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Citations de Robin Cook (II) (296)


Il secoua la tête ; perplexe, il dit à mi-voix :
- Il y a des moments où je ne sais vraiment pas comment je fais pour ne pas devenir fou.


Le tueur à la hache multirécidiviste.
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Le but du roman noir, dans ce qu'il y a de mieux, a toujours été de détruire le mal en le décrivant ; c'est une littérature positive et non pas négative, ne serait-ce que parce qu'elle montre tout ce qui dans notre société est négatif.
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— Avait-elle la réputation d'avoir la cuisse hospitalière ? Les filles de pasteur, ça se conduit parfois comme ça.
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- Oui ? fis-je.

La voix annonça, comme si je n’avais jamais été absent :
- Voilà, c’est fait. Vous êtes réintégrez dans la Police. […]
- Rien n’est fait, dis-je. Il y a l’affaire Fox, la commission de discipline, sans oublier tous les dégâts que je peux provoquer quand on essaie de me faire travailler en équipe avec une bande de connards.

-Tout est arrangé ; l’affaire Fox est oubliée parce que je suis à court de personnel.
- Vous faites tout pour me donner le sentiment qu’on tient à me revoir.

- Personne ne tient à vous revoir, précisa la Voix. Mais, moi, j’ai besoin de vous.
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- On m’a dit en bas que vous aviez des blancs de canetons rôtis avec de la sauce au poivre vert à diner ce soir. C’est un repas bien riche, ça , et je ne voudrais pas que ça tourne l’estomac.
- Vous ne pouvez pas vous mêler de ce que bouffent les gens.
- Grâce à la nouvelle loi, je peux me mêler de tout ce qui me plait. Mais de toute façon, avec ou sans nouveaux pouvoirs, dès qu’il s’agit de cuisiner les malfrats, je suis aux petits oignons, alors n’attige pas.



Attiger (mot argot) signifie exagérer
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- Je te remercie beaucoup, Barry. Si on allait vider un godet ensemble au Trident, un de ces jours ?
- J’attends toujours les cinq bières que tu me dois déjà, répondit-il d’un ton lugubre.
- Et tu peux les attendre longtemps, ajoutai-je. Je viens de lire un article à propos des effets de l’alcool sur les vieillards comme toi, et tu ferais mieux de surveiller ton foie.
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J'ai découvert trop tard que si l'on met les gens à nu jusqu'à la vérité, on ne leur laisse aucune chance de survivre. Les mensonges et les faux-fuyants sont nécessaires; ils nous permettent d'esquiver.
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Sérieusement meurtris par une société qui avait changé au point de leur interdire le mode de vie de leurs ancêtres, sous prétexte que l'éducation qu'on leur avait infligée ne les avait pas préparés au monde actuel, ils s'employaient à satisfaire les goûts sexuels de cette société - malgré la répugnance indéniable que leur inspirait cette situation - afin de survivre de façon civilisée. Ils étaient immoraux.
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Ses lèvres minces exprimaient à peu près autant de compassion qu'un distributeur de billets en train d'avaler une carte de crédit.
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Toutes les femmes qu'il ramène ont ceci en commun: elles sont laides, ce sont des bourgeoises, et elles ne sont plus de première jeunesse.
- Elles font peut-être partie de sa famille.
- Tu parles! dit Firth. Moi aussi, j'ai des nièces et des cousines mais je ne passe pas mon temps à leur peloter les seins et à leur faire des baisers partout.
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- Si vous devez régler ça, dit Georges, vous feriez bien de vous remuer, ça s'agite en haut-lieu cette fois-ci...

Les grands chefs sont comme des poulets à qui on a coupé la tête.
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Quatre Britanniques sur cinq croupissaient dans l'ignorance et la misère - alors qu'on était en 1967 - tout simplement parce que l'argent n'arrivait pas jusqu'à eux, (...) cette clique qui l'entourait s'employait à préserver ce état de fait sans réellement déployer de gros efforts pour cela. Ces gens-là se contentaient de gagner de l'argent, de le dépenser, de le transférer à l'étranger.
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"Ce meurtre, c’est du travail d’artiste. À ce niveau, c’est de la tuerie de spécialiste. Il n’empêche, quelle sorte de passé ? Dans quel métier un tueur peut-il avoir appris à faire cuire un bonhomme de manière qu’on ne puisse plus l’identifier ?"
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Et en dépit de tout, de ma peur constante, de mes désillusions passées, de mes combats, je n'ai pas envie de mourir. Je veux voir encore un été et beaucoup d'autres automnes, ma saison préférée ici, quand les grandes tempêtes se préparent et s'ébrouent comme des géants derrière les montagnes avant de fondre sur nos terres, courbant les arbres vers la maison, jetant des masses de pluie et de feuilles mortes contre la fenêtre de la cuisine où brûle le premier feu de hêtre et de chêne tandis que Magda nourrit les chiens et les deux chats et pose sur la table la théière et le pot de miel offert par un voisin. Je veux comprendre bien mieux encore toutes ces choses simples, apprendre à aimer davantage, et au bout du compte me dresser contre des monstres tels que Jobling, qui écrivent le nom de la mort dans les marges de toutes ces pages, et les renverser.
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Cette petite portion toute ratatinée, et pourtant vitale, de son anatomie pendait mollement contre sa cuisse, comme elle l'avait toujours fait depuis, avec une insolence exaspérante et pourtant inévitable, étant donné la situation, comme un vieux poivrot avachi contre un comptoir, lui adressant plus ou moins un clin d’œil narquois, pour le mettre au défi de remédier à la situation.
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— Tu as été aveugle jusqu'ici. Tu n'as pas découvert ce qu'est la passion. Tu as eu beaucoup d'hommes, mais tu n'as pas vraiment pris de plaisir avec eux.
— Tu n'es pas loin de la vérité.
— Tu as déjà eu un orgasme ?
— J'en ai entendu parler. Je ne crois pas que j'en aie déjà eu un.
— Si tu en avais eu un, tu l'aurais su. Ça se pourrait cette fois-ci.
— Bah, tiens.
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— J'ai votre rapport et je l'ai lu. Et c'est un petit document tout riquiqui ; c'est une jupe qui ne couvrirait même pas les cuisses d'un moucheron.
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C est toujours pareil avec les gens comme ça...Ils vous crachent dessus ou s'aplatissent.
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Une fille plus très fraîche était vautrée sur le divan. Elle portait une jupe qui commençait à la taille et se terminait plus ou moins à la taille aussi. Elle exhibait une cuisse large comme une autoroute, des jarretelles écarlates, et elle regardait une vidéo de Bruce Lee. On aurait dit qu'elle était tombée du sapin de Noël d'un maquereau.
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Des ministres bavards et bouffis d'orgueil, au cours du siècle passé, ont commis le crime le plus grave de tous, fait d'opportunisme, de recherche de l'intérêt personnel et d'indifférence. Tout ce que je peux faire, c'est de continuer à capturer des criminels jusqu'à ce que je sois trop vieux, et à être payé par l'Etat qui en est responsable.
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