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Critiques de Roland Barthes (184)
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Alors la Chine ?

En avril-mai 1974, Roland Barthes a effectué un voyage en Chine avec un petit groupe de ses amis de Tel Quel. de ce mois chinois, il va écrire un article « Alors, la Chine ? », paru dans le Monde, le 24 mai 1974.

En 1975, l'éditeur Christian Bourgeois a souhaité imprimer ce texte pour son plaisir et celui de ses amis. Il précise avec humour que quelques exemplaires ont été mis en vente pour les curieux, inconnus de l'éditeur et de l'auteur.

Quand j'ai ouvert ce livre à la bibliothèque j'ai d'abord été surprise par sa taille puisqu'il y a seulement 14 pages. C'est donc un article assez court mais Christian Bourgeois a voulu montrer que Roland Barthes a des choses à dire sur la Chine et les Chinois même s'il ne dénonce pas la violence totalitaire. C'est pour cette raison que cet article a été critiqué et a fait couler beaucoup d'encre.

J'en suis surprise car il n'y a pas de quoi fouetter un chat. Certes, il évoque la cuisine, les enfants et l'écriture comme les trois principaux signifiants de ce pays mais il indique aussi que le Texte politique est partout.

Cet article ressemble plutôt à un exercice sémantique et dans ce domaine Barthes est assez fort. D'ailleurs il justifie son point de vue dans une postface en expliquant que les réactions négatives posent une question de principe: qu'est-il possible (et non pas permis) de dire ou de ne pas dire ? Et puis il a un argument pour ses contradicteurs qui me semble juste : « N'est-ce pas finalement une piètre idée du politique, que de penser qu'il ne peut advenir au langage que sous la forme d'un discours directement politique ? »



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Barthes

Célébrer l’amour, la poésie le peut (italiques et absence de virgule rappelleront ici le titre du livre de Paul Éluard). Cette Anthologie de la poésie ­érotique française, le poète Zéno Bianu en signe les choix et une éclairante préface, clin d’œil à Sade : « La poésie dans le boudoir », celui de la langue bien sûr parce que c’est là que ça se passe. Vraiment !
Lien : http://www.humanite.fr/cultu..
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Critique et vérité

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Cy Twombly

Roland Barthes explore l’œuvre du peintre Cy Twombly et reconstruit son rapport à l’acte de création.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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Cy Twombly

Pour les aficionados de Barthes et/ou de Twombly. Il s'agit ici de comprendre la peinture de Twombly avant tout comme une écriture ou même comme ce qui la précède.

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Écrits sur le théâtre

Forcément ce livre est daté. Nous ne pouvons pas voir les pièces de théâtre tel que Roland Barthes les a vues. Nous ne sommes pas de la même époque.

Toutefois en remplaçant l’expression « théâtre bourgeois » par divertissement, on obtient des textes très actuels, grinçant et qui sont applicables pas uniquement au théâtre mais à toutes les formes d’art.

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Écrits sur le théâtre

Ce livre a été imaginé à la fin des années 70, il a comme ambition de regrouper les textes écrits par Roland Barthes sur le Théâtre.

Celui-ci a beaucoup écrit, a vu beaucoup de spectacles, avait participé à la vie théâtrale mais depuis le début des années 60, le Théâtre n'était plus un réel objet d'écriture et Roland Barthes a, alors, accepté de confectionner ce recueil.

Il contient soixante-deux des quatre-vingt-quatorze textes écrits sur le Théâtre par celui-ci.

Quelquefois, un peu difficiles d'accès, peut-être trop focalisés sur certains spectacles et aspects de la scène, sûrement d'un parti-pris parfois agaçant, ces textes fourmillent, pourtant, de qualités.

Ils sont écrits par un témoin de la scène, un amoureux du Théâtre qui rend compte, dans ces essais, de l'émotion, du talent de l'écriture et du jeu d'acteur, de l'accueil réservé a ces pièces et cela, c'est, déjà, presque du Théâtre.



