Lauren Weisberger

J'ai voulu jeter ce livre à la poubelle à maintes reprises mais je me suis abstenue -principalement- parce qu'il était emprunté.

Il est vrai que j'apprécie l'écriture d'un journal intime, mais lire la version languissante d'autrui est moins drôle.

Andrea n'était pas la seule personne trahis à la fin du livre...

Je me faisais une joie de retrouver Andy que j'avais adoré dans "Le Diable s'habille en Prada" (sa personnalité, ses mésaventures, ainsi que le fait de partager avec elle sa haine contre Miranda). Mais j'ai été quelque peu déçue ... En effet j'ai aimé connaitre l'évolution d'Andréa, son nouveau satut d'épouse, de mère de famille, mais également de chef d'entreprise (son magazine The Plunge avec son ex meilleure ennemie Emilie) mais l'auteure ne creuse pas assez tous les problèmes évoqués. On ne comprend pas tellement le titre, pourquoi une vengeance? Et alors qu'on nous laisse croire que Miranda tiendra une place imoprtante dans l'histoire, il n'en est rien puisqu'on la retrouve peu.



De plus les flash backs sont trop présents alors que la fin est baclée. On aurait aimé savior se qu'il se passe de manière plus approfondie ... Au final il n'y a pas beaucoup d'intrigue et on comprend vite ce qu'il va se passer.



Ai final ce livre reste agréable à lire, un vrai livre de fille, pas pas mon préféfé de cette auteure!!

Un livre frais et agréable qui se lit facilement. On s'attache rapidement aux personnages tout en découvrant à travers les yeux de Beth l'univers pas très lisse du showbiz. L'histoire est fluide et connait une fin telle qu'on les aime!

Un peu déçue par ce second opus du diable qui met beaucoup de temps à apparaître et à entrer sur le devant de la scène. Miranda Priestley n'est qu'en filigrane, insidieuse, elle n'occupe jamais l'espace. Il est davantage question de la vie de famille d'Andy, après un long retour sur sa rencontre avec son futur mari, le mariage légèrement perturbé par quelques coups de théâtre et une grossesse inattendue, que d'un retour en fanfare de la célébrité la plus redoutée du monde de la mode. Le livre vit beaucoup dans le passé pour expliquer les 10 ans d'ellipse temporelle mais il ne se concentre pas suffisamment sur le présent : la fusion du magazine d'Andy avec Elias-Clark, et surtout ses retombées. Certes, le final montre comment sous des apparences mielleuses, le diable sait arriver à ses fins, mais le livre est passé à côté du sujet principal...

Même si l’histoire est intéressante, elle ne m’a pas captivé plus que ça, et reste légère.

Une femme méchante, cruelle, Miranda, rédactrice en chef d'un prestigieux magazine de mode. Andréa, qui ne connaît rien à la mode, se verra engagée comme assistante de Miranda mais sera plus en fait "esclave" de Miranda.



Ces deux éléments donnent une histoire captivante qui se laisse lire facilement.

Dans le film, Miranda est beaucoup plus gentille. J'ai préféré de loin le livre car le méchanceté de Miranda qui y est plus présente rend l'histoire plus intéressante.

De plus, Andréa nous livre l'univers de la mode, qui s'avère superficiel, avec ironie et sarcasme, ce qui le rend drôle.

En résumé, j'ai adoré ce livre et J'ai hâte de lire "vengeance en prada".

J'avais lu le diable s'habille en Prada, et vu le film il y a très longtemps, pourtant je n'ai eu aucun mal à entrer dans l'histoire.

Paradoxalement, il se lit vite, mais on s'ennuie pas mal. On devine toute l'histoire très vite et les états d'âmes d'Andrea sont très nombreux et assez mièvres.

Je regrette que le duo Miranda/Andrea ne soit pas plus développé.

Bref, bon livre de détente mais sans rien attendre de plus.

J'avais adoré le Diable s'habille en Prada et j'étais ravie d'apprendre que l'auteur avait écrit une suite.



