François Reynaert

Pour tous les amateurs ou passionnés par l'histoire de France .À lire absolument ,on s'amuse on apprend ,on découvre . Un grand moment de lecture garanti
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Quel régal que cette enquête sur la vie de Casement. Un goût de trop peu en fermant ce livre. Quelle aventure passionnante. Entre le Congo, le Brésil, la première guerre mondiale, et l'Irlande en lutte pour son indépendance. Tout est dit y compris nos contradictions. Je découvre cet auteur François Reynart avec l'envie de lire d'autres ouvrages. Belle année à tou-te-s les lecteurs et lectrices.

60 auteurs plus ou moins connus, plus ou moins journalistes, plus ou moins écrivains, plus ou moins "anciens", plus ou moins philosophes... chacun s'exprime sur la liberté d'expression. Chacun s'exprime sur les conséquences des attentats. Certains le font avec humour ; d'autres avec poésie. BHL rencontre F. Lenoir. R. Puértolas joue la carte de l'humour alors que K. Pancol met au goût du jour R. Denos. La tendresse cohabite avec les réflexions politiques ou philosophiques. Voltaire croise J.L Fournier ainsi que V. Hugo, M. Chattam ou T. de Rosnay.

Lecture enrichissante et divertissante

Passionnant ! Se lit comme un roman, comme les deux précédents ouvrages historiques de l'auteur " Nos ancêtres les Gaulois/l'Orient mystérieux...et aux autres fadaises. "

Vaste panorama des différentes civilisations et cultures ayant façonné notre vieux monde.

On apprend une foule de choses, notamment sur la Chine et l'Asie en général, d'un oeil moins europeano centré que ce sont nous avons l'habitude en "petits" Français.

J'ai bien aimé la conclusion sur le fait que la vieille Europe et ses valeurs de paix, démocratie et droits humains devrait se réjouir d'être laissée à la périphérie du nouveau Monde centré sur le Pacifique...moins flamboyante, non plus conquérante, mais probablement plus tranquille... Mais jusqu'à quand ? De la guerre en Ukraine au j'y vais j'y vais pas de la Chine vers Taiwan, en passant par le brasier moyen oriental, les secousses ne manquent pas d'inquiéter !

A moins que la Nature ne se venge définitivement de ses plus turbulents enfants à coups de réchauffement climatique !!!!

J'ai hésité à lire ce livre. Un livre d'histoire pas écrit par un historien ... je doute.

Ce doute ne m'a jamais quitté MAIS plus que des faits j ai surtout trouvé une réflexion intéressante (qu'on retrouve chez les historiens): l'importance du contexte. C'est à dire; ne pas regarder le passé avec nos yeux du présent, l'Histoire est écrite par les vainqueurs, etc.

Je regrette pas ma lecture.

Ouvrage affranchi des contraintes de genre, par lequel l'auteur utilise en pointillés les faits marquants de la vie de Roger Casement pour conter à grands traits la colonisation de l'Afrique, l'exploitation du caoutchouc, le jeu de l'indignation morale dans les relations internationales, la longue marche vers l'indépendance irlandaise et les mœurs sexuelles d'il y a un siècle. Ne faisant aucun mystère de ses propres goûts en la matière, l'auteur fait partie intégrante du récit, interrogeant la lecture des faits après en avoir posé le cadre. A l'image du personnage contrasté que fut Casement, des penchants et des choix qui furent les siens, il fait œuvre originale par des rapprochements significatifs de nature à brouiller les catégories bien établies : tel allié de Casement dans la campagne de dénonciation des crimes congolais manifeste un fond de racisme en s'insurgeant plus tard contre l'envoi de soldats africains en Rhénanie occupée ; l'indéniable traîtrise du héros fourvoyé en Allemagne pour servir la cause de l'Irlande en pleine guerre mondiale ne diffère pas du rapprochement franco-irlandais réalisé un siècle auparavant dans la tourmente européenne initiée par notre révolution de liberté et d'égalité, et s'inscrit par ailleurs dans un invraisemblable imbroglio dont les Polonais de l'époque offrent l'exemple suprême ; le très viril modèle prussien n'exclut en rien une mouvance allemande beaucoup moins corsetée que la société victorienne, elle-même ouvertement chahutée par le petit cercle de Bloomsbury, etc. Le tableau de ces grands mouvements collectifs, saturé de conflits et d'horreurs mais embrassé d'un regard distancié qui n'en réussit pas moins à provoquer quelques sourires navrés, s'achève sur la narration très circonstanciée de la mise à mort du héros déchu, probablement condamné sans rémission à cause de la révélation de ses pratiques sexuelles. Les derniers mots de l'auteur sur les avanies subies jusqu'après la mort, sur le mystère de toute existence et sur son pèlerinage au cimetière des célébrités irlandaises révèlent une démarche intime et consciencieuse qui inspire le respect.

