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Critiques de Jacques Lacarrière (108)
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La poussière du monde

Un joli voyage dans le passé, au XIII-ième siècle. Un voyage à travers la Mongolie jusqu'en Anatolie. C'est le récit de Yunus un derviche qui voyage à la recherche de la vérité.

Une découverte que ce roman de Jacques Lacarrière dont j'avais déjà lu Marie d'Egypte.
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Les Gnostiques

Un ouvrage dense bien que relativement court, essai historique autant que réflexion poétique et philosophique. Une très belle approche du gnosticisme, et de la question fondamentale qui en est la source, constamment renouvelée au fil des générations : comment accepter ce monde, qui est aussi celui du Mal ?

La question du mal est consubstantielle à l'humanité, et la réponse gnostique, aussi radicale qu'elle soit, ouvre à une réflexion profonde sur notre rapport au monde, sur notre participation ou notre refus de la corruption, sur l'illusion et les pièges du réel.

La très belle écriture de Jacques Lacarrière plonge le lecteur dans des temps reculés, largement méconnus. Elle construit un pont avec notre expérience contemporaine, car les questions posées dans ce livre sont autant vivantes que poignantes.
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Paroles de la Grèce antique

A travers de courtes citations et quelques photos prisent par Jacques Lacarrière, pour illustrer ce "Carnets de Sagesse", l'auteur nous emmènes sur les terres des philosophes pour nous faire découvrir les "Paroles de la Grèce Antique".

En Grèce, la philosophie et la sagesse étaient un art de vivre. Le sage s’employait donc à mener et à adopter une bonne vie, pouvant servir modèle. Ce modèle de vie impliquait non seulement l’étude mais aussi une certaine éthique impliquant, discipline, maîtrise de ses pensées et de ses passions.
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En cheminant avec Hérodote

L'arpenteur écrivain de "Chemin faisant", feu Jacques Lacarrière (que j'ai eu la veine d'entendre au café du théâtre Saint-Gervais, à Genève, autour de 1995) s'est penché sur l'oeuvre d'Hérodote d'Halicarnasse. Celui-ci, considéré souvent comme "le père de l'Histoire" - quoique... on pensera plutôt à Thucydide - est selon J. L. le pionnier de l'ethnologie. De volet en volet des "Enquêtes" d'Hérodote d'Halicarnasse, l'auteur de l'inoubliable "Eté grec" montre un chroniqueur antique curieux de tout. Hérodote s'intéresse par exemple longuement à l'Egypte encore pharaonique (basse époque) qu'il définit comme un "don du Nil". Il décrit également Babylone, mégapole de l'Antiquité, en son temps, avant que n'advînt la (vraie) chute de Babylone. A l'origine de ses enquêtes, il y a la volonté d'Hérodote (natif de l'actuelle Bodrum, sur la rive orientale de l'Egée, jadis Halicarnasse, célèbre pour son tombeau géant appelé Mausolée, l'une des sept merveilles du monde antique) d'expliquer pourquoi les Perses et les Hellènes se sont affrontés lors des "guerres médiques" connues de beaucoup de nos jours - la bataille de Marathon reste l'écho le plus durable de ces guerres-là qui inspirèrent également Eschyle, auteur de la tragédie "Les Perses".

L'homme de la cité grecque symétrique et harmonique, policée et régulée, va jusqu'à raconter les usages et coutumes des Sakas, des Scythes. Pour un Grec, ces nomades des steppes entre l'Ukraine et la Russie méridionale actuelles représentent une sorte d'antithèse même de sa propre culture. Bien plus tard, les Khazars, d'une tout autre souche, conquerront l'ancien pays scythe.

