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Critiques de Raymond E. Feist (877)
La Guerre des ténèbres, tome 2 : La Dimension..

Salut les Babelionautes

Cette Saga de Raymond E. Feist atteint des sommets avec cette trilogie de "La Guerre des ténèbres" ou ce qui a commencé par "la Guerre de la faille" devient un affrontement du Bien et du Mal.

Midkemia et Kelewan sont sur le point de subir une invasion par un peuple dépourvu de tout sentiment, sauf celui de tuer.

Pug, Magnus et Nakor vont se rendre sur le monde des Dasatis, ces êtres qui n'aiment que faire souffrir et tuer, leur but est de faire échec au Dieu Noir qui les a perverti.

Pendant ce temps sur Midkemia, les trois fils adoptifs de Caleb ont intgrés une université pour approfondir leur connaissances.

Ils vont d'abord affrontés d'autres étudiant avant de s'en faire des amis, puis intégrer l'armée de Rolden en tant que lieutenant.

Ce tome se termine sur des retrouvailles avec l'un des personnages les plus énigmatique de cette Saga et que l'on croyait, à tort, disparu.

C'est toujours grâce au talent de traductrice d'Isabelle Pernot que j'ai la chance de dévorer cette Saga, Merci pour tous ceux qui comme moi ne lisent qu'en Français.
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Le Legs de la Faille, Tome 2 : Krondor : le..

Salut les Babelionautes

Voila, je referme a l'instant le deuxième tomes de la trilogie qui porte comme titre générique "Le Legs de la Faille".

Cette trilogie se concentre sur la famille du Prince Arutha , ou l'on apprend que William, le fils de et Pug fait carrière dans l'armée.

Bien sur j'ai retrouvé avec plaisir James, jimmy les mains vives, toujours aussi adroit et rusé, ils devront encore une fois déjoué un complot visant des Nobles d'une Citée Libre.

Toujours aussi fluide, le récit qu'a imaginé Raymond E. Feist nous entraîne avec eux dans un Maelstrom ou même les Moqueurs vont laissé des plumes.

L'épisode ou il doivent combattre au sein d'une forteresse en ruine est palpitant, et bien sur la Magie Noire est encore a l'oeuvre.

Il y a toujours ce petit problème de lire le même scénario mais je m'en fous, sa ce laisse lire et du moment qu'on y prend plaisir que demander de plus.

C'est toujours Isabelle Pernot qui a assurée la traduction, c'est grâce a son travail que je peux lire cette Saga qui s'en elle me serait complètement hermétique, Merci.
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La Légende des Firemane, tome 1 : Le Roi des ..

Ne connaissant le cycle de Krondor que de réputation (et quelle réputation !) c’est d’un oeil neutre que j’aborde ce roman de Raymond E. Feist, premier tome de la trilogie consacrée à La Légende Des Firemane.



Le Roi Des Cendres remplit parfaitement son rôle de tome d’ouverture sur un nouvel univers, il pose le décor, les personnages et le(s) contexte(s). On découvre un univers complexe riche d’un fort potentiel qui ne demande qu’à déployer ses ailes pour nous embarquer encore plus loin dans l’aventure.



L’intrigue du roman se déroule suivant deux axes distincts. D’une part l’on suit Hatu (orphelin que l’on sait être le dernier né des Firemane) au fil de ses missions pour le compte de la Nation Invisible. D’autre part l’auteur nous invite à suivre les premiers pas de Declan, récemment promu maître-forgeron qui va devoir, par la force des choses, installer sa propre forge.



Deux parcours initiatiques radicalement différents qui sont forcément appelés à se télescoper à un moment ou à un autre. Dans les premiers chapitres, l’on a un peu de mal à lier le sort de ces deux personnages ; on a beau comprendre assez vite que la rencontre sera fortuite (les deux étant appelés à se rendre, tôt ou tard, au même endroit), je ne doute pas que l’auteur nous réserve quelques surprises pour la suite.



J’ai bien aimé le soin apporté aux personnages, au fil des chapitres on les voit évoluer, que ce soit individuellement ou par leurs relations avec les autres. En effet, si Hatu et Declan sont les personnages principaux, les autres ne sont pas pour autant laissés sur le bas-côté. À commencer par leur entourage immédiat, mais aussi ceux appelés à jouer un rôle (pas toujours évident à définir à ce stade de la lecture) dans le déroulé de l’intrigue.



L’intrigue se tisse autour de dimensions politiques et religieuses (voire mystiques par certains aspects), ce qui implique son lot d’alliances, de complots et de trahisons. Certains éléments stratégiques se mettent en place dès ce premier tome, mais l’on en voit d’autres se tisser dans un avenir relativement proche.



Difficile d’imaginer un univers de fantasy sans créatures surnaturelles ni magie, si ces éléments se font plutôt discrets dans ce premier opus, on devine qu’ils sont appelés à jouer un rôle grandissant par la suite (au moins pour la magie).