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Écrits sur le théâtre

Ces Ecrits de Roland Barthes sur le théâtre sont forcément ancrés dans leur époque (des années 1950 au début des années 1970). Il y est question d'une vie théâtrale très peu provinciale (seul Roger Planchon tire son épingle du jeu à Villeurbanne.) Il y a eu depuis la décentralisation théâtrale, mais le déséquilibre avec la capitale est encore étourdissant... Il y est question du renouveau brechtien et du Théâtre National Populaire de Jean Vilar, alors qu'il y a eu depuis Grotowski et son théâtre pauvre, qu'il y a eu une profonde mutation des approches de la scène avec les apports des plasticiens, des chorégraphes et des performeurs. Mais cela n'enlève en rien la richesse d'analyse de Barthes lorsqu'il parle des spectacles du Berliner Ensemble ("Mère Courage" ou "Le cercle de craie caucasien"), lorsqu'il fustige le conservatisme de la critique et de l'élite parisienne. Et j'avoue m'être particulièrement réjoui d'entendre Barthes descendre avec une douce ironie les bêtises et les inepties de ce que nous n'appelons plus la bourgeoisie (car elle ne veut plus que nous la nommions ainsi pour mieux défendre son occupation des pouvoirs). C'est pourtant un théâtre bourgeois qui tient le haut du pavé aujourd'hui en France. Qu'est devenu le TNP? Existe-t-il un théâtre populaire et novateur? Encore une fois, il faut chercher hors de nos frontières. Après Brecht, après Grotowski, Rodrigo Garcia? Castelucci? Jan Fabre? Ostermeier?
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Essais critiques

C’est après une formation à l’analyse filmique où le formateur faisait souvent référence à Roland Barthes que j’ai voulu combler l’une de mes trop nombreuses lacunes. Pour une découverte, j’ai fait le choix d’Essais critiques , recueil de textes rédigés par l’auteur entre 1954 et 1963. Le texte court me paraissait une bonne entrée pour me faire une idée de la pensée de Roland Barthes. Seulement mon attente ne fut pas totalement comblée, car ces essais portent sur la littérature (entre autres Robbe-Grillet, Baudelaire, Brecht, La Bruyère, Voltaire, Michelet, Queneau, Kafka, Bataille) et non pas sur l’image.

J’aurais peut-être dû faire le choix d’une lecture ponctuelle de ces écrits pour éviter les effets de répétition quant aux thèmes et aux sujets questionnés, mais finalement les lire d’une traite m’a permis, d’une part, de m’imprégner de la méthode de pensée de Barthes et, d’autre part, de comprendre au fur et à mesure certains termes assez conceptuels utilisés par l’auteur. Parce qu’il est vrai qu’après une remarquable préface consacrée à l’écriture, l’intérêt pour le discours de Barthes s’est un peu émoussé du fait qu’il s’agissait avant tout de critiques portant sur des œuvres littéraires, des peintures ou des pièces de théâtre que je ne connaissais pas forcément. Les romans de Robbe-Grillet y tiennent notamment une large place, et ma méconnaissance de son œuvre portait préjudice à ma réceptivité. Enfin, le vocabulaire employé par Barthes laissait place aux équivoques et ses nombreux développements s’apparentaient pour moi à du verbiage d’universitaire, du baratin un peu pompeux. Par exemple, dans le texte intitulé "Tacite et le baroque funèbre", il est dit : « Dans tacite, d’année en année, la mort prend ; et plus les moments de cette solidification sont divisés, plus le total en est indivis : la Mort générique est massive, elle n’est pas conceptuelle ; l’idée, ici, n’est pas le produit d’une réduction, mais d’une répétition. » Bon d’accord… mais, à mon niveau de petit bac +3, je trouve qu’il manque beaucoup d’information : à quel terme s’applique la solidification ? Que signifie-t-elle ? Quelle différence entre Mort et mort ? Qu’est-ce que l’idée ? Des passages comme celui-ci, il y en a beaucoup d’autres, des propos de linguiste qui font du tord à la littérature. D’ailleurs, Barthes, dans ces passages trop confus, sort, à mon avis, de la littérature.

Mais je serais trop sévère si j’accordais trop d’importance à ces quelques passages, c’est à moi de patienter pour peut-être un jour être à la hauteur de sa pensée, car dans l’ensemble la réflexion de Roland Barthes est époustouflante d’inventivité, d’érudition, de clairvoyance et de lucidité. Il y a des analyses, notamment celles du fait-divers et de l’imagination du signe qui sont remarquables, et qui raviront tous ceux qui s’intéressent de près aux questions essentielles de la littérature.

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Essais critiques, tome 4 : Le bruissement d..

C'est une sacrée lecture à entreprendre, riche, complexe, qui s'adresse aux spécialistes de la langue de la grammaire, de la synthaxe...Un livre que tous les professeurs de Français devraient lire et décortiquer...
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Essais critiques, tome 4 : Le bruissement d..