J'ai quelque peu déchanté. Andréa a muri, elle ne se laisse plus faire. Il faut dire que l'expérience « Miranda » a laissé des séquelles mais elle a aussi transformé Andréa en une personne plus sur d'elle.



Sa vie a changé du tout au tout et un des aboutissements sera son mariage avec Max.



J'ai été déçue par cette suite. L'histoire d'Andréa se suit bien mais il n'y a pas de petit plus qui a fait le charme du Diable.



Je me suis un peu ennuyée et la fin ne m'a pas surprise car un peu convenue tout de même.

Est-ce vraiment l'auteur du Diable s'habille en Prada qui a écrit cette daube?

L'histoire est implantée dans le milieu de la comm et des relations presse – que je connais quand même un tout petit peu – de manière plate, cliché et sans surprise. Des qualificatifs qui siéent à merveille à Beth, le personnage principal de l'histoire dépourvue de la moindre fibre d'une héroïne. Une éponge m'aurait probablement inspirée d'avantage d'empathie. Le problème étant que j'ai déjà oublié toutes les autres éponges (comprendre : tous les autres personnages).

Aucun but à l'histoire, aucun personnage fort, aucun intérêt à la lecture.
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La seule interrogation suscitée par ce roman est de se demander si quelque chose d'intéressant va finir par arriver. Les pages défilent sans qu'aucun rebondissement, digne de ce nom, ne se produise. L'histoire est à classer dans un style équivalent des collections Arlequin d'antan.

À ce jour, je me demande encore en vertu de quoi le terme de "vengeance" a t-il été choisi pour le titre. Je m'attendais à quelque chose de plus subtil ou au moins de plus divertissant. Raté !

Voilà, je suis entrain de terminer la lecture de Vengeance en Prada ( il me reste une petite centaine de pages) et pour le moment surtout ne vous precipitez pas pour l'acheter à mon humble avis. Ce livre est juste une banale suite, il me reste 3 chapitres à lire et la vengeance pointe tout juste son nez, l'heroine se pose de "grandes questions existentielles" complètement inutiles, se laisse mener par le bout du nez par sa nouvelle grande amie. Et en plus l'humour a disparu. Heureusement que Le Diable s' habille en Prada a eu un franc succès car il a surement aidé pour la Vengeance en Prada qui pour moi est un raté.

Enfin il me reste 3 chapitres pour changer d'avis...et modifierai ma critique dans ce cas...mais avant tout il faut que je m'accroche pour le terminer.

Dix ans après le succès planétaire de Le diable s'habille en Prada, Lauren Weisberger revient avec Vengeance en Prada, la suite très attendue des aventures d'Andy et Miranda.



Dix ans ont passé depuis la rencontre explosive entre Miranda et Andrea. Plutôt que de reprendre les choses juste après l'histoire originale, Lauren Weisberger a préféré imaginer ce qui était arrivé à ses personnages et ce qu'ils étaient devenus dans le monde actuel. Une intention louable et un challenge de taille que l'auteure a su relever en signant une suite plutôt réussie.



Mais la quatrième de couverture a beau vanter une suite haute en couleurs, affirmer que "le diable est de retour" et qu'il est "plus infernal que jamais", Vengeance en Prada n'est pas la suite que des millions de lectrices, accros aux (més)aventures d'Andy s'attendaient à lire dans ce joli pavé de presque 500 pages.



Dans Vengeance en Prada, on retrouve une Andrea à qui tout semble avoir réussi. Co-fondatrice d'un magazine haut de gamme en vogue à Manhattan, elle mène une brillante carrière de journaliste et file le bonheur parfait avec Max, le riche héritier d’un empire de la presse qu'elle s'apprête à épouser en grande pompe. Bref, le rêve ! Mais, c'était sans compter sur le retour de sa cruelle et impitoyable ancienne patronne, Miranda...



