Jérôme Le Gris

Ce premier opus de cette saga viking met, idéalement, en place le héros Elrik et ses motivations. Jérôme Le Gris et Benoît Dellac livrent les prémices d'une saga viking pleine de fureur, d'aventures et de sang. Une véritable odyssée guerrière et mythologique débute.
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Un récit imaginaire chevaleresque à l’époque des fleurets et des mousquets.
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Une uchronie pour être intéressante, on en a croise quelques unes sur B.O BD, doit avant tout être crédible, c'est à dire, qu'elle doit pour faire croire aux alternatives, s'appuyer sur une base qu'on sent maîtrisée. C'est tout à fait le cas ici, cette République avec ses factions, son système de duellistes et ses emprunts a l'Histoire étant tout à fait plausible. Pour ne rien enlever au plaisir d'un scénario prenant ou les intrigues politiques et l'action sont omniprésentes, le dessin dans un style réaliste dans la lignée d'un Lauffray ou d'un Alice (il y a pire comme comparaisons n'est ce pas), est parfaitement adapté au genre. Un premier tome réussi de bout en bout. Un peu de musique pour accompagner: http://bobd.over-blog.com/article-des-hommes-du-point-d-honneur-116307032.html
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Une découverte bd intéressante. L'encrage est sublime tout comme l'ambiance. On se retrouve dans un mélange étrange entre guerre politique et militaire moyenageuse et technologies militaires d'inspiration SF.



On suit donc les conséquences de la défaite de Hawkmoon dans une Europe dévastée. Prisonnier il va se retrouver soumis à la volonté de l'empereur ennemi qui le surveille d'une manière étrange...

J'ai une passion pour les récits et les mythes médiévaux, et il était impensable pour moi de passer à côté de cette interprétation du mythe Arthurien. Quant à savoir si elle demeure fidèle ou s'éloigne considérablement de l'idéologie originale, je ne saurais le dire avec certitude à la fin de ce premier tome. Mon appréciation pour cette nouvelle série reste en suspens... En ce qui concerne l'aspect graphique, j'ai ressenti une certaine déception en constatant la disparité de qualité entre la couverture et le style graphique général. Je ne prétends pas que cela soit médiocre, mais j'ai moins été conquis que par ma dernière lecture du même genre, "Les ombres de Thulé". Je demeure dans l'attente du tome 2, espérant que l'histoire se développera de manière plus captivante.

Eros et Thanatos



Lord Gravestone, formidable trilogie vampirique de Jérôme Le Gris et Nicolas Siner s’achève de la plus belle des façons…



Héritier d’une longue lignée de chasseurs de créatures des ténèbres, John Gravestone a été transformée en incube par une vampire prénommée Camillia qui l’a fait tomber sous son emprise… Ayant fait le choix de confier leur enfant à venir au monde des hommes, elle devra pour se faire s’acquitter d’un bien lourd tribut auprès de son maître, l’antédiluvien Basileus…



Porté par le dessin puissant et les somptueuses couleurs de Nicolas Sinner et servi par son remarquable sens de la composition, l’implacable récit de Jérôme Le Gris mêle habilement Eros et Thanatos dans un ballet romanesque et tragiquement romantique qui ravira les amateurs de chroniques vampiriques…
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Prémisses d’un règne annoncé



Premier opus d’une tétralogie, l’Epée Perdue revisite la geste arthurienne en l’ancrant dans l’époque où cette dernière est censée se dérouler, à savoir au Vème siècle après Jésus-Christ, peu après que les légions romaines aient abandonné l’île de Bretagne qui a alors sombré dans la violence et le chaos.