Un livre sur l'histoire du monde c'est vachement intéressant ! Mais c'est très long à lire ! Si vous êtes passionné d'histoire ce livre est fait pour vous mais avant tout il faut de la patience ! Mais c'est super bien détaillé et bien fourni ! Vive L'Histoire !

Je trouvais intéressante la proposition de l’auteur de prendre du recul sur les moments marquants du « roman national » pour les remettre en perspective et amener le lecteur à s’interroger sur la façon dont sa connaissance des grands événements historiques est façonnée. Las: il s’agit simplement de remplacer une vision de l’histoire par une autre avec une partialité assumée, et de rééduquer le lecteur pour lui apprendre à « bien » penser. Dommage, parce que la culture historique de l’auteur est incontestable. J’ai tout de même abandonné au premier tiers.

Le titre pourrait laisser croire qu'il s'agit d'une vulgarisation a deux balles alors que c'est un ouvrage de haut vol, meme si Francois Reynaert n'appartient pas au cénacle des historiens de métier. C'est le premier livre de l'auteur que je lis et ce n'est certainement pas le dernier.



Cet ouvrage aussi agréable a lire qu'instructif nous emmene a travers l'histoire de la civilisation musulmane des régions centrées sur la Mediterranée. La période couverte va de la fondation de l'islam (début du septieme siecle) jusqu'a nos jours, le vingtieme siecle ayant a lui seul droit a environ le tiers du livre. Ce dernier tiers culmine tant dans le détail et la finesse de l'analyse que le reste pourrait presque etre vu comme une longue introduction.



Outre sa finesse d'analyse et de synthese, le grand intéret du livre est de mettre en évidence les interrelations entre l'histoire de l'Europe judéo-chrétienne et celle de l'Orient islamique. On se rend bien compte que la seule maniere de comprendre l'une et l'autre est de les considérer dans cette perspective interrelationnelle. Treize siecles d'histoire nous sont donc contés dans cette perspective sur un rythme soutenu qui exige du lecteur un certain effort d'assimilation et aussi d'accommodation (comme dirait Jean Piaget) puisque l'auteur aime bousculer - avec humour - les "fadaises" que sont les préconcus, lieux communs et autres idées recues.

Ce livre n est pas inintéressant mais trop marqué politiquement.

En l occurrence à gauche, c est à dire pas dans mon camp.

L auteur veut detruire le roman national mais fait sans doute partie de ces gens qui l acceptent et même l encouragent pour les étrangers.

Ouvrage didactique permettant une approche chronologique de l'histoire de l'Europe, certes parfois un peu sommaire, mais qui donne des repères précis. Le style est agréable et les nombreuses cartes permettent de mieux comprendre comment les pays se sont modifiés au fil des siècles. L'auteur cherche à montrer que l'Europe a une histoire commune, riche, et que les nationalismes extrêmistes, s'appuyant parfois sur des idées fausses, telles que l'unité religieuse, prônant le repli sur soi, mènent aux désastres. Au début du XXè siècle, ils ont conduit au suicide de l'Europe, entrainant la ruine du continent alors le plus puissant dans le monde entier et la fin de son rayonnement. Un très agréable moment de lecture instructif.

Livre d’histoire pour élèves de 6° attardés, comme l’auteur de ce pensum. Caricature de la juste pensée des bonnes âmes de la gauche bobo-gaucho. Normal, le pisse-copie sévit dans les fleurons de la presse tendance : l’Obs et Libé. On espère qu’il a soutenu en son temps Matzneff, à une époque où la pédophilie était à la mode ! Ces gens ne reculent devant aucunes crapuleries et ne regrettent jamais leurs sales écritures. Mieux vaut en rire !

Si vous me suivez, vous savez que j'aime bien les livres de François Reynaert. Au Livre de poche, vient de paraître La grande histoire de l'Asie. Chine-Japon-Inde (288 pages). Il s'agit en fait de la reprise des passages consacrés à l'Asie publiés dans La grande histoire du monde.



Si celui-ci est intéressant, car nous connaissons peu l'histoire asiatique en France, très peu abordée au cours de la scolarité, il ne casse pas non plus trois pattes à un canard... D'ailleurs, je tiens ici à prendre un peu position : je trouve dommage qu'à chaque fois qu'une ouverture sur une autre culture (africaine ou asiatique) est prévue dans les programmes scolaires, cela suscite immédiatement une levée de boucliers dans certains milieux politiques (souvent à droite). Toutefois, idéologiser l'Histoire n'est pas une bonne chose et peut même être tendancieux, comme c'est le cas de Petitfils et son Histoire de la France.