Et c'est précisément là que le bât blesse car si l'on est ravie de retrouver Andrea, de la découvrir en femme d'affaire accomplie dans une nouvelle vie parfaite, on ne peut que regretter que sa vision des choses (notamment en ce qui concerne l'amour) n'ait pas beaucoup changé par rapport au premier opus ! Lauren Weisberger se contente de décrire les préoccupations presque banales d'une jeune trentenaire, dont le quotidien est fait de luxe et de mondanités. Si l'on se réjouit de sa carrière aussi brillante que fulgurante, on en arrive aussi à regretter qu'Andrea ait perdu l'épaisseur et la richesse psychologique qui avait fait d'elle un personnage si attachant dans le premier volume ! Elle est devenue une working girl comme on nous en décrit tant dans les romans de chick lit et c'est bien dommage !



Plus dommage encore, le manque de machiavélisme de Miranda ! En dix ans, force est de constater qu'elle n'est plus le personnage tyrannique et narcissique que l'on avait adorer détester dans Le diable s'habille en Prada. Elle a perdu de sa fougue et les fans seront sans doute déçues par ses trop rares apparitions.



Cependant, si le roman manque de piquant et de cette pointe de méchanceté qui avait fait tout le succès du premier opus, il n'empêche que Lauren Weisberger a tout de même su réserver quelques bonnes surprises à ses lectrices. Vengeance en Prada est un roman divertissant qui mérite le détour. Celles qui ont aimé la détermination et le courage de la douce Andrea seront ravie de retrouver leur héroïne et les événements existentiels que l'auteure lui réserve. Quant aux admiratrices de la cruelle Miranda, qu'ils se rassurent : elles adoreront tout de même la vengeance sournoise qu'elle a concoctée !



Beaucoup moins drôle et méchant que Le diable s'habille en Prada, Vengeance en Prada est une suite honnête et cohérente qui fera le bonheur des amateurs de chick lit. Sans doute pas le roman de l'année mais une lecture agréable qui tire honorablement son épingle du jeu.
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Un peu long à démarrer, mais finalement nous retrouvons avec plaisir les personnages du premier tome, Andy est maintenant à la tête de son propre magazine de mariage, qui plus est avec son ennemie jurée d'hier, Emily. Alex est loin et Andy est sur le point de se marier, tout va pour le mieux jusqu'à ce que Miranda réapparaisse...

Un bon cru de chick lit , le premier comme le deuxième tome.

Terminé hier soir, et honnêtement, j'étais contente d'avoir fini.

Je ne suis pas du tout rentrée dedans. J'allais tout le temps voir plus loin ce qu'il se passait.

Je suis assez déçue de la façon dont le personnage principal, Andy, a évolué. Elle me faisait plus penser à la fille dans "L'accro du shopping" (qui m'avait profondément agacée), qu'à la Andy du premier livre. A travers tout le livre, elle passe son temps à faire les mêmes erreurs. Elle découvre la lettre de sa belle-mère, elle décide de ne pas en parler, et donc de se faire un film. Elle apprend qu'elle est enceinte, elle décide de ne pas en parler tout de suite, et donc se fait un petit film sur comment les choses vont se passer. Elle décide de ne pas parler franchement à Emily de ce qu'elle pense du rachat du magazine, elle se fait doubler... Encore et toujours les mêmes choses, en boucle.



Aussi, j'ai lu ce commentaire quelque part, et je le trouve tout à fait justifié : pour une fille qui s'est faite trahir dans le premier livre, je trouve qu'elle fait confiance bien facilement dans ce deuxième livre. Comme si elle n'avait rien apprit de ses erreurs... N'importe qui serait un peu plus méfiant.



En ce qui concerne Miranda, j'avais lu qu'elle n'était presque pas présente. C'est vrai qu'on ne la voit pas aussi souvent que dans le premier, mais elle est quand même là. Et puis ils n'arrêtent pas de parler d'elle... Elle s'insinue quand même dans leurs vies. En revanche, je trouve le titre assez maladroit. Pour moi ce n'est pas une vengeance, puisque Miranda ne se souvient même pas d'Andy ou d'Emily. Une vengeance, ça aurait été si elle avait voulu intentionnellement faire du mal précisément à ces deux personnes là... Alors qu'en fait c'est plus ou moins une coïncidence.