J’admets volontiers que ce Roi Des Cendres ne révolutionnera pas le genre, il n’en reste pas moins que j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir le monde Garn, ses personnages et ses intrigues. Il me tarde de découvrir les prochains tomes…



Je terminerai toutefois par un petit bémol, certains éléments sont répétés, encore et encore, au fil des chapitres (par exemple la colère sourde d’Hatu ou encore le fonctionnement du Conseil de la Nation Invisible…) ; je n’irai pas jusqu’à dire que c’est pénible (à moins de souffrir d’Alzheimer chronique) mais on s’en passerait volontiers.
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La Guerre de la Faille, tome 4 : Ténèbres sur..

Ce tome conclut la quadrilogie Les guerres de la faille, départ des Chroniques de Krondor (comportant 30 livres, dans l'édition de base). J'ai beaucoup aimé la série dans son ensemble, même si les deux premiers tomes se détachent tout particulièrement des autres, en terme de qualité.



On y suit deux histoires en parallèle, celle d'Arutha d'un côté qui veut en finir avec les ennemis de l'empire, et celle de Pug de l'autre, qui doit sauver le monde. Rien que ça !



Les classico-classiques du genre sont présents, c'est parfois un peu ennuyeux, mais à la fois très prenant. C'est là le tour de force de l'auteur, à mon sens, car il me fait aimer une intrigue qui ne me surprend pas, et c'est plutôt rare.



Je n'arrive pas à me décider quant à quel morceau de la série je vais lire maintenant. Je peux suivre l'ordre d'écriture, ou continuer directement l'histoire des héros rencontrés dans cette première série. Dilemme !
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La Trilogie de l'Empire, tome 1 : Fille de ..

Découvert par hasard en flânant sur le tag "fantasy" de Babelio et connaissant R.E Feist de nom. Je me lançai dans cette trilogie pour le challenge pavé avec espoir.



Ce premier tome m’envoûta le cœur dès ses premiers chapitres. Tout d'abord, l'univers de Kelewan décrit avec finesse et beaucoup de talent, nous emmène dans des contrées asiatiques charmeuses qu'il devient dur de quitter. Puis nous faisons la connaissance de Mara, jeune ingénue promise à une vie de prières qu'elle a elle-même choisie, catapultée à la tête de son domaine, et nous apprenons avec elle, la fourberie du Jeu du Conseil, la dureté des choix nécessaire au renouveau de l'honneur des Acomas. Et sans s'en rendre compte 200 pages viennent de filer en 2 heures, Mara a mûri, la profondeur du personnage se révèle, les intrigues se tissent, les liens se ressèrent et l'on se prend au jeu des Acomas sans pouvoir s'arrêter.



Pour ce qui est de la forme, il n'y a rien à redire. Les descriptions sont belles et soignées sans présenter de lourdeurs et l'on plonge avec délice en Kelewan. Le rythme des intrigues est parfait, sans se précipiter ni traîner en longueur.



Je ne sais qui de R.E. Feist ou J. Wurts est le plus talentueux mais il va sans dire que ce duo d'auteur produit ici un premier tome d'exception. Cette plongée dans l'univers de Krondor m'a donné envie de découvrir Midkémia et c'est avec plaisir que je découvrirais Les Chroniques de Krondor.



Je ne peux que recommander cette série pour des nuits blanches enchanteresses comme on été les miennes.
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La Trilogie de l'Empire, tome 1 : Fille de ..

Sur une autre planète, Mara est prête à entrer dans les ordres. Mais le destin en a décidé autrement. Son père et son frère sont morts. Elle est la seule héritière.



Un game of thrones asiatique.



Nous nous prêtons au jeu du Conseil. Nous ne pouvons qu'admirer Mara. Catapultée à des fonctions pour lesquelles elle n'a pas été préparée, elle surpasse ses ennemis. Et en ce temps de faiblesse, ils sont nombreux. La guerre fait rage contre les Minwanabi, les ennemis de sang des Acoma. Les responsables de la mort du père et du frère de Mara.



Cette jeune femme devra tout faire pour survivre dans ce monde impitoyable et rétablir la puissance de son nom.



Un premier tome captivant qui donne envie de connaître la suite.
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La Guerre des Serpents, Tome 4 : Les fragme..

C'est une bonne lecture, très bonne même. Le talent de l'auteur nous a tellement rendu ses personnages attachants que l'on est suspendu aux événements à chaque instant, évidemment il est essentiellement question de guerre et les combats occupent une grande place dans le récit mais nous avons là la suite logique des trois précédents tomes.

Les intrigues et les trahisons ne sont pas franchement prévisibles et sont pour beaucoup dans l’intérêt que l'on prend à suivre cet opus, ainsi que l'épaisseur que prennent les personnages. La réflexion n'est pas absente et se situe à différents niveaux, que se soit dans l'intimité des personnages ou même au niveau philosophique (dans une certaine mesure...), cela pourrait faire un peu penser à "American gods"...

