Robert Crais

Un Robert Crais, mais sans Elvis ni Joe, dont je suis devenu fan. Tant pis pour les gens comme moi !



L'histoire commence de manière assez banale avec 3 jeunes qui braquent une station service, un premier meurtre, puis ça part en vrille, et ils prennent une famille en otage. Le siège et la négociation commencent...



Ce qui fait l'originalité du livre, c'est que tout ne se passe pas comme cela devrait l'être, les surprises et les rebondissements s'enchainent, avec le rythme qui convient. Bon, cela reste très américain.



L'adaptation cinématographique, avec Bruce Willis, doit être du cousu main pour lui. Le policier qui traine derrière lui une négociation ratée, il se sent coupable, garde ça pour lui et se cherche un poste tranquille. Mais, le vrai flic qui sommeille en lui n'attend peut-être qu'une embrouille comme celle de la station service pour laisser remonter à la surface toutes ses compétences et sa fureur.



Donc plutôt intéressant à lire, bien écrit, scénario très riche, mais peut-être un manque d'émotion et d'humour qu'on trouve dans la série Cole/Pïke.

J'ai l'impression d'avoir lu un film américain. C'est noir, très noir, rien ne nous ai caché. C'est très bien rythmé, palpitant, avec des surprises mais les méchants sont méchants, les gentils méchants avec raison... Bref les avantages et les inconvénients des films américains.

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L’aventure la plus stressante d’Elvis Cole



Robert Crais est un auteur californien de thrillers dont l’action se situe principalement à Los Angeles; Son personnage fétiche s’appelle Elvis Cole, le détective le plus cool de la planète, toujours accompagné par son fidèle acolyte, le mystérieux et ténébreux Joe Pike. Ce duo se retrouve embarqué dans des aventures pleines de suspense, pour le meilleur et surtout pour le pire. Le dernier détective est certainement l’enquête la plus éprouvante pour Elvis Cole, et un régal de suspense pour nous autres lecteurs.



Ben, dix ans, a disparu. Le fils de la fiancée d'Elvis Cole s'est volatilisé. Le meilleur détective du monde va donc remuer ciel et terre pour le retrouver, et il sait bien qu'aucune formation ne prépare à que les êtres humains sont capables de se faire entre eux.



Un polar captivant mené avec une dextérité hors du commun; Pour moi le meilleur Robert Crais. un véritable page turner impossible à poser avant la dernière page.


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Douzième épisode des aventures du tandem Elvis Cole - Joe Pike. Cette fois, c'est la mort brutale, suicide ou pas, d'un ex-accusé de meurtre dont Cole a réussi à faire arrêter les poursuites. Etait-il coupable ou non ? Que penser des "preuves" trouvées sur le lieu de la mort, et qui montreraient que le suicidé était en réalité un serial killer ?



Elvis ne peut rester dans l'incertitude, mis en cause par les proches des victimes, d'après ce meurtre, et le voilà reparti dans une enquête, ma foi, bien intéressante. Comme dans ses autres aventures, flanqué de l’inénarrable mais mystérieux Joe, il sait se débrouiller comme un (en fait, deux, avec Joe) chef pour démêler le vrai du faux, même si ça prend un certain temps.



Pas à pas, avec persévérance, il joue de ses réseaux, et dégotte les indices et preuves qui échappent aux autres enquêteurs, pourtant pas si mal que ça.



Quelques interactions avec le milieu politique, les hautes sphères de la hiérarchie policière, les avocats, mais diable, qui est impliqué ? La vérité que l'on sent poindre est elle vraiment la vraie vérité ? Jusqu'au bout, le suspense règne.



Côté relations sentimentales, Lucie est devenue une ex, qui reste amie, au téléphone. Mais on sent poindre que Starkey pourrait devenir davantage qu'une fliquette, ex-alcoolo, ex-démineuse...



Quant à Joe, l'ami, pas l'indien, lui, seul le chat d'Elvis lui témoigne une affection sans bornes.



Un roman bien enlevé, bien écrit, dévoré en 2 jours, avec un grand plaisir.

un réalisateur hollywoodien qui a réussi décide de retrouver son ex femme et son fils qu'il n'a plus revu depuis 10 ans. elle a divorcée et refait sa vie sous un autre nom dans une petite ville. elle élève son fils seule, elle est gérante d'une banque mais a des problèmes qu'elle ne peut dévoiler. Elvis COLE va aider cette dernière a retrouver la paix.

Elvis Cole est appelé au milieu de la nuit : un homme a été poignardé dans une ruelle de Los Angeles. on retrouve sur lui des article de presse parlant d'Elvis il aurait dit à la policière qui l'a trouvé juste avant qu'il ne meurt qu'il recherchait son fils Elvis Cole.

Le détective n'a jamais connu son père il va donc mener son enquête à travers beaucoup d'émotions. Il va résoudre cette enquête douloureuse malgré les mauvaises informations reçues.