L'homme a des traits d'esprit. Il raconte qu'une reine mésopotamienne, Nitocris, à moins qu'elle n'ait eu un autre nom (Nitocris a servi à désigner une pharaonne hypothétique dotée d'une belle fortune romanesque) bref, ce n'était pas Sémiramis, laquelle a existé, qui fit graver sur son tombeau l'inscription suivante: "Si tu ne pensais pas sans cesse à l'argent, tu n'irais pas ouvrir les tombeaux des morts". La coutume, note-t-il, est reine du monde.
Lien : https://www.bookcrossing.com..
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L'envol d'Icare

Depuis nos premiers voyages en Grèce, Lacarrière m'a toujours guidée, ses livres m'ont aussi accompagnée en Egypte.





L'immense culture de Lacarrière et son talent pour la partager ne se dément pas ici. le mythe de La Chute d'Icare est raconté dans  les Métamorphoses d'Ovide.



"Or on oublie généralement qu’Icare ne s’envola pas seul. C’est avec Dédale qu’il traversera les cieux grecs.

C’est aussi à cause de Dédale que tous deux se retrouvèrent enfermés dans le Labyrinthe. L’invention des ailes apparaît d'abord comme un défi à l'interdiction de Minos, une réponse novatrice et rusée au piège tendu par le roi...."



Dédale fut le premier ingénieur, inventeur, sculpteur, illusionniste   architecte du Labyrinthe, débordant d'astuce la métis. Son invention des ailes aux plumes collées à la cire a d'ailleurs réussi dans son propre cas : Dédale a atteint la Sicile par la voie des airs. Tandis que son fils, Icare, s'est abîmé dans la mer à l'emplacement de l'île d'Ikaria. 



Qu'est-ce qui a causé la chute d'Icare?



Sa désobéissances aux consignes de son père qui lui avait ordonné de ne pas s'approcher de l'eau qui aurait alourdi les plumes, ni ne voler trop près du soleil qui fait fondre la cire. Ou  en punition de la transgression du mortel à s'approcher des dieux?





Dans la mythologie grecque Icare ne fut pas seul à s'élever vers les cieux et à chuter :



"Tous ceux qui, dans l’Antiquité, tentèrent cette folie – vouloir monter au ciel et rencontrer les dieux sans

divinisation préalable – le payèrent de leur vie : Icare, bien sûr, mais aussi Ixion et Tantale, pour rester dans le

domaine grec."



[...]"d’Ixion, par exemple, qui, admis au ciel et au banquet des dieux à titre exceptionnel, en profita pour tenter de

séduire Héra, l’épouse de Zeus. Ce dernier le cloua alors sur une roue enflammée qu’il lança dans le ciel où, d’ailleurs, elle est censée tourner toujours, créant ainsi le premier satellite habité de l’espace"



Phaeton a connu un sort analogue, ayant désobéi à son père le Soleil







Lacarrière nous offre de nombreuses pistes pour interpréter le mythe d'Icare et ses variantes : clé naturaliste référant aux animaux volants, chauve-souris et exocet, clé onirique où le dormeur rêve qu'il vole, clé symbolique qui se réfère au vol magique des chamans de Mircea Eliade ou aux rois-dieux du Proche-Orient, à l'Ascension du Christ ou l'Assomption de la Vierge, clé psychanalytique où l'on revient à Dédale et au corps pourrissant du Minotaure, les ailes d'Icare symbolisant son éclosion d'insecte ailé (Imago), Icare plutôt qu'homme-oiseau serait homme-papillon, clé ritualiste et clé alchimique (là je suis perdue). 



Dans le sillage d'Icare, Lacarrière nous emmène dans d'autres histoires comme celle de la chute de Talos précipité par le même Dédale - son oncle - Talos étant aussi nommé Perdix. Puis il nous conduit dans l'Histoire de l'Art : la représentation de la Chute d'Icare a inspiré de nombreux artistes comme Brueghel l'Ancien, Picasso, Matisse et Chagall ont illustré ce mythe. 







Autres suiveurs, les aéronautes, cosmonautes et l'Homme-volant Clem-Sohn qui s'écrasa, comme Icare. 
Lien : https://netsdevoyages.car.blog
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La poussière du monde

Cette poussière du monde m'a réellement emballé. On suit dans ce roman un derviche tourneur épris de méditation et dont la vie se déroule dans un monde à la frontière duquel la poussière se soulève. Cette poussière c'est celle du pas des chevaux des mongoles qui déferlent sur le monde en emportant tout sur leur passage. C'est l'histoire de sages contemplatifs confrontés à la menace d'un monde violent.