J'ai trouvé néanmoins la fin un peu expédiée par rapport à la lente mise en place de l'histoire, c'est mon seul regret en fait.

Pour finir, il semblerait que l'épilogue nous laisse entrevoir un prolongement, à suivre donc ;)
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La Guerre des Serpents, Tome 1 : L'ombre d'..

Plus je lis Raymond E. Feist, plus je me dis qu'il se bonifie.

Le premier des quatre tomes de la guerre des serpents est tout simplement passionnant, il y a toujours cette construction patiente et précise qui nous permet de connaitre intimement le personnage principal, ici Erik, quelqu'un d'assez ordinaire selon les critères habituels en cours dans les univers fantasy.

Les "second rôles" sont très consistants, ils gravitent dans cette histoire comme les planètes dans le système solaire, indispensables et toujours là au moment où il le faut.

On retrouve les personnages que l'on avait quittés dans le boucanier du roy, pour ce que l'on peut considérer comme une suite (Pug, Calis, Nicolas et quelques autres).

C'est une histoire assez sombre et violente dont je ne révélerai bien sûr rien, les méchants sont méchants et les gentils sont du bon côté, mais surtout on a là un récit attrayant et j'ai hâte de lire la suite !

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La guerre de la faille, tome 1 : Magicien -..

Je ne sais pas pourquoi j'ai attendu si longtemps avant de me lancer dans cette série... ah si, je sais, le nombre de tomes !



C'est encore une série de fantasy à rallonge! Et comme j'en ai plein ma PAL, je ne me lançais pas dans celle là alors qu'elle m'intriguait beaucoup. Mais quand Milady a fait ses promos et que le tome était à 4€, je n'ai pas résisté!



Et j'ai bien fait ! Parce que j'ai découvert un univers et une histoire qui m'ont énormément plu. C'est de la fantasy classique effectivement, mais qu'est-ce que je me suis régalée. C'est bien écrit, ça fait voyager, il y a des elfes, des nains, des hommes aussi bien sûr. Il y a de la magie, des créatures étranges, bref, tout ce qu'il faut pour me plaire, et de loin ! Ça m'a presque fait rêver autant que Le Seigneur des Anneaux!



Tout en respectant les codes du genre, l'auteur réussit à se démarquer avec des ennemis très particuliers et des idées originales, des voyages et des aventures, des rebondissements... on ne s'ennuie pas une minute !!



Du coup, j'ai raflé toute la suite que j'ai pu trouver dans une boutique d'occasion, alourdissant ma PAL plus qu'elle ne le devrait, mais tant pis! Je sens que ça va être une nouvelle série que je vais adorer ! Le tome 2 m'attend donc bien sagement, enfin, il attend que je trouve du temps pour le dévorer :)



En bref, un début de série qui m'a convaincue, je me suis régalée avec ce premier tome et cette plongée dans un univers nouveau mais familier à la fois.
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Les nouvelles chroniques de Krondor, Tome 1..

Les jumeaux...puisqu'il faut bien que quelqu'un prenne un jour la relève pourquoi pas eux...

Mais leur caractère je je-m’en-foutiste du début est un peu agaçant par moment. Ils manquent furieusement de bon sens...tout en restant très attachants.



Le plus dur dans ce livre est de voir que nos héros ont vieillit... Arutha, Locky, Wlliam, Pug... Jimmy (mon Jimmy!)... ils sont toujours là, mais se retirent, ou du moins semblent se retirer du centre de l'action (sauf Jimmy, mais bon Jimmy, c'est Jimmy...^^)



Enfin passons...

Un tome peut-être plus tranquille par rapport aux Chroniques, les enjeux sont moins lourds, mais néanmoins très plaisant, et riche en péripéties.

L'humour pétillant qui rend la lecture de ces cycles s'enchainant si agréable est bien au rendez-vous, pour notre plus grand bonheur.

L'émotion aussi, peur, joie, attendrissement, et hélas, aussi tristesse...





Comme certains l'ont fait remarquer, l'entre-deux-guerres est un cycle de transition, il est donc moins étourdissant que d'autres... mais bon on peut faire confiance à l'auteur...on ne s'ennuie pas non plus!
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Le conclave des ombres, Tome 3 : Le retour ..

Un dernier tome différent des deux premiers. Pour diverse raisons.



Tout d'abord ce n'est Serre que nous suivons mais son ex adversaire, Kaspar, duc d'Olasko...



C'est un peu troublant d'accompagner cet homme dans sa prise de conscience, puis en tant que "héros" lui qui était autrefois, sans le savoir, un des agents du mal. Et qui restait contrôle ou pas contrôle, un être de peu de scrupule.