Arthur n’est alors qu’un chef de guerre fin tacticien et redoutable combattant, fils bâtard du Haut Roi des Basses Terres qui se meurt juste après avoir banni son fils Mordred pour le meurtre d’un roi allié. Héritier des savoirs anciens, Merlin œuvre pour faire d’Arthur son successeur pour mettre un terme aux guerres incessantes et meurtrières qui déchirent Alba tandis que Nimue, la Dame du Lac, est parti retrouver Calibur, la mythique épée du roi Pendraig Ru… Mais pour devenir le prochain Haut-Roi, Arthur se doit d’épouser la fille du défunt roi Leodan…



Le dessin puissant de Paolo Martinello et Benoît Dellac met superbement en scène le récit aussi captivant qu’audacieux signé Jérôme Le Gris… Et c’est peu dire qu’il nous tarde de lire la suite…
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Avec "L’épée perdue", les auteurs signent une belle réussite : celle de renouveler un mythe arthurien éculé.
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Les décors sont somptueux et le dessin impressionnant de puissance, de beauté violente. Des visages qui ont une force imparable. Sans oublier les débuts du Christianisme clé de voute de l’ensemble. Un excellent début.
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PRENANT



Le rythme de ce deuxième tome reste soutenu. Certains secrets sont révélés. Quelques grosses ficelles qui ne nuisent pas du tout à l'histoire. Encore un bon moment de lecture dans cette série qui éclaire un peu différemment le mythe du vampire.

On s’en délecte !
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Bel équilibre entre reprise des stéréotypes habituels et renouvellement, "Hawkmoon" est une série d’heroic fantasy à suivre par les amateurs du genre… et les autres aussi !
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une bataille décisive



Après un premier tome particulièrement convaincant, nous attendions avec impatience la suite des aventures du Duc de Köln, mené de main de maître par le tandem formé par Jérôme Le Gris et Benoît Dellac.



Moins populaire que celle d’Elric de Melnibonée, Dorian Hawkmoon n’en reste pas moins l’une des plus célèbres incarnations du Champion Eternel de Michael Moorcock. Dans ce second opus, on le retrouve alors que s’apprête à débuter la Bataille de Kamarg qui donne son nom à l’album et qui verra s’affronter les troupes du Comte Airain et celle menée par le cruel Baron Meliadus, Grand Connétable de l'Ordre du Loup… et naître l’histoire d’amour entre lui et Yisselda…



Superbement mis en image par un artiste très inspiré et des coloristes de talent, les planches de l’album sont de toute beauté et immerge le lecteur au cœur de cette séquence éminemment épique de cette histoire fascinante se déroulant dans un univers original mêlant dark medieval et science-fiction.


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Tome 2, Hawkmoon va-t-il trouver des alliés mais quel jeu joue-t-il vraiment ? Des scènes de bataille de beau niveau pour une saga qui sait persuader le lecteur de son originalité.
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PRENANT



Veille de l'an mille, l'apocalypse se déchaîne. Le monde connu disparaît et avec lui tout le savoir accumulé. Les hommes apeurés se torrent et de nouvelles organisations naissent. Mais une découverte va tout chambouler. Un premier tome de mise en place efficace prenant avec des personnages denses. A suivre!

Une BD fantastique qui reprend avec talent les codes classiques du vampirisme et de la lycanthropie. Un univers gothique, une histoire déchirante, des rebondissements palpitants, servis par un dessin élégant.

Dans ce tome 2, l’histoire prend un tournant inattendu, pour mieux nous surprendre (et peut-être nous briser un peu le cœur). J’ai encore plus dévoré ce volume, avide d’en savoir plus : je suis définitivement accro à ce titre ! Les dernières pages m’ont laissé horriblement frustrée…. Vivement la suite !

Bien balancée cette histoire avec surprise du chef à l’arrivée qui va pimenter la suite. Ambiances noires et sentimentales à souhait.
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Ce premier tome d’Hawkmoon est certainement l’un des récits incontournables de cette rentrée pour les amateurs de Fantasy. Quant à la suite, elle ne devrait pas tarder, comme nous le confirme Benoît Dellac, qui travaillera alors en solo pour la dessiner : « Le tome 2 est prévu pour le second trimestre de l’année prochaine. » Si la qualité et la vitesse d’exécution se maintiennent, c’est le signe qu’une incroyable nouvelle saga en bande dessinée est née.

L’histoire aux accents draculéens reste donc des plus entreprenantes et part dans des circonvolutions non pas originales mais très appréciables. Les personnages sont particulièrement convaincants, chacun dans leurs intentions et leur rencontre génère comme il se doit un sacré affrontement où la démesure peut prendre toute sa part, brutale, sanglante et imparable.

Graphiquement, c'est très efficacement mené, avec un style dynamique et très expressif, du très beau travail qui donne envie de lire la suite !
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