C'est surtout un très beau roman pétri de culture et ciselé de poésie.

C'est un grand roman.
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Science et croyances

Encore une bonne lecture, facile et enrichissante, même si j'ai trouvé que le contenu n'est pas totalement aligné avec le titre, on y traite d'éducation, de génétique, d'astronomie et peu de croyances. Tous ces thèmes chers à Jacquard sont en apposition à la croyance, mais il ne sont que partiellement traités. La finale du livre est entièrement écrite par Lacarriere, un spécialiste des mythes et intervieweur de Jacquard, un véritable régal. Ce petit recueil mérite à être plus connu.
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Anthologie de la poésie grecque contemporaine..

Une anthologie de la poésie grecque contemporaine, par Jacques Lacarrière, écrivain, voyageur, passionné par l'Antiquité grecque, la mythologie, et plus largement par la civilisation grecque.

Cet ouvrage présente quelques poèmes des quatre poètes grecs les plus connus : Constantin Cavafy et des trois autres noms de la poésie grecque d'après-guerre que sont Georges Séféris (Prix Nobel de Littérature en 1963), Yannis Ritsos et Odysséas Elytis (Prix Nobel en 1979).

Mais elle a le mérite aussi de faire découvrir au lecteur français la génération de poètes qui suit : la génération des années 70 qui a connu la dictature en Grèce, et celle plus contemporaine (jusqu'aux années 2000).

La présentation introductive de Jacques Lacarrière est précieuse et, en 25 pages, rend bien compte des principales phases et évolutions des courants de la poésie grecque contemporaine.
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Marie d'Egypte

Livre incroyable, romancé mais parfaitement étayé. Alexandrie s'y révèle à travers le portrait d'une femme ordinaire. La révélation est douce. Le désert sera l'endroit de l'extraordinaire.

On y croise des ermites et des fanatiques. Les mots choisis sont justes, parfois l'auteur cède à cette douce facilité de la musicalité.

Seul bémol... du sperme, beaucoup de sperme, à toutes les pages... jusqu'à l'écoeurement.
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Chemin faisant

Le meilleur livre jamais lu sur le voyage et la randonnée à pied en France ! Et je sais que je ne suis pas le seul à le penser.
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Marie d'Egypte

Je suis fan de cet auteur.



Mais ici je suis un peu heurté dans ce dualisme si judéo-chrétien : corps / esprit, mal /bien, femme = représentation du mal. Mais je pense que c'est peut être un filtre déformant de ma part.



J'ai stoppé la lecture presque au milieu. Mais j'y reviendrai certainement car comme d'habitude le verbe, la flamme, la poésie, la richesse des paraboles et "images" de cette plume me fascine.



En même temps il y a tellement de livres de lui à lire que je ne suis pas frustré, car je le retrouve avec plaisir très prochainement dans son œuvre si riche.
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Sourates

Une appétence du verbe, un chercheur marcheur autour des civilisations méditerranéennes Antique & Mystique et du petit chemin autour de sa maison et des campagnes. Digne Élu de la Philocalie ce “BonHomme” est un enchanteur qui parcourt les horizons lointains et celui du bout de son nez pour arriver toujours au dépouillement. Une production littéraire et spirituelle abondante et époustouflante pour vivifier la sobriété et la vigilance de l'Âme. Merci le confinement car son oeuvre est riche et j'en ai tout le loisir de le découvrir à petits pas.
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Chemin faisant