Elvis COLE recherche l'Hagakure (Code du samouraï) un riche propriétaire Warren qui l'a reçu en prêt veut l'exposer pour l'ouverture de son nouvel hôtel de luxe. il a disparu. l'enquête d'Elvis se même dans le milieu des yakuzas qui a aussi kidnappé la fille de Bradley Warren, Mimi. la chute de l'histoire est bien ficelée et on découvre que la victime n'est pas celle qu'on croit.

Une aventure du duo Elvis Cole et Joe Pike (au passage, sauf erreur de ma part, pas de blague dans celui-ci à propos du prénom de Cole).



Comme souvent, le roman est bâti autour du mélange de plusieurs intrigues, passées et contemporaines, dans différents lieux des USA, avec comme point commun, la fausse monnaie.



Donc un faux monnayeur, veuf, avec 3 jeunes enfants, est porté disparu, et la fille ainée, Teri, fait appel aux 2 détectives privés pour le retrouver. S'en suivent de nombreuses péripéties, où les bons ne sont pas forcément si bons, et les mauvais, pas nécessairement si mauvais.



Des Russes, des Vietnamiens, des Fédéraux, des détectives.



En même temps, la presque conjointe d'Elvis, la délicieuse Lucy, s'efforce de régler quelques soucis persos avant de rejoindre Los Angeles et Elvis. Joe reste, quant à lui, toujours aussi sombre et secret. Mais diablement efficace, le bougre !



Bien écrit, rondement mené, on ne s'ennuie pas une seconde. Certes, on retrouve pas mal de classiques du polar américain, mais c'est fait avec une grande qualité. Je me constitue petit à petit la collection, au gré de mes achats de livres d'occasion, et je prends un réel plaisir à lire ces romans.

Pour son 10eme bouquin Robert Crais nous livre un thriller de très bonne facture. On s'attache aux personnages et notamment à la famille kidnappée et à l'ex négociateur du SWAT qui rattrapé par son passé, devra prendre les bonnes décisions pour éviter un bain de sang...



Pas une minute de répit,rebondissements garantis!

Roman qui traite d'une histoire d'enlevement et de vengeance. Pike et Cole sont une nouvelle fois melés à une histoire sordide et complexe.



L'auteur s'amuse avec nos nerfs tout le long de l'intrigue.



Du très bon cru ! A lire !

Elvis Cole et Joe Pike dans de nouvelles aventures : toujours un plaisir !

J’étais content de retrouver Joe Pike et Elvis Cole. Et il faut reconnaitre le talent de Crais pour maintenir une tension soutenue.

Pike est un solitaire, une masse froide comme l’acier, prêt à aller au bout de sa mission, coute que coute tant pis pour les dommages collatéraux. Tuer de sang froid et par conséquent le légitimer est on ne peut plus discutable. On pense aux films de Bronson d’une certaine époque, une loi du talion qui laisse un gout nauséeux.

Pourtant, Crais apporte ici ou là de bonnes idées, Pike tombant sous le charme de la jeune femme qu’il protège (dont le portrait est d’ailleurs caricatural), les moments ou Elvis Cole l’ami de toujours relégué au second plan dans « Mortelle protection », et les sueurs froides et la libido de Chen apportent humour et un certain second degré bienvenus. Mais si un salaud désarmé se fait dessoudé par notre héros, que devient-il lui aussi ? Dommage.

Meurtre à la sauce cajun est mon tout premier roman de Robert Crais. L’auteur y met en scène deux personnages récurrents : Elvis Cole et Joe Pike, deux détectives privés de Los Angeles. Mais c’est dans la peau du premier que le lecteur se glisse. Elvis est appelé par une star américaine adoptée et qui a envie de connaître ses antécédents médicaux sans pour autant faire la connaissance avec sa famille biologique. Elvis va alors partir pour la Louisiane et mener son enquête. Et il ne va pas tarder à comprendre que l’affaire est beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît…



Avant de débuter ma lecture, j’ignorais que ce roman était sorti en 1995. A vrai dire, on ne s’en rend pas vraiment compte. Hormis le manque de technologie, le texte reste très actuel et je n’aurais pas soupçonné qu’il aurait vingt ans ! Elvis Cole est un détective sûr de lui, dragueur et très blagueur. Son humour est très présent dans ses répliques et lui donne un côté charmeur et attachant. Côté enquête, il est perspicace et fonceur. Il n’hésite pas à enfreindre la loi pour obtenir les informations qu’il souhaite.



Et côté histoire ? J’ai apprécié l’idée de départ, les différents personnages et l’ambiance drôle et intrigante à la fois. Les décors de la Louisiane et sa gastronomie m’ont fait voyager et donner l’envie de découvrir cet Etat. Cependant, si ma lecture était prenante au départ, je me suis vite lassée de l’intrigue. J’ai trouvé qu’elle partait dans tous les sens et devenait trop compliquée par moments. Ma lecture est devenue laborieuse et j’ai finalement décroché. Je n’ai pas été convaincue par la seconde partie du livre et mon plaisir s’est transformé en ennui. Je pense qu’il y avait beaucoup de potentiel à cette histoire mais qu’elle n’a pas été très bien exploitée. J’espère que les autres enquêtes d’Elvis Cole me plairont plus car j’ai vraiment adhéré à ce personnage.
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Dans le prologue, j'ai appris comment Maggie, la chienne soldate avait perdu son maître, j'ai senti les larmes me monter aux yeux. J'ai remis ça au chapitre suivant, avec l'assassinat de Stéphanie. Cela vous met mal à l'aise en public.



