite un sujet historique avec beaucoup de maîtrise. Son travail de recherches est indéniablement mis en avant dans cet épisode et j’ai aimé en apprendre d’avantage sur ce qui a pu pousser des hommes à se livrer bataille pour quelques impôts et autres oppressions de la part de leur gouvernement. D’ailleurs je vote pour que cette saga entre dans les programmes scolaires. Adorant déjà cette matière j’aurais encore été plus conquis par l’Histoire avec de telles fictions réalisées à l’aide d’un fond de réalité.

D’autant plus que ce futur acte permet à Diana de parfaire encore plus ses personnages. Je pense surtout à Roger que nous avons quitté amoureux mais en quête d’identité et cherchant sa place au sein de cette grande famille. Il se révélera être ici un homme doté d’un énorme courage et du sens des responsabilités. Ses doutes et craintes feront de lui un énorme allié pour Jamie. A eux deux ils forment un nouveau duo plein d’étincelles. Sans rien dévoiler pour ne rien gâcher à votre lecture j’ai trouvé que Diana en faisait, avec ce tome, presque son héros en pied d’égalité avec Claire ou Jamie. C’est comme-ci l’auteure faisait passer le flambeau de ces derniers à leurs héritiers afin de ne pas faire mourir son oeuvre. Les épreuves que fera subir Diana à son petit cocon renforce de manières inconsidérée les liens déjà si puissants qui unissent chaque membre de cette robuste fratrie. Le dicton ‘ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort’ prend tout son sens avec ce tome et rend, de ce fait, les héros de l’auteure invincibles.



A l’aide de la dernière partie de ce roman, Diana parvient à tisser encore plus sa très grande toile et nous en dévoile encore plus sur cette mystérieuse faculté qu’ont certaines personnes à voyager à travers les siècles. Le lot de révélations que livre l’auteure dans ces derniers chapitres attisent toujours autant ma curiosité sur ce qu’elle réserve à ses personnages. Pourtant une fois encore la saga pourrait se conclure sur cette touche paisible mais bien trop incertaine. Remplise de convictions, la bande de Jamie est prête à tout affronter du moment qu’ils restent soudés et liés par le passé, le présent ainsi que le futur.



La plume de Diana est comme à son habitude très aboutie, touchante et surtout addictive. Malgré la longueur de ce tome, et même si l’auteure prend son temps je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. J’ai dévoré ce récit et j’ai adoré lire et relire ses multiples et méticuleuses descriptions concernant un lieu, un personnage ou tout simplement un acte chirurgical que réalise Claire. Plus d’une fois j’ai cru sentir moi aussi les odeurs des pins et des épices ainsi que celle du sang et de la sueur bien souvent évoquées au cours de cet épisode. Je ne sais pas comment Diana réussit autant à me captiver dès les premières pages de ces romans et surtout comment elle sait appuyer là où il faut pour me faire ressentir tellement d’émotions allant de l’amour à la peine en seulement quelques lignes. Plus d’une fois au cour de cette lecture j’ai été blasé de devoir fermer mon livre pour réintégrer la réalité. Je devrais être habitué par ce sentiment puisque c’est déjà le cinquième tome que je lis mais je pense que même après une infinité de volumes je ne serais jamais rassasié de l’univers si vaste mais tellement attachant de Diana.

J’ai apprécié aussi l’effort que réalise l’auteure face aux langues utilisées dans son récit par nos héros pour donner un aspect encore plus authentique à sa fiction. J’imagine encore une fois les recherches qu’a du effectuer l’auteure pour nous chuchoter ses phrases gaéliques, indiennes ou tout simplement françaises.



Je ne sais plus comment conclure mes chroniques autrement que par dire que ce roman est toujours et encore un énorme coup de cœur. Je ne peux que vous recommander ce tome et cette saga. L’auteure laisse encore planer beaucoup de mystère et je suis impatient de continuer mon aventure mais j’appréhende aussi de me rapprocher de l’ultime guerre qui menace nos héros.
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L’adieu aux abeilles, le neuvième tome de la saga Le chardon et le tartan, est revenu se lover dans ma vie littéraire, le temps d’une lecture avide et bienfaisante. J’ai renoué avec un immense plaisir aux grandes et petites aventures des personnages créés par Diana Gabaldon.

Brianna, Roger et leurs deux enfants sont revenus du XXe siècle rejoindre Claire et Jamie en 1779 dans leur domaine de Fraser Ridge aux confins des montagnes de la Caroline du Nord. La guerre d’indépendance américaine fait rage sur la côte Est et les colons établis plus à l’Ouest ne sont pas à l’abri d’un déplacement des milices combattantes. Entre-temps, le quotidien des familles d’origine écossaise, irlandaise et britannique se déroule au gré des saisons et des tâches nécessaires à la survie. L’autonomie et la débrouillardise sont au rendez-vous pour y parvenir et ce, dans tous les domaines. C’est ce qui occupe d’ailleurs la plus grande partie du roman, de même que le retour à certains événements passés. Diana Gabaldon possède cet art de raconter avec une fluidité et une subtilité dans les dialogues qui contribuent, je crois, au succès de cette œuvre hors du commun.

La deuxième partie doit paraître ce printemps et j’attends avec impatience sa traduction française pour m’y plonger avec délices.

Un coup de cœur ❤



J'ai adoré cette lecture, et j'ai donc dévoré ce pavé de 853 pages en 6 jours. Il faisait partie des livres, que j'hésite à commencer car, avant de l'ouvrir, je préssent un coup de cœur, et donc un pincement au cœur en refermant le livre après la dernière page.... Heureusement ce n'est qu'un tome 1. Je retrouverai donc les personnages dans les tomes suivants 🥰



L'histoire est addictive : Claire est en vacances en Ecosse avec son mari, afin de se retrouver après la guerre en 1945, et de profiter enfin l'un de l'autre. Mais lors d'une balade, sur un site de mégalithes, elle est attirée par une pierre et se retrouve "aspirée" et projetée en 1743, toujours en Écosse, au milieu du conflit entre Highlanders et anglais.