Ce livre reprends toutefois les recettes qui fonctionnent avec Reynaert : une synthèse bien documentée, une envie d'en savoir plus sur l'histoire des grands pays asiatiques et un style journalistique qui rends la lecture plaisante.



J'en conseil donc la lecture sans hésiter car il est accessible et résume assez bien l'histoire des grands pays du continent : l'Inde, la Chine et le Japon. Il passe certes un peu vite sur l'histoire de la Corée, mais aussi des anciens pays composant l'Indochine française. A part ça...
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C'est intéressant, pédagogique, et évidemment très superficiel. Alors, non pas dans le sens négatif du terme, mais l'auteur ne pouvant tout aborder, il reste dans les généralités. C'est une vraie synthèse ! Pour autant, Reynaert montre qu'au cours de certaines périodes l'Europe ne fut pas au centre du monde et des progrès de l'espèce humaine. Et ça, c'est plutôt une démarche qu'il faut souligner.

Petit livre fascinant pour les fans d’Histoire. Les chapitres sont denses, instructifs et sûrement « vulgarisés » pour permettre à tous de lire ce condensé du Monde. Facile à lire, cette Grande Histoire ne passe, cependant, pas à côté des petites ! A avoir absolument dans sa bibliothèque (et à lire, surtout !).

Depuis quelque temps je me disais que ma connaissance de l'histoire des autres continents était quelque peu limitée. Du coup quand j'ai eu l'occasion de le recevoir pour Masse Critique, je n'ai pas hésité.



L'auteur procède par période et mets en parallèle les différentes sociétés du monde. Ça a le gros avantage de pouvoir situer les époques. Par exemple je n'aurais jamais dit que la civilisation Aztèque avait perduré jusqu'au XVIe siècle, pendant la période des conquêtes du monde !



L'autre truc que j'apprécie, c'est qu'on trouve pas mal d'étymologie. Intel a donné son nom à tel courant de pensée, à tel pays, à telle religion. Pour quelqu'un qui s'intéresse à la linguistique, c'est top.



Au début, je dois avouer que j'étais un peu perplexe que pour un bouquin sensé parler de l'histoire du monde, cela se concentre essentiellement sur l'Europe, l'Asie et l'Afrique du Nord, mais petit à petit ça s'élargit, et on découvre le reste du monde. On aborde également l'histoire des religions, qui est assez indétachable de l'histoire en général, vu les conflits et conquêtes occasionnées.



J'apprécie également que l'auteur donne différent points de vue. Je pense notamment à un passage sur Vasco de Gama et son arrivée en Inde, du point de vue Européen, puis du point de vue Indien, l'histoire ne raconte pas tout à fait la même chose !



Après, comme tout bouquin de non-fiction, j'ai du mal à rester des heures dessus d'affilée, et du coup 900 pages, on les sent un peu passer, mais je vois mal comment faire concis vu le sujet !



Dans tous les cas, même s'il est impossible de tout retenir, j'en ressors avec une meilleure idée de l'histoire du monde, et avec pas mal de petites anecdotes intéressantes.

Il m’est difficile d’écrire une chronique sur un livre tel que celui-ci. C’est pourquoi j’ai préféré vous lister les informations qui m’ont le plus marquée au fil de cette lecture :







le mot « barbare » vient de l’Antiquité. A cette époque, les grecs se pensaient être les seuls civilisés et opposaient ainsi leur civilisation à celle du reste de l’humanité qui bredouillaient de drôles de bruits : « bar…bar… », d’où le mot « barbare » !

le mot « draconien » nous vient d’un législateur grec nommé Dracon, le premier à imposer le fait que les lois doivent être écrites. Elles étaient fort sévères, d’où notre adjectif « draconien » !

Savez-vous que Gutemberg n’est pas à proprement parler l’inventeur de l’imprimerie ? Et oui ! Celui-ci l’a simplement ré-inventée puisque « dès le VIIe ou VIIIe siècle, les Chinois gravent des textes sur des planches qu’ils pressent pour en obtenir des reproductions sur papier. Ils utilisent aussi un système de tampons qui sert plus particulièrement à diffuser des saintes images bouddhistes, à un moment où cette religion se répand dans l’empire. Au début du XIe siècle, ils inventent le système de caractères mobiles, ces petites pièces qu’il suffit de déplacer pour produire un texte différent ».

Les Vikings groenlandais auraient été les premiers européens à avoir découvert l’Amérique !

Aujourd’hui, de nombres mots anglais (notamment dans le domaine maritime) sont issus des langues scandinaves ! (rendant compte de l’héritage viking)

Les mots « esclave » (français), « slave » (anglais), « esclavo » (espagnol), « schiavo » (italien) viennent de « slave », mot faisant référence au peuple qui fournissait la main d’oeuvre !

Le mot « tsar » correspond à la version slave de César, titre que les empereurs romains se donnaient !