C'est le seul livre de Barthes que j'ai lu, un peu par hasard, Il rassemble des écrits assez courts le plus souvent de Barthes entre 1964 et 1980. Je n'ai pas tout lu, n'étant ni linguiste ni impliqué dans l'enseignement du français. Et pourtant, malgré son abord un peu difficile, il aborde des thèmes passionnants pour qui s'intéresse à la littérature et à l'histoire: les rapports entre science et littérature, entre auteur et lecteur '"la mort de l'auteur") la question de l'effet de réel, ses réflexions sur Proust, Brecht, Michelet,et même Brillat-Savarin, ses interrogations multiples, je cite en vrac quelques unes: sur la musique du sens, sur l'image et notamment filmique , sur le tutoiement etc... tout cela est extrêment stimulant.
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Fragments d'un discours amoureux

"La nécessité de ce livre tient dans la considération suivante: que le discours amoureux est aujourd'hui d'une extrême solitude. Ce discours est peut-être parlé par des milliers de sujets [...], mais il n'est soutenu par personne." (p. 5)



Pourquoi faire un résumé imparfait quand l'introduction est si claire? Le texte présente les états du l'état amoureux au travers du langage qui les sanctionnent. Il y a des jolies réflexions. "Le langage est une peau: je frotte mon langage contre l'autre. Comme si j'avais des mots en guise de doigts, ou des doigts au bout de mes mots. Mon langage tremble de désir." (p. 87)



J'ai été un peu irritée par la similitude systématiquement pointée entre la figure de l'aimé absent et la réminiscence de l'abandon par la Mère. Freud n'est pas ma tasse de thé.



Pour la première fois depuis longtemps, j'ai picoré dans un livre, je n'ai pris que ce que je voulais. Ca fait du bien de changer de pratique.
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Fragments d'un discours amoureux

Cet alphabet de l’Amour universel est hallucinant. Une pénétration dans le cœur de l’Amoureux.euse carrément vertigineuse. La plume demande de s’accrocher car très philosophique, mais c’est genre le meilleur mal de crâne ever.

Un chef-d’œuvre que je re-consulterai souvent !
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Fragments d'un discours amoureux

Une Bible....
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Fragments d'un discours amoureux

Sous forme de dictionnaire, magnifique ouvrage réflexif sur l'état amoureux, ses souffrances, ses élans, ses joies, et les façons de le dire. De "S'abîmer" à " Vouloir-saisir" en passant par "jalousie" et "tendresse"... Érudit et sensible, il est devenu un classique.
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Fragments d'un discours amoureux

Le meilleur, voire l'unique, viatique des relations amoureuses.
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Fragments d'un discours amoureux

La langue grecque ancienne avait une manne de mots pour désigner les variations de l’amour. Si vous vouliez jaser sur la passion et l’attirance physique, il suffisait de fouiller dans le réservoir des vocables de l’époque et de sortir Éros. Les sentiments d’amitié, quant à eux, étaient synonyme de Philia tandis que Agapé désignait l’amour désintéressé, le vrai, l’inconditionnel ! Ainsi, on dénombre plus de huit noms grecs pour évoquer l’amour dans toute sa diversité.



Deux millénaires et des poussières plus tard, le champ lexical amoureux s’est étonnement transformé en une foultitude de néologismes : polyamour, sapiosexuel, liker, matcher, sexting, etc. Ces nouveaux mots (déjà démodés ?) en disent long sur notre manière de voir l’amour au XXIème siècle. Nous sommes libérés et emprisonnés à la fois. L’union libre a la cote mais les personnes ne sont jamais senties aussi seules. Nous arborons nos préférences tels des étendards avec l’intention d’être, chacun, pleinement soi mais ces fanions sont aussitôt récupérés à des fins mercantiles qui, bien souvent, nous échappent. Tel est le paradoxe de notre époque.



En 1977, paraissait Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes. Un essai singulier sur les ressentis de l’être amoureux. Sans doute, ce livre, a-t-il encore des choses à nous apprendre au sujet de l’amour ? Analyse.



Tout livre repose d’abord sur une structure plus ou moins définie et celui-ci ne déroge pas à la règle puisqu’il en a une tout à fait particulière. Tel un abécédaire, Roland Barthes a choisi de s’épancher sur le langage amoureux au travers de mots-clés qu’il appelle des figures. Chacune d’entre elles a son propre chapitre, lui-même agencé d’une manière originale puisque l’auteur définit une figure avant de partir dans des réflexions tous azimuts qui prennent pour point de départ une œuvre littéraire, une philosophie, un poème, une sociologie ou simplement une conversation intime de l’entourage de l’auteur. Cela peut paraître foutraque à première vue mais Roland Barthes cite ses sources de réflexion directement dans la marge ! Ainsi, le lecteur suit les pérégrinations de l’auteur tout en sachant directement à quoi elles se rapportent.



