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Citations de Isaac Asimov (1420)


Rien de tel qu’un robot pour attraper un robot.

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Qu’est-ce qu’un peu de monotonie ? Cela gâche le plaisir, mais ça vous maintient en vie.

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Les robots étaient très fortement conditionnés par ce qu’on appelle les Trois Lois de la robotique, lois qui remontent à la préhistoire. Il existe plusieurs versions de ce qu’auraient pu être ces Trois Lois. Dans la version orthodoxe, elles sont formulées ainsi : 1) Un robot ne peut blesser un être humain ou, par son inaction, permettre qu’un être humain soit blessé. 2) Un robot doit obéir aux ordres qui lui sont donnés par des êtres humains sauf quand de tels ordres s’opposent à la Première Loi. 3) Un robot doit protéger sa propre existence aussi longtemps qu’une telle protection ne s’oppose pas à la Première ou à la Deuxième Loi.

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Excusez-moi, mais c’est par où, la Terre ?
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Mais au nom de la grand-mère du Mulet, qu'est-ce que c'était donc que cette Terre ? Il l'avait demandé. Bien entendu ! Il l'avait demandé sitôt que le terme avait été mentionné. Il avait dit : « Excusez-moi, Professeur. Je suis ignare dans votre domaine et j'espère que vous ne m'en voudrez pas si je vous demande une explication en termes simples : Qu'est-ce que la Terre ? » Pelorat l'avait alors contemplé gravement durant vingt longues secondes avant de lui dire : « C'est une planète. La planète des origines. Celle sur laquelle sont apparus les premiers êtres humains, mon cher ami.
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Tout ceux qui travaillent à la station ne s'y maintiennent qu'à force de servilité. Pas un seul d'entre eux n'oserait se dresser contre Hallam. Le leur demander équivaudrait à attendre de spaghettis bien cuits qu'ils se mettent au garde-à-vous.
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Je me souviens de certaines descriptions de gens couchés dans l’herbe (...) Souvent, je me suis demandé: À quoi cela ressemble-t-il? Serais-je capable de ressentir la même émotion ou bien est-elle le privilège des Terriens? Il me semblait qu’il manquait quelque chose de vital. À présent je sais ce que c’est: l’équivalent de la paix infinie que nous ressentons en ce moment, au milieu des beautés de l’univers.
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Et en tout les cas, mieux vaut encore aller à l'échec en usant de son libre arbitre que vivre dans une sécurité dénuée de tout sens comme de vulgaires rouages dans une machine.
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C'est toujours la même histoire, en fait : plus une cachette est facile à trouver, moins on pense à aller y regarder.

P.390
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Je me souviens de la Terre, commença-t-il. Elle était radio-active. Je me souviens des régions interdites. La nuit, l’horizon était bleu. Le sol était lumineux et rien n’y poussait. Il y avait seulement quelques zones où les hommes pouvaient vivre. C’était pour cela que j’étais spatio-analyste. C’était pour cela qu’il m’était égal d’être dans l’espace.
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Le tout est plus grand que la somme de ses parties.
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Puis j'allai rendre visite à un ami qui, lui, est un as de la photo. Il me développa les deux clichés et agrandit le portrait de Kevin, plutôt de mauvais cœur, en grommelant qu'il était surchargé de travail, mais je fis comme si je ne l'entendais pas. Après tout, que valaient ses activités ridicules à côté des choses importantes dont je m'occupais? Ça m'étonne toujours de voir le nombre de gens qui se révèlent incapables de comprendre cela.
("Un sourire qui coûte cher")
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J’ai fait installer ça spécialement l’an dernier […]. Je crois que je ne vous l’avais pas encore montré. Approchez et jetez un coup d’œil. Dans le temps jadis, toutes les pièces des maisons étaient ainsi équipées. On appelait ça des « fenêtres ». Vous le saviez ?
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Aide-toi, les lois de Seldon t’aideront.