Elle y découvre une époque, des traditions, des modes de vie, totalement différents de sa vie en 1945, et auxquels elle va devoir s'habituer. Les différentes actions qu'elle va vivre, les personnages qu'elle va rencontrer, sa nouvelle vie,... tout est sublimement écrit par l'autrice. J'ai vraiment eu du mal à poser le livre et à ne pas lire encore 1 ou 2 chapitres. Un vrai page turner pour moi, et une sublime histoire d'amour. Je me suis totalement transportée à cette époque et dans les beaux paysages.



Je n'ai pas regardé la série télé. Je veux d'abord lire les livres 😉



Et vous, avez vous commencé ou lu cette série ?



PS : je lirais donc les autres tomes de la série avec plaisir



PS 2 : Quelques scènes sont assez violentes, attention (notamment en fin de livre). L'époque est bien retranscrite à ce niveau là.
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Neuvième tome de la saga Outlander ! 



Neuvième tome d'une saga que j'ai découverte en 1997 ... et 6 ans et demi d'attente entre ma lecture du huitième tome, en mai 2015, et celui-là 



Neuvième tome lu en VO, et pour la première fois, en version numérique - j'avais trop souffert des poignets avec le poids du huitième tome ! 



Avantage collatéral, je l'ai reçu au jour même de sa première publication outre Atlantique ... et je m'y suis plongée aussitôt ! 



J'ai passé deux semaines en compagnie des protagonistes habituels, Claire et Jamie, Brianna leur fille et sa famille de retour parmi eux à Fraser's ridge, au cœur de la Virginie Occidentale.



Un volume où on découvre la vie des premiers pionniers américains, melting-pot d'immigrants européens, cohabitation avec les Indiens, lutte contre les éléments et la faune sauvage - ours, daims et autres écureuils, ratons laveur et opposums qui font de très bons ragoûts ! 



Mais aussi, avec Fergus ou Lord John, on retrouve la vie urbaine - pas si tranquille - entre fidèles à la Couronne et révolutionnaires en puissance, dans les premières années de l'indépendance américaine.



Un roman qui s'achève à l'aube des années 1780 ... sur un cliffhanger qui appelle un dixième tome.



J'espère ne pas devoir l'attendre six ans.



Un roman passionnant, où l'amour est bien sûr toujours aussi présent, que ce soit entre Claire et Jamie ou entre Bree et Roger Mac, mais aussi entre les nouveaux arrivants, romances juvéniles .. ou plus matures ! 



Mais un roman d'aventures, escarmouches entre loyalistes et indépendantistes, et toujours l'ombre maléfique de certains voyageurs ... 



Bref, je me sens un peu triste de les quitter ... j'ai fait pourtant durer les dernières pages pour ne pas les laisser trop vite .... 



Bref, un très bon roman ! 
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Une relecture de ce tome 6 en attendant la sortie du dernier opus en novembre. Là encore, il me semble que Diana Gabaldon pourrait faire des coupures dans certains passages et aller plus vite à l’essentiel. Nos héros se trouvent à quelques années de cette guerre d’indépendance, en attendant de prendre les armes contre les Anglais, Jamie continue de faire profil bas et accepte de devenir un représentant de la couronne pour tenter d’amener les Indiens à se ranger du côté des britanniques lorsque le moment sera venu. Pendant que Jamie parcourt les villages indiens avec son neveu Ian, Claire reste dans leur demeure à cultiver ses plantes et à soigner les gens même si ces méthodes semblent parfois en horrifier certains. Cette vie tranquille est parfois brisée par des tragédies comme le jour où Claire est enlevée par une bande de pillards qui cherchait à voler le whisky produit par Jamie. Un rapt brutal qui se termine dans un bain de sang pour ceux qui ont osé s’en prendre à la femme de Fraser. Mais la plupart de temps, la vie reste douce, l’occasion pour Diana Gabaldon de nous offrir des petites tranches de vie quotidienne tendres et joyeuses. Je ne me lasse pas de cette saga, je crois que c’est la 4è fois que je la relis !



Challenge Plumes Féminines 2021

Je relis à l’heure actuelle la série Outlander en attendant la sortie du dernier tome au mois de novembre prochain, histoire de se souvenir des événements et des différents personnages. Ce n’est pas le tome que je préfère, je le trouve très long, il y a deux passages interminables : quand Jamie est convoqué une première fois avec « ses » hommes de Fraser’s ridge pour combattre les Régulateurs et où il ne se passe strictement rien et lors du mariage de sa tante Jocasta et Mc Innes. Le rythme s’accélère un peu ensuite avec la « bataille » d’Alamance et la tragédie qui frappe Roger. Pauvre Roger, j’ai l’impression que Diana Gabaldon ne sait pas trop quoi faire de ce personnage, il est bien gentil mais sans beaucoup de charisme. Je préfère nettement Ian, le neveu de Jamie qui, ô joie, revient parmi eux. Un tome donc assez moyen.



Challenge Pavés 2021

Il fallait bien le confinement pour m'attaquer à un tel pavé. D'ailleurs, je dirais que le problème de ce livre en est justement sa longueur. Bien sûr, c'est un plaisir de retrouver Claire et Jamie mais on aimerait parfois que ça aille plus vite... je me suis d'ailleurs perdue un peu dans l'intrigue dans le dernier quart du livre. Alors oui, j'ai envie de connaître la suite mais j'avoue que l'épaisseur du tome 4 m'effraie un peu.