Jérôme Le Gris

Amusante coïncidence, j’ai regardé hier l’émission Secrets D’Histoire consacré à la légende d’Arthur et de ses chevaliers de la table ronde. Une légende maintes et maintes fois racontée, revisitée, en romans, en films, en séries, qu’elles soient humoristiques, dramatiques ou épiques ! La BD ne fait pas exception et me voici donc face à une nouvelle interprétation de ladite légende.



On peut se demander si ce roi mythique a vraiment existé ? J’ai souvent entendu dire qu’une part de vérité se cachait dans les légendes… Je vous laisse le soin de croire à ce que vous voulez, pour ma part, y croire est vraiment tentant ! Mais revenons-en à cet album que je trouve très bien travaillé. On y retrouve les personnages principaux du mythe mais aussi d’autres. Le contexte historique est bien mit en évidence avec les batailles entre les différents clans. Le côté dieux celtes également ainsi que l’introduction de la religion chrétienne. La légende avec les grands rois du passé est évoquée et bien sûr, la plus que mythique épée Excalibur !



Les dessins sont très beaux à mon sens et flamboyants, donnant l’allure d’une fresque plutôt épique. Petit bémol sur la police d’écriture qui mériterait d’être plus lisible et plus grande. Mais sinon, je suis assez charmée par ce premier tome et j’attends d’en savoir plus au prochain. Quatre albums sont prévus au total, il faut bien ça pour raconter l’histoire d’Arthur !
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TRES CHOUETTE



Un dernier tome qui explique tout, livre les bonnes clefs.

La ténacité fini toujours par payer.

La fin qui vient clore cette trilogie laisse peu de doute quand à la création d'une seconde trilogie qui je l'espère sera du même acabit. En tout cas je la souhaite et l'attends déjà avec impatience.

Étant une passionnée de légendes arthuriennes et autres chansons de geste médiévales, c'est agréablement surprise que je découvre cette version de la légende du roi Arthur.

Les dessins sont à couper le souffle et la mise en page quasi parfaite. On ressent l'atmosphère supposée de l'époque.

Une excellente lecture. Les dessins sont tout bonnement à coupé le souffle. Vraiment j'ai passé de longue minutes devant chacune des planches. Et l'histoire n'est pas en reste. Les dialogues sont écrit avec une superbe plume plume et l'histoire est prenante. D'autant plus quand on connait mon amour inconditionnel pour tout ce qui traite des légendes arthuriennes. Je vous le recommande chaudement.

Ce second tome se concentre sur la bataille de Kamarg, l'occasion pour le dessinateur de nous montrer tout son talent pour les grandes planches rempli de détails. Les dessins sont vraiment superbes et rendent hommage à une incroyable série de fantasy. L'histoire suit son cours, je pense qu'on avancera un peu plus sur la prochaine bd,

📚Dorian Hawkmoon, duc de Köln, résiste vaillamment aux assauts de l'Empire Grandbretane.

En vain !

Tentant de sauver son père, il dépose les armes devant le baron Méliadus.

En lui implantant le joyau noir sur le front, l'empereur Grandbreton fait d'Hawkmoon un soldat à sa solde, obligé d'obéir pour échapper à la mort.



🖊Hawkmoon de Jérôme Le Gris semble bien parti pour suivre la trace des bonnes adaptations de Michael Moorcock avec une approche scénaristique respectueuse.

Il nous concocte un récit riche multipliant les discours stratégiques et les affrontements épiques.



L'univers mixe à merveille ambiance médiévale et petites touches de science fiction parfaitement mises en image par Benoît Dellac.

Si Hawkmoon n'a pas la prestance gothique d'Elric, il se démarque par son imagerie typique des grands héros chevaleresques.



🧔 Chronique complète :

Un intérêt qui se maintien



Le.premier tome avait piqué mon intérêt. Ce deuxième opus confirme le plaisir à lire cette aventure se déroulant bien apres l'apocalypse de l'an mille. La recherche du savoir des anciens se poursuit et interresse toujours autant. La multitude de forme de vie et de clans rend le tout plus vivant encore

Je suis tombée par hasard sur ce titre à la bibli et je me suis dit que j’avais bien envie de me lire une petite histoire classique de vampire. Et classique, ce 1er tome de « Lord Gravestone » l’est assurément. Nul doute d’ailleurs que c’est ce que lui reprocheront certains. Moi, ça ne me dérange pas tant que c’est bien fait, ce qui est ici le cas. « Lord Gravestone » ne révolutionne pas le genre mais propose un bon récit prenant, avec des personnages archétypaux réussis et un dessin plaisant. Je n’attendais rien de plus, juste de passer un bon moment, je sors donc contente de cette lecture et je lirai la suite avec plaisir.

Cette BD va nous entrainer dans un univers vraiment très intéressant et angoissant, oppressant également. J’ai vraiment aimé l’histoire, originale et maitrisée, avec des illustrations fortes et des personnages qui font tout pour survivre dans ce monde apocalyptique.

J’ai vraiment passé un excellent moment et je recommande ce premier tome à tous les lecteurs curieux qui souhaite s’immerger pendant quelques instants dans un autre monde ou le danger rôde à tous les coins 

Le point de convergence pour la bataille ultime : Islandia !