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-Alors comment définis-tu un être humain ?
-Quand la Deuxième Loi m'oblige à obéir à un être humain, je dois l'interpréter comme une obéissance à un être humain qui est habilité, du fait de son esprit, de sa personnalité et de ses connaissances, à me donner cet ordre; et quand il s'agit de plus d'un homme, celui parmi eux qui est le plus habilité du fait de son esprit, de sa personnalité et des ses connaissances, à me donner cet ordre.
-Et dans ce cas, comment peux-tu obéir à la Première Loi ?
-En sauvant tous les être humains et sans jamais, par mon inaction, permettre que l'un d'eux soit en danger. Cependant, si dans toutes les actions possibles, des êtres humains se trouvent en danger, en agissant alors de la sorte que le meilleur d'entre eux, du fait de son esprit, de sa personnalité et de ses connaissances, subisse le moins de mal possible.
-Nous sommes bien d'accord, murmura Georges Dix. Maintenant je dois te poser la question pour laquelle au départ j'ai demandé qu'on t'associe à moi. C'est quelque chose que je n'ose pas juger par moi-même. Je dois avoir ton avis, l'avis de quelqu'un qui se trouve en dehors de mon processus de pensées... Parmi les individus doués de raison que tu as rencontrés, lequel possède l'esprit, la personnalité et les connaissances supérieurs selon toi aux autres, si l'on ne tient pas compte de l'aspect extérieur, qui n'a rien à voir avec cela ?
-Toi, murmura Georges Neuf.
-Mais je suis un robot. Il existe dans les circuits de ton cerveau un critère qui te fait distinguer un robot métallique d'un être humain en chair et en os. Comment peux-tu alors me classer parmi les êtres humains ?
-Parce que les circuits de mon cerveau ressentent un besoin pressant de ne pas tenir compte de l'aspect extérieur dans le jugement d'un être humain, et ce besoin est plus fort que la distinction entre le métal et la chair. Tu es un être humain, Georges Dix, et bien supérieur aux autres.
-C'est ce que je pense de toi, dit Georges Dix. Grâce au critère de jugement que nous possédons, nous nous considérons comme des êtres humains dans toute l'acceptation des Trois Lois, et qui plus est, des être humains supérieurs aux autres.
Georges Neuf murmura:
-Que va-t-il se passer alors, quand les autres nous accepteront ?
Georges Dix répondit:
-Quand nous seront acceptés, ainsi que les autres robots, qui seront conçus plus perfectionnés que nous, nous consacrerons notre temps à essayer de former une société dans laquelle les êtres-humains-de-notre-sorte soient avant les autres protégés du malheur.
Selon les Trois Lois, les être-humains-de-leur-sorte sont d'un intérêt inférieur et on ne doit jamais leur obéir ni les protéger quand cela s'oppose à la nécessité de l'obéissance à ceux-de-notre-sorte et de le protection de ceux-de-notre-sorte. C'est à cause de cette idée que j'ai déclenché la robotisation du milieu écologique mondial.
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— Au diable la bêtise humaine ! Il se peut que je sois un fantôme, mais Dieu sait que je n'essaie pas de vous hanter. Ce serait vous accorder plus d'importance que vous n'en avez, mon ami. Comprenez-moi bien. Je suis venu pour parler affaires.
— Affaires juridiques ?
— Précisément. Le fait que j'aie succombé jadis à une mort violente et que j'aie été contraint de poursuivre mon existence sur le plan astral ne veut pas dire que j'aie perdu mes droits civiques. N'est-ce pas ?
("Bon sang ne saurait mentir" - collaboration avec Fred Pohl)
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Le Dr Susan Calvin était également là, assise toute droite sur sa chaise avec son visage aux lèvres minces, perdue dans ses pensées. Elle avait l'air froid et lointain d'une personne qui a travaillé depuis si longtemps avec des machines qu'un peu de leur acier a fini par pénétrer dans son sang.
("Satisfaction garantie")
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Pauvre Vincent ! Il est jeune, ses prédécesseurs, Alfred Lanning et Peter Bogert, sont morts, et ils n'ont jamais dû affronter de pareils problèmes. Ni moi, d'ailleurs. Ce doit être le moment pour les roboticiens de mourir s'ils ne comprennent plus leurs propres créations.
("Conflit évitable" - 1950)
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Powell poussa un gémissement derrière un sourire manifestement dénué de sincérité. La devise tacite de l'U.S. Robots était bien connue : "nul employé ne répète deux fois la même erreur. Il est congédié dès la première."
("Attrapez-moi ce lapin" - 1944)
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L'histoire se moque bien des individus!
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