Fiodor Dostoïevski

Ce livre est bouleversant.

L'intrigue est surprenante, les personnes sont tous uniques en leur genre et apportent quelque chose à l'histoire qui rend ce roman fascinant.

Bien qu'assez long et parfois apathique, les rebondissements nous font vivre cette histoire à son plus haut degré.

Les réflexions apportées par cet auteur, réflexions théologiques, mais également sur la mort, la morale, font de ce livre plus qu'un simple roman.

C'est également une lumière qui vient éveiller notre conscience, en réveillant en nous certaines interrogations.

Trop égocentrique ce mec, mais quand même il est si persévérant en sa manière d’être. Toujours valoriser son énergie entant que humain, dorénavant ce mec à toujours le bien vénéneux des autres, on peu la dénigré alors on peu pa détester ce impossible. Donc je l’intention d’être trop dur envers luis mais ça ira on n’est des humains quand même ça fait partie de notre, le garçon galant, confiant et méfiant, il a toujours une longueur d’avance sur tout le monde, j’suis ravis enfin de parler de ce monsieur là
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Je ne sais s’il y avait un sous-texte engagé ou philosophique, mais je suis passée complètement à côté de ma lecture. Je pense que ces nouvelles font partie de ces lectures qui doivent être lues à l’école quand on peut y étudier en même temps le contexte politique/historique et bénéficier de l’aide du professeur de français pour comprendre les sous-entendus.

Je me suis moi aussi lancé sur cette lecture en découverte de Dostoïevski ayant lu que c'est une pierre angulaire de son œuvre avant la création de ses plus grands romans.

Récit construit en deux parties clairement distinctes. La première concerne principalement l'exposition par le narrateur de sa personnalité, de ses contractions profondes ou présentées comme tel au lecteur. Partie très intéressante au moins pour son originalité et son exploration de l'esprit humain dans quelques recoins rarement mis en avant.

La deuxième partie est beaucoup plus narrative et donc plus facile à lire, à suivre et reste tout aussi intéressante, même si moins tourné sur le dialogue interne du narrateur (pas absent non plus).

En résumé, la lecture de ce monologue torturé d'un homme qui cherche à se justifier auprès d'un hypothétique futur lecteur est très intéressante et originale pour moi.

L'adolescent est, selon le jeune lecteur que je suis, un superbe roman, dévoilant un personnage haut en couleur, ce dernier représente à lui seul ce que peut être un jeune, maladroit, impétueux, naïf, franc mais surtout innocent, pur. A travers lui on découvre un lot de personnage tous plus intriguant les uns que les autres, ayant tous leurs idées. L'adolescent est un roman vrai, sur fond de quête d'identité, de recherche de reconnaissance, d'une dualité père/fils, d'intégration à la société.



On pourra parfois, selon l'édition probablement, se perdre parmi les noms des personnages et leurs relations/lien familiaux, ce qui peut être un frein au plaisir pris lors de la lecture, ainsi que la forme de journal intime, qui peut parfois amener le désordre dans le récit, mais ce point est mineur.



Ce premier tome est pour moi une réussite, il me tarde de lire la suite !

J’ai vraiment été perdu en lisant Le Double. Les actions ont parfois tendance à s’enchaîner et j’ai parfois eu du mal à suivre.



J’ai l’impression que l’effet est voulu, que ces actions désordonnées sont le fruit d’une réflexion sans fin du personnage principal. Il est tout le temps dans le doute. Il n’est jamais sûr des rapports sociaux qu’il a. Ce livre nous déstabilise d’être avec un personnage lui-même jamais confiant. On peut prendre en exemple le bégaiement qui le caractérise.



On a vraiment l’impression d’avoir affaire avec quelqu’un qui est seul contre le monde. La situation est inextricable, et le livre fatalement cruel avec M. Goliadkine, tourné mainte fois en ridicule. Même le lecteur peut être lassé de lire tout le temps la répétions d’une prénom + nom des interlocuteurs de celui-ci.



Ainsi, j’ai trouvé dans mon premier Dostoïevski quelque chose de kafkaïen, sans être profondément absurde. Les scènes s’enchaînent irrémédiablement jusqu’à une fin a approfondir pour ma part.

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Moi qui m'attendait a une lecture indigeste et très lourde et bien j'ai été très surpris ce n'est pas du tout le cas !



Bon il faut bien le reconnaitre, les dialogues/monologues par contre sont parfois assez longs.



Bien sûr le vocabulaire est assez soutenu (moins que je ne l'aurai imaginé), il faut faire quelques recherches sur certains points mais on parle de la Russie des années 1860 !



Donc à moins d'être un expert de cette période, certaines mœurs de l'époque sont très peu connue et méritent quelques recherches, mais sinon tout se lis assez bien.



On est plongé dans l'histoire d'un jeune noble qui se retrouve malade et endetté. Sa misère, sa maladie mais surtout son orgueil vont le pousser à commettre un crime qui va le presque le noyer dans la folie.



Entre un criminel devenu qui ne sait pas vraiment comment il en est arrivé là, la prostitution, l'alcoolisme et la décadence de le grande Russie des années 1860, on se retrouve emmêlé dans l'histoire de Raskolnikov qui se dirige tout droit vers son châtiment.



Evidemment, l'intrigue est très bonne, les personnages très bien construits et j'ai pris un réel plaisir à lire ce livre.



De là à dire que c'est une des plus grande œuvre littéraire de l'histoire je ne sais pas! Je n'ai pas lus assez de "classiques" pour avoir une position à ce sujet mais une très bonne lecture quoi qu'il en soit.
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Cela a beau être un classique, on se demande bien pourquoi. C'est d'un ennui pas possible!