Il y a certains livres que l'on referme à regret. C'est le cas de "Chemin faisant", de Jacques Lacarrière. En tombant sur le point final, j'ai achevé moi aussi le voyage de l'auteur, 1000kms du nord-est au sud-ouest de la France. Là où les chemins noirs de Tesson ne m'avaient pas convaincue, là où les sentiers balisés de Ruffin ne m'avaient pas plus transportée que cela, les divagations philosophiques, poétiques et sensuelles de Lacarrière m'ont particulièrement séduite. "Chemin faisant", c'est aussi une galeries de portraits éphémères, dépeints sans angélisme. C'est l'observation d'une France qui entame sa fracture entre ville et campagne. Ce sont des considérations diverses, toutes ces idées qui jaillissent quand le cerveau est disponible, oublié par un corps occupé à mettre un pied devant l'autre. On retrouve dans "chemin faisant" l'écho d'un autre livre qui m'avait enthousiasmée : "Les pieds dans l'eau" de René Fallet. Un livre sur la pêche, cette dernière n'étant qu'un prétexte pour vanter les charmes de la solitude et de l'amitié, du bucolique et du temps retrouvé, mais qui n'apprend rien... sur la pêche. A lire donc. Je vous y invite généreusement.
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La religion, les maux, les vices

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La poussière du monde

Voir le visage des femmes baigné de larmes...



Depuis Gengis Khan, le coeur de l'homme n'a pas changé, sa soif de massacre et de sang non plus. Seules la tactique et les armes diffèrent. Dans son admirable livre La poussière du monde, Jacques Lacarrière nous raconte l'histoire du derviche et poète turc soufi Yunus Emré, homme de foi qui, dans sa quête spirituelle et son aventure humaine, parcourait les steppes d'Anatolie de monastères en caravansérails à l'époque (XIIIe siècle) où les terribles hordes du Grand Khan massacraient sans vergogne les peuples qu'elles asservissaient, coupant des têtes à tour de bras. Comme l'auteur de L'été grec nous le rappelle grâce à un témoignage de Gengis Khan “saisi à la source des lèvres et du coeur”, le véritable but des conquérants, leur seul appétit n'est au fond que de “voir le visage des femmes baigné de larmes”. de nos jours, les semeurs de discorde et de terreur n'ont pas d'autre visée. Ils tuent et sèment la mort pour leur seul bon plaisir. Nul Dieu dans cette affaire, nulle religion. « Viva la muerte ! » comme le hurlaient déjà en leur temps les membres de la Phalange espagnole. « Vive la mort ! » : c'est bien le seul cri de ralliement de ceux qui aiment faire couler le sang, hier comme aujourd'hui.



« [...] Gengis Khan savait pourquoi il entreprenait ces folles équipées qui lui valurent de constituer de son vivant, lui, le nomade, fils de nomade, le plus grand empire existant, non pour la seule gloire, les butins, les pillages et tout l'or du monde mais pour une raison plus profonde, qu'aucun conquérant avant lui ni même après lui n'osa jamais avouer, une raison inavouable en effet, révélée par un dialogue qu'il eut un jour avec Bo'ortchu, le plus vieux compagnon de son enfance nomade, à qui il avait demandé : “Quel est à ton avis le plus grand plaisir que puisse éprouver un homme ?” À quoi Bo'ortchu répondit : “C'est d'aller à la chasse un jour de printemps, monté sur un beau cheval, tenant au poing un épervier et un faucon et de les voir s'abattre sur la proie. - Non, dit Gengis Khan, pour moi la plus grande jouissance, c'est de vaincre ses ennemis, de les chasser devant soi, de leur ravir ce qu'ils possèdent, de voir les femmes qui leur sont chères le visage baigné de larmes, de monter leurs chevaux, de presser dans ses bras leurs filles et leurs épouses.” Voir le visage des femmes baigné de larmes ! Voici enfin l'aveu d'un conquérant, saisi à la source des lèvres et du coeur, un aveu dont aucun historien, spécialiste ou savant ne tiendra jamais compte car il est si étranger à tout ce qu'on pense être la cause des batailles et les buts des conquérants qu'il paraît incongru et même tout à fait incroyable. » (p. 68)



Aux pages 72 et 73 du même ouvrage, un merveilleux poème de Yunus Emré, traduit par Guzine Dino. La poésie, source de création originelle, est peut-être la seule arme spirituelle à opposer à tous les semeurs de mort.