Ironie du sort, si Elrik et Tara des Sames, tous deux Berserks d'Odin espèrent avoir une chance de vaincre les guerriers-mânes de Grim le Loqueteux, l'armée des morts, commandée par ... Nessa dont Elrik était tombé amoureux... il faudrait le faire d'une part sans la magie, ce qui complique déjà pas mal la donne, mais il doit aussi envisager de s'allier à son ennemi, Hàkon.



Vu leur passif, si la moindre chance existe que cette alliance se fasse, Elrik doit aussi envisager devoir en payer le prix fort... tout comme Islandia.

On ne s’ennuie pas vraiment sans jamais être emballés toutefois [...] les références à la culture viking ne sont pas inintéressantes mais, trop nombreuses, ralentissent le rythme et la narration hoquette, avec tous ces personnages présentés façon mitraillette [...] Le résultat se révèle alors didactique et pesant.

Cette BD est un peu entre deux chaises. Les sacro-saintes 48 pages qu'imposent certains éditeurs dans leurs collections sont sans doute un élément d'explication mais ce n'est pas le seul. La biographie de Jeanne d'Arc proposée est très appliquée sur le fond, au sens où ce sont les faits attestés et vérifiables qui sont mis en avant. Le travail avec l'historienne, qui signe par ailleurs la postface, y est sans doute pour beaucoup. Le problème à mes yeux c'est que la BD n'est pas suffisamment aboutie pour proposer une approche réellement documentaire de la vie de Jeanne d'Arc (souvent, des éléments sont évoqués très en surface), et bien trop impersonnelle pour nous proposer un regard original sur cette vie. Quant au dessin, j'ai eu l'impression qu'il perdait en qualité au fur et à mesure de la lecture. Si l'on compare les premières pages et les dernières sur le traitement des visages par exemple, c'est flagrant. Au final, cette BD met souvent en avant l'audace de Jeanne d'Arc met en manque un peu.

Une superbe BD qui rafraîchit un pan d'Histoire "qu’on connaît sans savoir" et qui réussit à faire de nous des fans inconditionnels (!) de la courageuse et investie combattante.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

J'ai eu du mal à me mettre dans l'histoire, que ce soit ce deuxième tome ou le premier. J'ai pourtant persisté parce que je ne voyais pas pourquoi il en était ainsi. L'histoire est bien faite, un peu originale, même si le premier est un peu plus long à débuter, suffisamment complexe pour qu'elle soit intéressante mais pas trop pour ne pas nous perdre. Les personnages assez bien fait et plutôt sympathiques, on en sait mal pour eux pour qu'ils soient attachants, mais j'ai eu pourtant du mal vraiment à m'y attacher. Du coup je n'ai pas été trop tourmentée par leurs malheurs. Je suis vraiment restée à l'extérieur de l'histoire. Même les dessins font correctement leur travail. Clairs, nets et précis. Jolis, agréables.

Non je n'ai pas d'explications à cette lecture qui m'a parut interminable mais pas inintéressante.

"Lord Gravestone: Le Baiser Rouge" est :

- Gothique.

- Classique.

- Bien fait.

- Sage.



Globalement, on a tout dit.

Le trait de Nicolas Siner est particulièrement réussi, tout en angles biscornus, en arbres morts, en plaines enneigées avec option vent hurlant, en loups affamés et bien sûr, en vampires charnelles dont le vrai visage est évidemment terrifiant (un profil Tinder, quoi).

Le scénario de Jérôme Le Gris est, pour le coup, extrêmement classique: on est sur du chasseur de monstres, héritier familial avec le poids du deuil encore sur les épaules, et on a tout le folklore qui va avec : un peu de religion, un peu d'occultisme, du romantisme... Et surtout du gothique.



La seule chose que l'on pourrait vraiment reprocher à ce premier tome, c'est son grand classicisme. Je reconnais aisément que c'est bien fait et très agréable à lire: difficile cependant d'être extasié outre mesure, tant il s'agit d'une histoire lue / vue / écoutée mille fois.



Mais bon, pourquoi pas! Le genre regorge d'afficionados, pourquoi ne pas en profiter?

Avec le deuxième album de cette adaptation BD d’Hawkmoon, le monde de Michael Moorcock et ses personnages livrent enfin un peu plus d’informations aux lectrices et lecteurs qui ne connaîtraient pas du tout les romans, que ce soit concernant les Granbretons, Ysselda, Hawkmoon lui-même…
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..

L’album, avec son univers mystique et ténébreux, possède de multiples qualités graphiques. Une ambiance particulièrement réussie par Nicolas Siner qui nous plonge dans une Angleterre pluvieuse et inquiétante, où les prêtres affrontent les succubes sortis des enfers.
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Les Âges Perdus est une BD de fantasy post apocalyptique au propos original et aux perspectives d’évolution réjouissantes. Le récit, très introductif, permet de poser les bases d’une saga promettant des rebondissements et des thématiques intéressantes ! Une série à suivre dont on attend la suite !
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Avec “Les Mânes de Loki”, Jérôme Le Gris (scénariste de Horacio d’Alba) et Benoît Dellac (Sonora, éditions Delcourt) clôturent le premier cycle de leur série Serpent Dieu. Ce troisième épisode fait encore plus la part belle aux combats, nous donnant ainsi un avant goût du Ragnarök. Avis aux amateurs de récits mythologiques scandinaves !
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Avec Serpent Dieu, Jérôme Le Gris (scénariste de Horacio d’Alba) nous propose une nouvelle grande saga teintée de mythologie, se déroulant cette fois-ci dans l’univers des Vikings.
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