Il est aussi troublant, car autant le tome précédent semblait par sa fin marquer une pause presque stable, autant ici la fin... semble un coup de canon.



Sinon le rythme est soutenu, peut-être même plus que pour les précédents, et les retournements nombreux.



Mais cette particularité mise à part on lit ce tome avec autant de plaisir que les précédents.
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La Guerre de la Faille, tome 3 : Silverthorn

Peu de temps s'est écoulé depuis la lecture du premier tome relatant les aventures de Pug et ses compagnons. Je n'ai pas résisté à l'envie de connaître la suite de leurs péripéties après la fin de la guerre contre les Tsurani. de plus, en allant sur le site web de l'auteur, je découvre qu'une quinzaine de livres complètent encore l'histoire principale donc, chers lecteurs de ce blog, attendez-vous pendant un moment à déguster un peu de fantasy !

Trêve de bavardages, commençons ! Un personnage occupe essentiellement ce second tome : le prince Arutha, en quête d'une plante rare. Pug, plus effacé, est plongé dans des recherches magiques contre une forme maléfique très puissante. Je vous en dirais très peu sur les tenants et aboutissants de toute cette affaire pour ménager le suspens.

Voici quelques détails qui vont vous donner l'eau à la bouche: les évènements s'enchaînent à un rythme effréné, laissant très peu de place aux descriptions. L'histoire est captivante, auréolée de magie, remplie de batailles, de créatures mystérieuses et de voyages dangereux. Des personnages, moins présents dans la première partie du cycle, vont jouer un rôle plus important. Un d'eux est Jimmy, un garçon intelligent et malin qui fournira une aide inestimable au prince. Il a été mon petit chouchou durant toute la lecture.

J'ai mis uniquement quatre coeurs car le livre m'a paru moins dense que Magicien : l'intrigue est moins fouillé et semble n'être qu'une transition. Bien qu'elle soit intéressante, je reste un peu sur ma faim par rapport à celui-ci.

Pour conclure, un tome incontournable pour ceux qui veulent poursuivre cette saga ! Pour ceux qui ne sont pas intéressés, vous pouvez ignorer ce commentaire.
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La Trilogie de l'Empire, tome 1 : Fille de ..

Cette critique concerne les tomes 1 à 3. Après un avis mitigé sur le dernier tome de la Guerre de la faille (cf. Ténèbres sur Séthanon), j'ai hésité à continuer la lecture des cycles suivants.

Mais, mes réticences se sont envolées en abordant ces trois tomes. On se retrouve dans l'univers parallèle de Kelewan, chez les Tsurani, dans la peau d'une jeune fille nommée Mara qui se retrouve avec de grandes responsabilités sur ses épaules. L'héroïne est très attachante, avec des traits de caractères que les deux auteurs ont su bien peaufinés et qui évoluent au fur et à mesure des trois tomes. Les personnages secondaires qui l'accompagnent sont aussi sympathiques, même si parfois ils sombrent dans le manichéisme.

Nous sommes très loin de la fantasy classique avec les créatures mythiques et les grands combats. On assistera plus à des jeux de stratégie politiques, de manoeuvres destinés à la survie ou l'élimination d'un adversaire : tout est bon pour y arriver, que ce soit par le complot, l'espionnage, le meurtre, les alliances ou les trahisons. La culture tsurani, qu'on a découvert auparavant, est mise en avant avec les éléments suivants: le code de l'honneur, le jeu du Grand Conseil, le pouvoir de l'Assemblée des Très-Puissants, le rôle de l'empereur ainsi que la philosophie de vie qui guide chaque habitant.

La qualité des trois tomes est assez variable. J'ai une préférence marquée pour le premier et le dernier tome, qui rassemblent plus d'intrigues et de rebondissements. le second tome est parfois pétri de mièvrerie, ce qui lui donne une fin trop idyllique à mon goût.

Le style d'écriture est simple, limpide et très fluide mais avec quelques longueurs qui étouffent l'intrigue principale. Une fois qu'on a commencé, il est difficile de s'arrêter car on meurt d'envie de connaître la suite des évènements.

En tout cas, ce fut une belle découverte que je recommande surtout aux fans du genre fantasy !
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La Trilogie de l'Empire, tome 1 : Fille de ..

Une trilogie de Fantasy avec un monde très inspiré du Japon médiéval ne pouvait que m’attirer à un moment ou à un autre et me voilà enfin lancée dans ce nouveau monde.