La seule chose qui fait que je mets 2 étoiles et non pas une, c'est que j'ai commencé à rentrer dans le livre environ 75 pages avant la fin, quand Andy apprend le coup d'Emily / Max, et tout ce qui suit. J'aime bien aussi la fin, parce que ça fait happy ending sans non plus trop rentrer dans le mélo.

Mais je trouve quand même sa décision de divorcer un peu... directe. Je veux dire, oui ce que Max a fait est horrible, elle a de quoi ne plus avoir confiance en lui, etc. Mais bon... Elle prend sa décision tout de suite, pas plus de réflexion que cela, et hop on n'entend plus parler de Max. Le pauvre, il ne méritait pas ça. Je trouve que l'auteur nous le fait presque trop aimer, si c'est pour en faire ça ensuite. Il a (presque) tout bon pendant tout le livre, et tout à coup, boum, il a tout faux.



Je suis donc assez déçue par ce livre. Je l'ai fini parce que je n'aime pas arrêter un livre, mais je ne le conseillerait pas, et surtout pas aux fans du premier livre ou du film.

Comme beaucoup, j'ai adoré Le Diable s'habille en Prada.

Comme beaucoup, quand j'ai su qu'il y avait une suite, j'ai absolument voulu la lire.

Et comme beaucoup (je pense), je ressors mitigée de cette lecture.



Il y a dix ans, Andrea a plaqué son job de rêve d'assistante de Miranda Priestly pendant la semaine de la mode à Paris.

Mais elle a su rebondir, en fondant avec Emily, elle aussi ex-assistante de Miranda, le magazine The Plunge, spécialisé dans les mariages.

Andrea a su faire face à l'adversité, elle a 30 ans, du succès, et s'apprête à se marier.

Mais Miranda n'a rien perdu de son flair: The Plunge a du succès, et elle sait qu'il y a là une opportunité à saisir: racheter le magazine afin qu'il fasse partie de la ligne éidtoriale d'Elias Clark...



La première chose à m'avoir interpellée dans ce livre, c'est l'amitié entre Andrea et Emily. Le moins que l'on puisse dire, c'est que dans le premier opus leurs relations n'étaient pas franchement au beau fixe.

Et là pouf, on les découvre meilleures amies, avec Emily comme témoin de mariage d'Andrea, et sur le coup je me suis demandée si je n'avais pas loupé un épisode. Fort heureusement, l'explication nous sera donnée plus loin dans le récit, car j'avoue que sur le coup je me suis demandée si je n'avais pas été trompée sur la marchandise: elle est où Emily-la-garce que j'adorais détester?



Mis à part ce petit détail, ma lecture a été plutôt agréable. j'ai retrouvé avec plaisir la plume de Lauren Weisberger et les personnages hauts en couleur de Runway.

On apprend que Miranda n'a pas été des plus charmantes avec Emily (qu'elle a fini par mettre à la porte), qu'Andrea a eu une liaison avec Christian Thompson (mais si, l'écrivain hyper sexy), qu'elle a renoué avec Emily par hasard, et que celle-ci lui a présenté son futur mari, un beau gosse millionnaire.



Bref, la Andy du Diable s'habille en Prada est bien loin! On retrouve une femme plus mûre, plus sûre d'elle (quoique...), heureuse en amour et au succès florissant.



Et si finalement tout n'étaut pas si rose? Andrea continue tout de même à faire des cauchemars la nuit, se retrouvant perchée sur des stilettos de 10cm, le fameux portable vissé à l'oreille avec la voix de Miranda ponctuant ses ordres du célèbre "c'est tout". Un poil névrosée, non?



Emily a-t-elle vraiment changé? Si elle n'hésite pas à reconnaître que Miranda l'a traitée de la plus humiliante des manières, elle est pourtant prête à tout quand celle-ci se rappelle à leur bon souvenir afin de racheter The Plunge. Finalement, l'ancienne Emily n'est peut-être pas morte, ouf!



Pourtant, il y a des détails qui ont quand même sacrément gâché ma lecture.