« Nous avons plongé dans l'Essence

et fait le tour du corps humain

Trouvé le cours de l'univers

tout entier dans le corps humain



Et tous ces cieux qui tourbillonnent

et tous ces lieux sous cette terre

Les soixante-dix mille voiles

dans le corps humain découverts



Les sept ciels, les monts et les mers

et les sept niveaux telluriques

L'envol ou la chute aux enfers

tout cela dans le corps humain



Et la nuit ainsi que le jour

et les sept étoiles du ciel

Les tables de l'initiation

sont aussi dans le corps humain



Et le Sinaï de Moïse

et la pierre et la Kaaba

L'Archange sonnant la trompette

sont aussi dans le corps humain



Ce que dit Yunus est exact

et confirmés furent ses dires

Là où va ton désir est Dieu :

tout entier dans le corps humain. »



Et cet autre passage merveilleux à la page 79 et 80 :



« Sablier liquide, clepsydres des pensées et des prières, l'eau du bassin qu'Haci Bektas avait fait creuser à proximité du mûrier s'écoulait comme une source discrète récitant le bréviaire des heures. À l'ombre de cet arbre, Yunus aime écouter ces bruits qui sans cesse recommencent et sans cesse se renouvellent selon une progression savante : écoulement, ruissellement, roucoulement. Il éprouve le sentiment d'être en un lieu paradisiaque mais qui serait ici l'oeuvre de l'homme. Et il pense aussitôt, avec appréhension, que le sens et l'essence du paradis ne consistent pas à y demeurer ni à s'y endormir en une trompeuse félicité mais à savoir le quitter avant qu'on vous en chasse ! Ne pas recommencer la Chute, en quelque sorte ! Car le vrai paradis n'est ni derrière nous (comme voudraient nous le faire croire les traditions ésotériques et la plupart des religions) ni devant nous (comme voudraient aussi nous le faire croire les utopies de tous les siècles, marxistes ou non). le paradis est en nous seuls et à l'inverse de l'autre, celui de tous les catéchismes, il s'agit justement non d'en sortir mais d'y entrer. L'enfer aussi est en nous-mêmes. de toute évidence, le Grand Horticulteur a mêlé en nos coeurs, quand il conçut ses fleurs édéniques, la rose et l'aconit, le jasmin et la belladone. »



© Thibault Marconnet

le 14 novembre 2015
Lien : http://le-semaphore.blogspot..
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Les Fables d'Ésope: Suivies d'un essai sur l..

Chacune de ces fables pourrait s'incarner dans une situation de nos vies quotidiennes ! Un vrai régal !
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Dictionnaire amoureux de la Grèce

Pour qui , comme moi, a lu « L’été grec » l’amour de l’auteur pour cette terre, cette histoire , cette culture , ne peut être nié. Et sa compétence , son érudition , tout autant. Ce Dictionnaire n’est pas amoureux mais passionné , enivré de poésie , de mythes et de danses . Un bonheur aussi d’écriture car Lacarrière fut aussi un grand écrivain..
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Chemin faisant

Classique de la littérature de la marche à pied. Agréable lecture et invitations à la découverte.
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L'été grec

Très bel ouvrage sur la Grèce et sa culture. A lire absolument pour tout passionné du pays
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Un jardin pour mémoire

D'avantage que un roman ce livre est plus un compte rendu de notes et d'impressions de l'auteur qui revient sur une période de sa vie.



Il vit à Orléans au moment de la libération et il évoque pèle mêle l'arbre de son jardin ( un tilleul), ses camarades avec qui il vient en aide aux victimes des bombardements, ses premiers émois amoureux, la mort d'un compagnon...



L'auteur le fait avec une certaine décontraction et une mise à distance ce qui ne rend pas la lecture agréable, ni fluide malgré des pointes d'humour
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