On suit ici Mara, fille d’un grand seigneur qui voit son père et son seul frère mourir de la main de leur plus grand ennemi. Elle qui se voyait prêtresse, se voit devenir la gérante d’une maison fragilisée politiquement et militairement. Heureusement pour elle, dotée d’une certaine beauté et d’un sens de l’observation très développé mais également entouré de soldats et de conseillers dévoués, elle réussira à déjouer diverses manigances politiques. J’ai trouvé d’ailleurs que Mara arrivait toujours à s’en sortir un peu trop facilement, toujours sans grande difficulté, ce que j’ai trouvé un peu trop facile pour l’intrigue. Le livre se découpe assez simplement : problème/ résolution, problème/résolution, … Ce qui donne lieu à de nombreuses ellipses temporelles qui m’ont un peu perturbée par moments. Les personnages m’ont paru un peu fades, sans grande personnalité, cela peut sûrement s’expliquer par l’univers qui est très réglementé et ne laisse pas beaucoup de place aux personnalités un peu originales. L’univers est par ailleurs très bien développé : on retrouve beaucoup de règles du Japon féodal (notamment sur les questions d’honneur et leurs conséquences) tout en retrouvant des éléments fantastiques. L’écriture est travaillée tout en restant fluide et agréable à la lecture.



Malgré les nombreuses facilités au niveau de l’histoire, Fille de l’Empire n’en reste pas moins un roman de fantasy très agréable à lire et très prenant. L’auteur a su me faire rentrer dans son univers et a m’intriguer pour la suite de l’histoire.
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La Trilogie de l'Empire, tome 3 : Maîtresse d..

Un final grandiose !



On pensait qu'il ne pouvait pas arriver grand chose de plus à cette pauvre Mara des Acoma et qu'il serait temps pour elle de vivre tranquillement. Peut être pas la plus heureuse du monde mais du moins sereinement. Aussi, je me disais que pour le troisième tome, on allait avoir quelques petites intrigues pas bien méchantes qui allait montrer une Mara qui avait mûrit et qui allait vieillir sur ses coussins brodés. Voilà quoi.



J'ai vite déchantée, croyez moi, dès les toutes premières pages. Et pendant une bonne grosse centaine de pages, vous vous demandez franchement ce qui pourrait arriver de pire, que même si cela vous arrivez à vous, vous vous couchez et vous cessez tout simplement de vivre parce que ce que font subir les auteurs à leur héroïne est incommensurable. Mais non, j'étais avec Mara et, au fur et à mesure, je me suis replongée dans le nœuds des intrigues qui est encore pire que les deux premiers tomes et j'ai patiemment dénoué chaque nœuds jusqu'à la fin avec elle.





Mais voilà, j'ai dû lui dire adieux.



C'est je crois le pire dans une saga qu'on aime bien. Qu'elle ne fasse que trois tomes ici ou qu'elle fasse une vingtaine de tomes, c'est qu'il faut se séparer de nos personnages. Ainsi, Mara est repartie, je l'ai laissée s'en aller tristement, mi sourire, mi triste. Parce que cette fin est parfaite, elle sonne juste, elle est magnifique. Mais j'ai eu le trémolo dans la voix, j'ai eu la vue brouillée et lorsque j'ai refermé le livre, un sentiment d'abandon m'a habitée.



Alors certes, je vais retrouver l'univers car Raymond Feist a écrit moultement sur la Guerre de la Faille. Que j'ai eu le plaisir de croiser Pug au détours de ce tome (et il n'a pas changé d'un poil). Donc peut être que j'aurai des nouvelles de Mara. Ou pas. Mais je serai dans le coin, guettant son sourire effacé et son oeil qui voit tout.
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Les Légendes de Krondor, Tome 1 : Un valeureu..

Si j'ai toujours pris beaucoup de plaisir à traduire les ouvrages de Raymond E. Feist (21 titres à ce jour en ce qui me concerne), je trouve qu'il n'est jamais aussi bon que lorsqu'il oppose deux cultures radicalement différentes, comme dans sa 1ère série, La Guerre de la Faille, qui l'a rendu célèbre. C'est d'ailleurs en marge de cette série que se déroule ce roman écrit en collaboration avec William R. Forstchen : on y retrouve les soldats du royaume des Isles, dignes représentants de nos chevaliers du Moyen-Âge, et les Tsurani, envahisseurs venus d'un monde japonisant où l'honneur prime avant tout. Le choc des cultures est presque aussi rude que celui des armes. Mais ces ennemis jurés vont devoir s'allier pour survivre à un hiver particulièrement rigoureux et un adversaire des plus redoutables : un elfe noir qui ne s'arrêtera pas tant qu'il ne sera pas allé au bout de sa vengeance.



Que vous connaissiez ou non Raymond E. Feist, que vous soyez ou non un habitué de la Fantasy, ce roman a l'avantage de vous faire entrer en douceur dans un univers foisonnant par le biais de personnages attachants. Ils ne sont pas exempts de défauts, ces hommes bourrus et pétris d'honneur (un peu à la Ned Stark, vous voyez). Mais leur pragmatisme est aussi admirable que la façon dont ils prennent soin de leurs troupes. Et leur évolution est fascinante, car il n'est pas si facile de dépasser les clivages et de voir en l'autre, non pas un ennemi, mais un être humain. C'est vraiment une jolie histoire, et je vous la recommande vivement !
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La Guerre de la Faille, tome 4 : Ténèbres sur..