Il faut, certes, avoir un minimum de connaissances pour que chaque réflexion fasse sens puisque Barthes n’hésite pas à aller voir du côté de Goethe, Baudelaire, la philosophie Zen, Freud, Lacan ou encore Buñuel afin d’expliciter son propos. Fragments d’un discours amoureux est une œuvre dense, et c’est sans doute l’originalité de sa structure qui la rend plus digeste.



Le discours ?



Toute personne ayant déjà été amoureuse sait que les effets de ce sentiment sont tel un feu d’artifice pour l’esprit et le corps. Être amoureux, c’est expérimenter des chamboulements intérieurs ; à partir d’un presque rien, vous voilà lancé à toute vitesse sur les montagnes russes des émotions. Et c’est à ce moment précis que Roland Barthes approche sa loupe et passe en revue la manière dont la personne amoureuse est ébranlée.



Nous avons beau nous sentir plus évolués que nos prédécesseurs et scander que l’amour a changé de forme, la mécanique amoureuse, elle, reste identique. Rencontre, magie, déréalité, ravissement, ou encore jalousie sont autant de fragments que l’auteur passe au filtre d’une analyse qui fait mouche :



“ En pleurant, je veux impressionner quelqu’un, faire pression sur lui (“ Vois ce que tu fais de moi “). Ce peut être — et c’est communément — l’autre que l’on contraint ainsi à assumer ouvertement sa commisération ou son insensibilité ; mais ce peut être aussi à moi-même : je me fais pleurer, pour me prouver que ma douleur n’est pas une illusion : les larmes sont des signes, et non des expressions. Par mes larmes, je raconte une histoire, je produis un mythe de la douleur, et dès lors je m’en accommode : je puis vivre avec elle, parce que, en pleurant, je me donne un interlocuteur emphatique qui recueille le plus “vrai” des messages, celui de mon corps, non celui de ma langue : “ Les paroles, que sont-elles ? Une larme en dira plus. “



Si Fragments d’un discours amoureux devait être classé dans une catégorie de livres, il serait assurément sur l’étagère des essais psychologiques puisque Barthes fait souvent appel à cette discipline pour expliquer les différents phénomènes qui bouleversent la personne amoureuse.



En conclusion, cet ouvrage, loin d’être périmé, continue d’apporter un éclairage sur le fait amoureux. Il se lit tel un abécédaire dans lequel on irait piocher ce qui nous intéresse au gré de nos envies. Après l’avoir lu une première fois, il y a plus de dix ans, je suis toujours aussi surpris de l’acuité avec laquelle Roland Barthes décrypte l’être amoureux. Un classique qui se déguste mieux au fur et à mesure que les années passent.
Lien : https://lespetitesanalyses.c..
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Fragments d'un discours amoureux

Écouté la version lue par Fabrice Luchini.



Certains passages un peu ardus demanderaient à être lus plus qu'écoutés.



Il me semble indispensable de se procurer la version imprimée pour en savourer chaque phrase. La peser, la méditer. Ces réflexions ont trouvé de nombreux échos en moi.
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Fragments d'un discours amoureux

Ceci est l'intégral de l'état amoureux !



Arrivez-vous à superposer exactement les mots sur vos sentiments, vous ?

Ou encore cerner ceux de l'autre ?!

Moi, par moment, j'ai l'impression de forcer des triangles dans des trous carrés !

À mon sens, analyser son état amoureux, (alors celui de l'autre..) c'est comme réaliser une autopsie: on n'en ressort pas vivant, pas plus que mort.

Barthes lui, il le dissèque magistralement dans ses "Fragments d'un discours amoureux"



Que l'on aime comme au cinéma, que l'on aime modérément, secrètement outrageusement, ou pas tout à fait, on est tous égaux dans l'attente, l'absence, l'angoisse, le comblement ou encore la dépendance. Etc



Ce livre est une bible.

Ce livre me sert de boussole.

Ce livre est à lire au gré des envies.

Ce livre se butine, se picore & ses passages me (nous) révèle.

Est-ce que je gère pour autant ?! Non.

Je garde en mémoire que là où il y a du feu, il en restera des braises.



Bref, on les reconnaît facilement ces livres qui nous élèvent, ce sont ceux qu’on a tellement de mal à refermer. Je recommande.



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Fragments d'un discours amoureux

Abécédaire de réflexions socio-sémantico-psycho-philosophiques sur l’Amour. On y découvre toute l’Universalité de la chose. On y sort de la solitude de sa détresse ou de ses passions. On y apprend, utilement, à « renoncer à vouloir saisir » l’Autre.
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