C'est long, c'est long, c'est long et ennuyeux. Il ne se passe rien et 600 pages pour ça. Je ne vois pas où est le génie dans cette oeuvre, ni son intérêt. Perte de temps totale, je ne lirai jamais un autre livre de Dostoïevski. Il m'a dégoûté à vie!

Livre assez court qui se lit bien.

J'ai bien aimé sans plus.





Ce livre est écrit à la première personne et relate l'aventure durant qq mois d'un russe en Allemagne.

Il est précepteur dans une famille russe endettée, qui attend impatiemment la mort de leur grand-mère pour hériter.

Le thème du triangle amoureux est présent ainsi que la vénalité féminine.

Enfin le thème principal reste le jeu d'argent qui perdra le personnage principal ainsi que la babouchka qui perd une grande partie de sa fortune en quelques heures.

La fièvre du jeu et l'envie de se refaire y sont dépeints de manière assez marquante.

LE livre... Politiquement, tt y est... Le genre de bouquin qui élève... Dostoïevski, quoi... L'homme, le vrai, face à ces démons... La vie, quoi... Enfin, c'est sombre, très très dark, on a froid, on a peur. L'homme est un loup pour l'homme. Aouhhhhhhhhh

Cette longue nouvelle est tendre et touchante. Je n'avais jamais lu d'ouvrages de cet auteur et j'aimerai en découvrir davantage. La plume est belle, un peu lyrique et les sentiments romantiques. On se balade avec le jeune homme entre rêveries et amour naissant. Une belle lecture à découvrir le temps d'une soirée ou d'un après-midi cosy.
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L'idiot c'est le bien qui refuse l'idée du mal, même quand il le perçoit, il se condamne d'avoir de telles pensées alors qu'il est lucide. Nastasia Philipovna une victime orgueilleuse qui nie se statut et va vers la rédemption. Un des meilleurs Dosto, c'est dire... Mon préféré avec les Karamazov, impossible de trancher.

Livre sombre et déprimant. Aussi écoeurant que la description qui en est faite de Saint Pétersbourg au début. C'est un classique et donc tout le monde le place dans les livres à avoir lu dans sa vie, par mimétisme ou pédanterie probablement. Mais, ce récit ne mérite ni sa célébrité ni son poids en papier.

Le plus grand roman de la littérature (Woody Allen pense de même, on dirait). Et pourtant les cent premières pages sont un peu longues... C'est que Dostoievski pensait d'abord écrire autre chose : Les Ivrognes. Donc tout le début avec notamment la rencontre de Marmeladov, si longue et sordide, dans la taverne, est le centre de ce premier projet.

tout simplement incroyable, à lire une fois dans une vie !

personnages intéressants et histoire touchante

le livre est tellement accrocheur je l’ai lu d’une traite! un de mes livres favoris à présent, je le lierais à nouveau et je le conseillerais à tout le monde!

Le personnage principal est tellement bien envisagé et en même temps, on sait pas toujours ce qu’il pense. Les épisodes qu’il raconte sont bien descripteurs de sa personnalité et de cette sorte de complexe d’infériorité et de supériorité qu’il entretient avec le monde. J’ai beaucoup apprécié l’introduction où le personnage se présente et parle de sa vision de la vie, de l’amour, de l’humain, vision qui se retrouve précisément dans ses comportements plus tard dans le livre. J’ai notamment beaucoup apprécié le parallèle entre le personnage principal et Lisa, c’était je pense la meilleure partie du livre.

LES NUITS BLANCHES de DOSTOÏEVSKI

Une merveilleuse nouvelle. Des personnages torturés indécis amoureux inadaptés on tremble pour eux au fil du récit, c’est un pas de deux ( voire trois) chacun voulant y croire tout en sachant ou se doutant que …C'est superbe.

Idéal pour accompagner les longues heures de tétées d'un bébé / depuis devenu petit enfant de 2 ans... Enfin, idéal... jusqu'à ce que l'ouvrage ne vous tombe des mains : il fait son poids ! Avec l'Idiot (comme lui, nous ne connaissons pas nos hôtes et nous ne ferons qu'observer...) nous poussons les portes des antichambres pour y faire la connaissance de personnages plus ou moins intéressés, toujours conscients que l'argent, le pouvoir, les réseaux sont le métronome de la "Belle société" russe. Sous le regard de l'Idiot, chacun tente de se racheter une conscience. Les billets brûlent, les portes claquent, on fait très bien semblant : une caustique critique des heures flamboyantes d'une certaine société.

Le plus dure dans ce livre, pour moi, ce sont les noms des personnages. En effet, il semble qu'en Russie chaque individu porte deux prénoms en plus de son nom de famille, que ces deux prénoms soient énoncés à chaque fois qu'on parle du personnage. Mais en plus, ils ont des surnoms.

Le debut de la lecture de cette ouvrage m'a donc été laborieuse.

Comme je n'en ai pas encore fini la lecture, je ne peux pas complètement dire que j'ai aimé ce livre, mais je peux dire : je ne le déteste pas même s'il ne me transporte pas.

Après "La femme d'un autre et le mari sous le lit" j'enchaine avec mon deuxieme Dostoïevski, Les nuits blanches . Largement supérieur au premier (que je n'avais vraiment pas aimer), ce livre nous conte l'histoire d'un homme errant dans les rues la nuit. Un soir, il croise une jeune femme en sanglot. Et il finis par oser l'aborder. L'amour est le sujet principale. La promesse, la dévotion, l'abandon, l'amour est partout. J'ai beaucoup aimer ce court texte de cet auteur russe. J'espère être prête pour ses pavés qui, je l'espère, seront eux aussi d'une tel plume !