Ce dernier volet ferme une saga pour le moins inégale. Si l'on pouvait trouver à redire des deux premiers épisodes (Magicien, tomes 1 et 2), il faut au moins leur reconnaître une capacité certaine à accrocher le lecteur et à l'entraîner au fil des pages, alors que j'ai trouvé la progression beaucoup plus fastidieuse dans les deux derniers.

[Attention, cette critique comporte des extraits ; pour ceux qui voudraient tout avoir à découvrir, passez directement au dernier paragraphe ;-) ]



En vrac et dans le désordre :



Les créatures moins fantastiques qu'ubuesques sont moins présentes que dans Silverthorn (bien), mais il y en a quand même (pas bien) : "des singes avec des têtes d'aigles, des félins avec des carapaces de tortue, des serpents avec des bras et des jambes, des hommes avec des bras supplémentaires : toute une armée d'horreurs se ruait sur eux". Des "horreurs" ? Plutôt enfantin comme "horreurs" -quoique les enfants sont parfois plus imaginatifs que cela.



"Les bêtes [...] ressemblaient à des tigres, mais avec des corps d'hommes. Leur tête était orange striée de noir, tout comme leurs bras et leurs jambes. (...)" . Encore une fois, c'est à la fois trop fantastique et manquant cruellement d'imagination. Tout au long des descriptions, nombreuses dans le récit, on trouvera des "ressemblant à... mais...", "semblable à des", "des sortes de". L'auteur ne parvient pas se dégager totalement de la réalité et, pour ses créatures imaginaires, il a tendance à se contenter de mixer ensemble celles que l'on trouve par chez nous. L'effet est, pour moi, trop fantaisiste pour être crédible -et donc accrocheur.



Et puis, pourquoi cette grossièreté ? Apparue comme par surprise dans le tome précédent, elle est, cette fois, beaucoup plus présente. Petit florilège : "bâtard de putain de salope" (à la cinquième page, ça met tout de suite dans le bain), "fouteur de truies arrogant", "fils impuissant de rat merdeux", "fils de pute vérolée", "tire-jus", "Sa Majesté l'Enculeur de Porcs", "bouffeur de purin", et d'autres encore... Certes, on entend ces insultes principalement de la bouche d'un personnage bien particulier, il pourrait donc s'agir d'un trait de sa personnalité, mais comme celui-ci ne se révèle pas tout de suite, j'ai eu le temps de m'attacher à ce personnage dans le deuxième épisode et il m'aurait toujours plu en Capitaine Haddock déluré par la suite... si ça n'avait pas été si vulgaire. Déception, donc, de voir ces personnages auxquels je m'étais réellement intéressée dans le deuxième tome, devenir des clichés de superproduction de ciné américain.



Les dialogues sont toujours aussi stéréotypés : "Écoute, p'tit gars, j'ai pas le temps d'être tendre avec toi. Alors tu vas répondre maintenant ou on va te ramener à l'auberge en petits morceaux." ...Et toujours aussi mièvres : "Martin finit par prendre la parole :

- Je dois y aller bientôt. Il me faut rejoindre les autres à la porte du tunnel dans les collines.

- Martin, murmura-t-elle.

- Quoi ?

- Je voulais juste prononcer ton nom. (Elle regarda son visage.) Martin.

Il l'embrassa et sentit le goût salé des larmes sur ses lèvres. (...)"

Ou encore : "Un magicien sans magie, c'était comme un oiseau sans ailes." Ou un plateau de fromage sans Pavé d'Affinois, tant qu'on y est. Bref, le sentimental, ce n'est pas le fort de Raymond Feist.



Autre regret, le lyrisme affligeant avec lequel l'auteur décrit les décors (tous plus magnifiques les uns que les autres d'ailleurs) : "Des fontaines tarabiscotées crachaient des jets d'argent liquide qui se changeaient en gouttes de cristal, lesquelles emplissaient l'air d'une musique tintinnabulante en s'écrasant sur les dalles de la fontaines où elles se liquéfiaient de nouveau avant de s'écouler dans les drains. (...) La voie était entièrement dallée de pierres qui luisaient de couleurs pastel, chacune d'une teinte très légèrement différente de l'autre, ce qui donnait de loin l'impression d'un arc-en-ciel. Au passage du dragon, les dalles scintillèrent de mille couleurs changeantes. Une musique s'éleva, majestueuse, évoquant la nostalgie des vertes vallées de montagne où serpentent des ruisseaux brillant sous les pastels du soleil couchant. (...) De minuscules pétales de fleurs scintillant de blanc et d'or, de rose et de vermillon, de vert et de bleu pastel tombèrent tout autour d'eux en une douce pluie caressante et parfumée aux senteurs de fleurs sauvages (...)".