L'auteur m'avait ferré. Je devais lire ce livre pour voir comment ces deux éclopés allaient apprendre à vivre ensemble.



Si vous cherchez un polar semblable aux autres romans écrits par cet auteur, oubliez ce roman, armez vous de patience car le style de Crais ne se retrouve que dans les 100 dernières pages.



Le rythme des 200 premières pages est donc lent. C'est normal, on ne se remet pas de tels drames en quelques semaines. C'est donc progressivement que ces deux êtres vont peu à peu s'apprivoiser.



Ceux qui ont un chien vont adorer ce roman. Nous entendons penser Maggy et elle pense en chien et non comme un animal qui parle. Je sais, vous pourriez lire cette information dans un livre sur les chiens mais vous ne le sentiriez pas avec vos tripes.



L'enquête piétine jusqu'au dernier tiers. C'est alors que l'enquête prend son essor et c'est aussi à ce moment que les rebondissements s'accélèrent. L'histoire est plausible et l'enquête se tient.



Une trentaine de pages avant la fin, l'attente devient insupportable. Le danger est à son paroxysme et on se demande réellement si Maggy ou Scott James va perdre son ou sa partenaire. On a le goût de lire la fin mais on se retient de le faire et on lit l'histoire jusqu'au bout pour tout savoir.

Polar classique dans sa construction, mais original dans le sujet traité : le trafic autour des migrants mené par divers gangs sur la frontière Mexique-USA, côté Mexique mais aussi côté américain. Les faits sont atroces (enlèvement des migrants qui tentent de passer la frontière et qui finissent assassinés quand leurs familles ne peuvent plus verser les rançons demandées), et rendent la lecture parfois éprouvante… Mais ce roman a le mérite de dénoncer à quoi peut conduire la politique de fermeture des frontières menée par les pays les plus riches.

Le premier Crais que je lis sans le duo Pike/Cole.

L'action se situe toujours à Los Angeles. On y retrouve John Chen, avec une allusion à Samantha Dolan, l'action se situe a priori après L.A. Requiem.

Un flic alcoolo ... classique, sauf qu'il s'agit d'une femme.

On plonge immédiatement dans l'action, pas de temps morts, l'intrigue se tient ... un (très) bon polar ... enfin selon mes critères ! Parfois un peu trop fleur bleue à mon goût.

Je pense que je m'en souviendrai ... ce qui n'est pas fréquent avec les polars.



Certains trouveront que les cinq étoiles ne se méritent pas mais pour moi, bonne histoire, crédible, agréable à lire, on ne laisse pas tomber le bouquin ... c'est tout simplement ce que je recherche quand j'ouvre un livre !

Un bon, un très bon Crais !

Des personnages jamais superficiels.

Où on découvre comment Pike est devenu Pike.

Vous l'avez compris j'ai aimé et donc 5 étoiles !



Un conseil pour ceux qui découvrent le duo Pike - Cole, prenez les dans l'ordre : commencez par "L'Ange traqué" ... à moins que vous n'ayez la chance de trouver "Prends garde au toréador" auquel cas quand vous l'aurez lu je suis intéressée pour vous l'échanger !!!!

Le roman débute dans le désert, où un groupe de jeunes est venu voir la carcasse d'un avion autrefois utilisé par des narco-trafiquants. Plus tard, le détective Elvis Cole, "le meilleur détective du monde", reçoit l'appel de Nita Morales. Sa fille a été enlevée et elle doit payer une forte somme si elle souhaite la revoir. Cole met Joe Pike à contribution dans la course contre la montre qui s'engage.

Comme le résumé ci-dessous ne révolutionne pas le résumé de livre, Coyotes ne renouvelle pas le genre du thriller-polar-de-détectives-privés. Le point positif du livre est le sujet qu'il aborde, à savoir l'immigration clandestine à la frontière entre le Mexique et les États-Unis, et l'ensemble des trafics qu'elle génère, avec son vocabulaire propre (les coyotes, les bajadores, etc).

Le point négatif prend pourtant le pas sur le reste : c'est un roman sans aucune nuance. Les héros sont invincibles, la violence est sans cesse à son paroxysme, tous les personnages semblent désincarnés, réduits à de simples stéréotypes. C'est assez gênant.

La construction du roman est elle aussi sans nuance. Organisée autour de l'enlèvement de la fille de Nita, puis celui d'Elvis Cole, les allers-retours entre ces évènements achèvent le côté décousu.

Un roman facile à lire, au détour des vacances, pioché dans une bibliothèque amie suite à l'oubli de mon livre en partant. Une lecture sans conséquence, aussitôt lu, aussitôt oublié.

trafic d’esclave magouille et compagnie un livre très dure avec la mafia en prime vraiment excellent je recomende