La non-présence de Miranda, par exemple. On sous-titre ce livre: Le retour du Diable: euh bah, pas vraiment, non. Miranda apparaît très peu, certes toujours égale à elle-même, mais j'ai trouvé sa présence trop épisodique.

De même, niveau vengeance, bah bof quoi, j'ai déjà vu beaucoup mieux dans le domaine!



Heureusement, la fin m'a plu. On peut y voir une ouverture pour un éventuel 3è tome, ou y voir une jolie conclusion de l'histoire d'Andy, au choix.

Cette fin, bien qu'un peu prévisible, réhausse un peu l'ensemble. J'ai vraiment aimé ma lecture, j'ai passé un bon moment avec, mais je pense franchement que je l'aurais encore plus appréciée si elle n'avait pas été estampillée "suite du Diable s'habille en Prada", s'il s'était agi d'un roman totalement à part.



En tant que roman indépendant, il est plutôt pas mal, mais en tant que suite, il est décevant.
Lien : http://pinklychee-millepages..

C'est les fêtes, on oublie les thrillers, les cadavres, les enquêtes et on se plonge dans quelque chose de plus léger. "Vengeance en Prada" était le choix idéal pour m'accompagner lors des ces fêtes de fin d'année 2013.

Contrairement à mes habitudes, j'avais en premier vu le film "Le diable s'habille en Prada" avant de découvrir l'excellent roman.



Dans "Vengeance en Prada", on retrouve Andy, personnage principal du tome 1 qui reste hantée par son année de travail pour Miranda Priestly chez Runway. Pourtant cette expérience remonte à 10 ans, c'est dire le traumatisme vécu. Mais cette décennie a vu Andy grandement évoluer. Elle est à la veille de son mariage et est co-rédactrice d'un magazine à succès sur les mariages avec son ex-meilleure-ennemie: Emily. Une vie de rêve qui s'assombrit avec le retour du claquement des talons Prada de Miranda.



Ce roman a été une réelle bouffée d'air frais pour moi. On baigne du début à la fin dans un univers de luxe, ce qui permet de rêver un peu. Cocktail, grands couturiers, vacances..; et le champagne qui coule à flot. Bienvenue au pays des bisounours me direz-vous ? On peut le croire en effet. Les grandes valeurs de la vie sont déballées dans chaque chapitre: il faut travailler dur pour avoir une vie confortable, il faut être fidèle et il faut se marier puis fonder une famille. Un peu de modernisme en prônant le mariage homosexuel et, allez, on peut fumer un petit joins de temps à autres, au final ça ne nous tuera pas.





Mais au final, la leçon principale de ce roman reste qu'il ne faut pas placer le superficiel avant tout. Les vêtements griffés, c'est beau mais ce n'est rien en comparaison de ce qu'est réellement la personne.





Bref, j'ai adoré retrouver Andy pour de nouvelles aventures, je conseille cette suite à tous ceux qui ont un besoin de détente.
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leger...

Célèbre auteur, Lauren Weisberger nous amène une nouvelle fois dans une vie trépidante. Elle nous montre la difficulté d'être la femme d'une célébrité. Les paparazzis et les nombreux concerts... Comment avoir une vie privée avec tous ça ? C'est ce que tente de nous montrer l'auteur avec des mots simples et marquants. L'édition est intéressante avec une illustrations en couverture bien représentative de l'histoire.

Beaucoup moins bien que le Diable s'habille en Prada à mon avis. Des personnages un peu cliché, une fin décevante car trop optimiste à mon avis, bref, pas indispensable...
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Un roman de gare, sans prétention, assez insipide tant au final il ressemble à tous les autres, des filles, trop belles riches et intelligentes pour être crédibles dans les problèmes qui sont censés être les leurs.



L'histoire est sans grande surprise, mais là encore ce n'est pas une surprise.



Tout comme une autre critique, je ne sais pas pourquoi je m'entête à lire des livres qui ne m'apportent rien au final. Mais finalement la lecture c'est ça aussi, lire des livres pas forcément intelligents, mais qui vident la tête, et c'est déjà beaucoup.



Et c'est toujours mieux qu'un harlequin !