Enfin, mon dernier reproche sera pour le dénouement. Au-delà de son caractère prévisible, l'auteur s'en tire avec des explications à la fois obscures et tirées par les cheveux. Heureusement qu'il y a la magie ! Mais c'est trop facile : on ferme les yeux, on se touche les mains et hop, on revient des milliards d'années en arrière. Les magiciens enchaînent les sortilèges divers et variés, mais jamais ils ne sont décrits, pas l'ombre d'une formule ; on n'en voit que les effets (qui sont toujours ceux attendus et à l'avantage de nos héros d'ailleurs). Moi j'appelle plutôt ça de la prestidigitation.



Pour conclure cette longue, très longue (trop longue ?) critique, je dirais que d'une manière générale, la série se laisse lire mais est inégale en qualité. J'ai préféré les deux premiers tomes dont les quelques reproches que j'ai trouvé à faire ne m'ont pas empêchée de les dévorer. Les deux suivants sont surfaits. l'auteur nous noie dans les effets spéciaux et les descriptifs de décors à profusion mais, dans le fond, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent. Divertissant mais très décevant...
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La Trilogie de l'Empire, tome 3 : Maîtresse d..

La trilogie de l’Empire, ou comment une saga est entrée dans le top ten de mes lectures préférées. Eh oui, carrément. J’ai refermé ce dernier tome avec quelques larmes aux yeux parce que sans s’en rendre compte, on s’est énormément attaché à Mara et à ses conseillers. Il faut dire qu’on a eu le temps de bien les connaître en près de 3000 pages. Les deux auteurs, Feist et Wurts, ont signé là une saga époustouflante, je dirais même un chef-d’œuvre du genre, même s’il est difficile d’en définir les contours. C’est, en gros, de la fantasy politique avec un décor et des mœurs japonisants, auxquels se mêlent des croyances religieuses et magiques. Le tout servi par une écriture visuelle qui fait éclore de beaux sentiments exposés tout en pudeur dans ce monde aux codes rigides.



L’univers japonisant est une succession de tableaux enchanteurs que le duo d’écrivains nous glisse avec subtilité sous les yeux, pour mieux nous faire tressaillir devant la possibilité que cette quiétude soit balayée par l’impitoyable jeu du Conseil. Et ce jeu prend encore une tournure dramatique dès le début de ce tome car si l’on croyait Mara à l’abri, en pleine félicité conjugale avec le paisible Hokanu, il n’en est rien, tout vole de nouveau en éclats avec une mort inattendue qui plonge notre héroïne dans une détresse sans nom. Et comme toujours, l’habileté des auteurs fait qu’on en profite pour alterner les points de vue et mieux connaître son époux, mais aussi le clan des Anasati à travers les yeux de Jiro, son dirigeant, ex beau-frère vexé dans son orgueil après que Mara lui ait préféré son frère Bunto, et surtout Chumaka, le premier conseiller machiavélique qui va donner bien du fil à retordre au maître-espion Arakasi.



Si la magie s’était finalement faite très timide durant les premiers opus, ici, elle s’invite de plein fouet puisqu’on découvre de l’intérieur l’Assemblée des Très-Puissants, ces hommes issus de tous les horizons de l’Empire, voire même au-delà, arrachés à leurs familles pour développer leurs prédispositions aux arts mystiques. À les observer, on oscille entre consternation et inquiétude. Mara doit également faire face à la ligue des assassins, les Tong Hamoï, qui en a après elle. S’ensuivent des événements trépidants qui nous amènent à œuvrer aux côtés de son maître-espion, l’ingénieux et charismatique Arakasi, dans des missions périlleuses. Outre cela, l’inimité presque éternelle qui oppose les Acoma et les Anasati, son ex-belle famille, explose, et une guerre inévitable se dessine, les étendards verts des Acoma défiant ceux rouges et jaunes des Anasati.



L’un des gros atouts de cette saga, c’est que chaque tome a une empreinte et une saveur particulière tout aussi puissante, que ce soit au niveau de l’univers ou à un degré plus personnel dans les convictions de Mara, une héroïne très marquante. En effet, Fille de l’Empire était une première incursion dans l’Empire qui se cantonnait finalement à nous faire découvrir le jeu du Conseil pendant que Mara luttait pour assurer la survie de son clan. Le second opus, Pair de l’Empire, amorce un déclin inéluctable des mœurs archaïques tsuranni, puisque la jeune femme va connaître le souffle du changement dans les bras de son barbare Midkemian, Kevin de Zûn, qui la force à remettre en question l’inertie de son peuple. Et enfin, dans ce dernier opus, près de vingt ans plus tard, Mara a bien grandi, elle a eu plus que son lot de souffrances ; elle a définitivement rompu avec les codes néfastes de l’Empire qu’elle veut à présent réformer de fond en comble.