…





Vous l’aurez sans doute remarqué, la plupart des point ci-dessus correspondent à de la linguistique (un domaine que j’affectionne particulièrement) mais rassurez-vous (si besoin) ce n’est en aucun cas la généralité des informations présentes dans ce livre (puisqu’il s’agit premièrement d’un livre sur l’Histoire) ! C’est justement ça qui le rend intéressant : sa richesse d’informations ! Ainsi, il est abordable à tout type de lecteur.rice qui pourra y piocher, selon ses centres d »intérêts ce qui lui paraît être plus ou moins important (événements, dates, notes culturelles…) dans cette Histoire du monde !



Complet, riche et concis : je le conseille vivement aussi bien aux férus d’Histoire qu’aux petits curieux. Ne soyez-pas apeuré.e par sa consistance (près de 900 pages !), et si c’est le cas, laissez-vous tout de même séduire par les chapitres qui vous tentent/ intriguent le plus (personnellement, j’ai préféré celui sur les Vikings ! ) …
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Certains reprocheront à cet ouvrage de ne se baser que sur des sources secondaires, à l'exclusion de sources primaires, et d'avoir un parti pris "anti-européen" toujours tentant à l'heure où l'approche de l'histoire se veut mondiale et relativiser le rôle pris par le vieux continent. En tant que simple amateur d'histoires, et non historien, j'ai néanmoins beaucoup apprécié cet ouvrage. Je cherchais un ouvrage de moins de mille pages capable de m'apporter un aperçu de l'histoire mondiale de la préhistoire à nos jours. Le pari, audacieux, est à mon sens réussi. L'auteur ne prétend pas être un historien (quel historien pourrait prétendre seul écrire une telle histoire en se basant sur des sources primaires, ne serait-ce que compte tenu des contraintes linguistiques), et n'a d'autre ambition à mon sens que d'offrir à au lecteur amateur un ouvrage de base lui offrant une vision globale de l'histoire. A recommander

Pour moi, l'histoire c'est : analyser le passé pour comprendre le présent et éclairer l'avenir. De tout temps, les pouvoirs en place ont cherché plutôt à raconter (broder, adapter,...) le passé pour justifier le présent et tracer l'avenir. François Reynaert déconstruit ces "histoires" et nous donne de nouvelles clés de lecture et de compréhension du passé. Il contextualise les évènements, ouvre de nouveau point de vue, nous interroge sur la perception que pouvaient avoir d'un même évènement les différents acteurs du moment.

Dans un style très simple, facile, interpellant le lecteur comme dans une conversation, François Reynaert nous ouvre l'esprit et le regard sur notre passé afin de mieux comprendre les temps présents et surtout déconstruire les discours manipulateurs de certains idéologues.

Un petit point négatif pour l'édition de poche, les cartes sont à peine lisibles. Malgré tout, livre passionnant qui permet de revisiter son histoire de France en se posant grâce à François Reynaert les bonnes interrogations.

Au temps où je révisai mon bac d’histoire, c’est un ouvrage que j’aurai bien aimé avoir sous la main. Passer en revue vingt siècles d’histoire sans ennuyer un seul instant son lecteur, voilà qui n’est pas donné à n’importe qui, mais qu’a cependant réussi à faire François Reynaert. L’auteur est parti du constat que « Nombreux sont les Français qui s’intéressent à notre passé, nombreux sont ceux qui se désolent de mal le connaître », et s’est donné comme mission de nous dresser un tableau général de cette histoire, en débarrassant cette dernière des clichés nationalistes. François Reynaert adopte un phrasé accessible à tous, léger, fort peu académique, et qui peut parfois être perçu comme trop désinvolte. On peut se désoler que le livre ne commence qu’à l’époque gauloise (tant de choses sont à dire pour les temps pré et protohistoriques!) et que le sujet est bien vite traité pour arriver aux Grandes invasions. Néanmoins, cet ouvrage permet à tout à chacun de rafraîchir une mémoire parfois défaillante pour des périodes vues une fois au collège et plus jamais abordées depuis. Il permet également d’avoir un recul sur certains points de l’histoire, trop souvent exploités à des fins nationalistes. L’impression générale que m’a laissé ce livre, c’est celui d’un ouvrage pratique, à conserver pour consultation au moindre défaut de mémoire sur l’histoire de France. Les synthèses sont bien ficelées, les informations essentielles sont là et on ressort de chaque chapitre avec les données nécessaires pour comprendre la période. De ce point de vue, et bien qu’il s’agisse d’un exercice non académique, de plus amples références à des ouvrages majeurs auraient été bienvenus pour pouvoir aller plus loin sur certains thèmes. Livre à lire donc, ne fût-ce que pour potasser l’histoire de France « sans les clichés ».
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