Ce tome-ci est aussi épique et politiquement tortueux que les autres, mais il a atteint une grande intensité car on sent que le point de rupture est proche : l’Empire sera transfiguré, il ne peut en aller autrement. Cela n’est malheureusement pas du goût de tout le monde, et la famille de Mara est encore plus en danger. C’est l’heure de renforcer les alliances en place et de faire des choix téméraires, la matriarche mettant la main à la pâte en partant dans une expédition risquée qui nous permet de voyager plus loin, au-delà des frontières de ce vaste Empire. Le salut viendra de où on ne l’attend pas, mais c’est finalement l’ouverture d’esprit de l’héroïne qui finit par payer.



Je terminerais en parlant des protagonistes qui gravitent depuis presque trois tomes autour de Mara. Chacun est mis en lumière, autant que Mara, c’est dire, et on réalise qu’ils ont été des piliers inébranlables dans cette ascension politique qui les a profondément impactés eux aussi. Tous ont changé, se sont découverts grâce à cette dame qui leur a permis de vivre pleinement, voire de survivre grâce à la seconde chance qu’elle leur a donnée de récupérer leur honneur. S’il est plutôt simple de retranscrire les relations amoureuses, il n’en va pas de même concernant les autres rapports humains, qu’ils soient amicaux ou familiaux. Et on a devant les yeux une grande réussite dans le domaine.



Arakasi, le maître-espion anciennement affilié aux Tuscaï, a obtenu sa vengeance contre les Minwanabi, et une rencontre va bouleverser sa façon de vivre au gré des manipulations et complots à fomenter ou à déjouer. Lujan, l’ancien guerrier gris sans honneur devenu commandant des armées Acoma, reste fidèle à lui-même, désinvolte et taquin, et le changement qui s’opère en lui est d’une belle subtilité. Keyoke, l’ancien commandant infirme devenu conseiller de guerre, représente toujours une figure paternelle de substitution, et jusqu’au dernier moment il agit comme un homme au courage sans limite. Quant à Hokanu des Shinzawaï, Mara le dit, il est l’époux parfait, je dirais même l’homme parfait. Impossible de ne pas l’aimer, sans parler de le respecter.



C’est donc une saga exceptionnelle qui prône de grandes valeurs humaines, notamment le sens du sacrifice pour le bien commun. La trilogie de l’Empire, c’est avant tout l’histoire d’une femme qui va provoquer un changement énorme dans la politique de son peuple, alors qu’elle ne cherchait, au final, qu’à assurer la survie de son clan et de sa famille. C’est ce qui aura rendu son combat juste jusqu’à la fin, et malgré les tragédies qu’elle a vécues, elle n’est pas amère et continue de se battre pour assurer la pérennité de ce qu’elle a construit. La fin est émouvante au possible, la Roue de la vie tourne pour tous et récompense les survivants, pour notre plus grand plaisir. Ah l’amour…
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Le Legs de la Faille, Tome 1 : Krondor : la..

Avec ce premier tome (sur 3) du cycle du Legs de la faille, on débute 9 ans après la fin de la guerre de la faille alors qu'une nouvelle menace venue du Nord se prépare à s'abattre sur Krondor. Un chef de clan Moredhel poussé par 6 magiciens mystérieux veut retourner à Sethanon pour retrouver un Murmandamus qui ne serait finalement pas mort. Prévenu par un renégat Moredhel, le prince Arutha va prendre les dispositions pour empêcher à tout prix les elfes noirs d'approcher de la cité maudite.



Après une trilogie de l'empire très politique, on trouve ici un style très différent. De l'action encore et toujours, des courses, des combats à n'en plus finir et une intrigue finalement un peu simple par rapport aux histoires précédentes. On retrouve bien sur avec plaisir les personnages du cycle original, mais ce rythme effréné devient finalement un peu lassant et si ça reste plaisant à lire on ne retrouve pas le niveau exceptionnel que cette saga avait maintenu jusque là. Espérons que la suite (les Assassins) remontera le niveau.
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La Trilogie de l'Empire, tome 2 : Pair de l..

Dans "Fille de l'Empire", Mara a réussi à éviter l'anéantissement de sa famille et à porter un coup rude à ses principaux ennemis. Mais ceux-ci vont rapidement revenir à la charge et comme le jeu du conseil devient de plus en plus violent entre les différentes faction face à une guerre de la faille qui ne se déroule pas comme prévu, elle ne va bénéficier d'aucun répit. Comme dans le même temps elle découvre une vie dont elle a jusqu'à maintenant été largement privée, difficile de concilier le tout même si ces nouveautés vont parfois lui permettre de surprendre ses adversaires.



Avec une intrigue et des personnages toujours plus profonds, on se replonge avec délice dans cette suite toujours aussi passionnante et les 700 pages défilent tellement vite que l'on ne peut que rapidement se retrouver avec "Maîtresse de l'Empire" dans les mains pour connaitre la conclusion de cette fantastique trilogie.
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